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Ruiz-1998-Le temps retrouvé

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Le temps retrouvé
1999 - 2hre 38
DivX 5,0 | 720x416 pixels | Mp3 | ± 680 Mo

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Le temps retrouvé
1999 - 2hre 38
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Réalisation : Raoul Ruiz
Scénario : Raoul Ruiz et Gilles Taurand, d’après le roman de Marcel Proust

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Distribution:

Catherine Deneuve (Odette)
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Emmanuelle Béart (Gilberte)
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Vincent Perez (Morel)
John Malkovich (Charlus)
Pascal Greggory (Saint Loup)
Marcello Mazzarella (le narrateur)
Marie-France Pisier (madame Verdurin)
Chiara Mastroianni (Albertine)
Arielle Dombasle (madame de Farcy)
Edith Scob (Oriane de Guermantes)
Elsa Zylberstein (Rachel)
Christian Vadim (Bloch)
Dominique Labourier (madame Cottard)
Philippe Morier-Genoud (monsieur Cottard)
Melvil Poupaud (le prince de Foix)
Mathilde Seigner (Céleste)
Jacques Pieiller (Jupien)
Hélène Surgère (Françoise)
André Engel (Marcel)
Patrice Chéreau (la voix de Marcel Proust)
Alain Robbe-Grillet (Goncourt)
...

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1922, Marcel Proust sur son lit de mort regarde des photos. Il se remémore sa vie. Mais les personnages de la réalité se mêlent avec ceux de la fiction. Et la fiction prend le pas sur la réalité. Sa vie n'a de sens que dans la réalité de son .uvre et son .uvre défile devant ses yeux. Les jours heureux, les paradis perdus de son enfance alternent avec les souvenirs les plus proches. Ainsi le drame de la guerre, observé depuis le Paris des clans mondains, se change alors en vaste comédie humaine. Et dans le crépuscule, on voit poindre à l'horizon ce qui va devenir la société de l'après-guerre





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Chiara Mastroianni




Schlöndorff-1984-Un amour de Swann [Fanny Ardant]

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Un amour de Swann
1984 - 1hre 51 - VFrStEngl incrustés
Generic MPEG-4 | 720x416 | Mp3 | 1,2 Go




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Un amour de Swann
1984 - 1hre 51 - VFrStEngl incrustés
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Réalisation : Volker Schlöndorff
Scénario : Peter Brook, Jean-Claude Carrière, Marie-Hélène Estienne, Volker Schlöndorff,
d'après le roman de Marcel Proust

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Distribution:

Jeremy Irons : Charles Swann (VF : voix de Pierre Arditi)
Ornella Muti : Odette de Crecy (VF : voix de Micky Sébastian)
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Alain Delon : Baron de Charlus
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Fanny Ardant : Duchesse de Guermantes
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Marie-Christine Barrault : Mme Verdurin
Jean-Louis Richard : Monsieur Verdurin
Anne Bennent : Chloé
Nathalie Juvet : Mme Cottard
Charlotte Kerr : Sous-maitresse
Catherine Lachens : la tante
Philippine Pascal : Mme Gallardon
Charlotte de Turckheim : Mme de Cambremer
Nicolas Baby : le jeune juif
Jean-François Balmer : Dr Cottard
Jacques Boudet : Duc de Guermantes
Jean-Pierre Coffe : Aimé
Bruno Thost : Saniette
Geoffroy Tory (Roland de Chaudenay) : Forcheville
Roland Topor : Biche
Vincent Martin : Remi
Marc Arian : le valet de Swann

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Pierre Celeyron
Romain Brémond
Véronique Dietschy : Mme Vinteuil
Ivry Gitlis : le violoniste
Jean Aurenche : M. Vinteuil
Humbert Balsan : responsable du protocole
Jacques Delafontaine : un gardien à l'opéra
Louis-Gaston de Ségur : un promeneur aux Tuileries
Martin Droch : le Majordome des Guermantes
Jean Geton : un monsieur à la fenêtre
Bernadette Le Saché : la femme de chambre d'Odette
Georges Liatard : un monsieur à la fenêtre
Jean-Gabriel Nordmann : laquais des Guermantes
Joëlle Pilven : une femme du boulevard
Maud Rayer : l'entremetteuse
Emmanuelle Rosenthal : Gilberte
Daniel Tarrare : le coiffeur de Swann
Frédéric Valade : le groom du restaurant

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Charles Swann, homme fortuné et expert artistique est l'ami chéri de la plus vieille noblesse française et notamment, du duc de Guermantes, de son frère le baron Charlus, homosexuel tragique, et de sa femme la duchesse Oriane. Mais Swann est juif et, circonstance aggravante, il transgresse les règles de la haute société lorsqu'il tombe amoureux d'une demi-mondaine, Odette de Crécy. Swann éprouve à l'égard de la jeune femme, une jalousie morbide, tant vis-à-vis des hommes que des femmes.
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Fantasme de nombreux scénaristes, l'adaptation de La Recherche du temps perdu de Marcel Proust à l'écran a rarement dépassé le stade de l'esquisse. Le présent film est un des rares projets à avoir abouti, et ceci en dépit de nombreuses vicissitudes. Mais aux dires des spécialistes et de la critique, le résultat n'est pas satisfaisant, ne réussissant pas à faire passer la richesse littéraire et profonde du livre en 1 h 50 d'adaptation soignée, mais sans avoir pu trouver à traduire l'inspiration de Proust, malgré une distribution européenne prestigieuse, qui a pu souffrir du doublage, et des scénaristes émérites, peut-être trop disparates.Il faudra attendre 15 ans, pour que l'aventure de Raul Ruiz sur le volet final du cycle (voir Le Temps retrouvé) trouve l'inspiration nécessaire et l'approbation générale.
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Ornella Muti

Herman-1967-Le dimanche de la vie

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Le dimanche de la vie
1967 - 1hre 34
Generic MPEG-4 | 672x384 | 1,3 Go



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Le dimanche de la vie
1967 - 1hre 34
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Réalisateur: Jean Herman
Assistant réalisateur: Claude Miller
Auteur de l'oeuvre originale et dialoguiste: Raymond Queneau

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Distribution:

Danielle Darrieux : Julia Ségovie
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Françoise Arnoul : Chantal Brélugat
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Jean-Pierre Moulin : Valentin Bru
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Jean Rochefort : Le capitaine Bordeille
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Olivier Hussenot : Paul Brélugat
Berthe Bovy : Nanette
Anne Doat : Didine
Hubert Deschamps : Bourrelier
Paulette Dubost : Madame Bijou
Renée Gardès : Victoire
Paul Crauchet : Poucier
Agnès Capri : Miss Pantruche

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Henri Virlojeux : M. Balustre
Roger Blin : Jean Sans-Tête
Noëlle Hussenot : Catherine
Madeleine Barbulée : Madame Faucolle
Claude Evrard : Le gendarme
Robert Deslandes : Verterelle
Germaine Delbat : Madame Vertorel
Paul Bisciglia : le vendeur de journaux

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Generic MPEG-4 | 672x384 | 1,3 Go

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Danielle Darrieux
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Françoise Arnoul
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Herman-1968-Adieu L'ami

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Adieu L'ami
1968 - 1hre 55
Generic MPEG-4 | 576x336 pixels | Mp3 | 691 Mo

Photobucket

ItaliqueAdieu L'ami
1968 - 1hre 55
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Réalisateur: Jean Herman
Scénariste et Dialoguiste: Sébastien Japrisot

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Distribution:

Alain Delon (Barran)
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Charles Bronson (Propp)
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Olga Georges-Picot (Isabelle)
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Brigitte Fossey (Dominique dite Waterloo)



Bernard Fresson (Meloutis)
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Marianna Falk (Catherine)
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Ellen Bahl (Martha)
Jean-Claude Balard (un inspecteur)
Michel Barcet (inspecteur Muratti)
Antoine Baud (2ème homme avec l'Américain)
John Berry (voix de Propp)
Stéphane Bouy (homme de Neuilly)
Béatrice Costantini (la jeune auscultée)
Guy Delorme (le barbu avec l'Américain)
André Dumas (chef du personnel)
Steve Eckardt (le gros homme)
Raoul Guylad (inspecteur Gorik)
Lisette Lebon (Gilberte)

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En débarquant à Marseille après la guerre d'Algérie, un médecin militaire, Dino Barran, fait la connaissance d'un légionnaire également démobilisé, Franz Propp, qui s'accroche à ses basques et dont 11 n'arrive pas à se débarrasser. Une Jeune. femme, Isabelle, s'enquiert auprès de Barran d'un autre médecin, Mozart, qui devait rentrer par le même bateau, Barran finit par apprendre que Mozart devait aider Isabelle à remettre dans le coffre de la société où elle travaille à Paris des titres qu'elle avait détournés pendant l'année. Barran, dont on saura plus tard qu'il était un ami de Mozart, son meilleur ami même, et qu'il avait tué par accident, accepte de prendre sa place. Il aidera la jeune femme comme l'aurait fait Mozart. Pour replacer les titres, Ban-an doit se laisser enfermer dans les sous-sols de la société lors du long week-end de Noël. Comme la photo de la combinaison du coffre n'est pas entièrement nette et qu'on ne distingue que quelques chiffres, Ban-an aura plusieurs milliers de combinaisons à essayer durant ce week-end
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Or, une aide Inattendue arrive à Barran, juste avant qu'il ne se laisse enfermer, en la personne de Propp qui, ayant suivi les faits et gestes de Barran, s'Imagine qu'il va commettre un hold-up. Les deux hommes vont dono avoir à vivre plusieurs nuits et plusieurs Jours ensemble, passant leur temps ft. essayer les comoinalsons, Barran pour regarnir le coffre, Propp pour le vider dea 200 millions qu'il doit contenir.Quand enfin le coffre s'ouvre, 11 est vide. Les deux hommes comprennent qu'on est passé avant eux, qu'on les a Joués. Une ronde de gardiens les oblige soudain à s'enfermer dans une minuscule chambre forte sans air ni lumière. Ils ne pourront en sortir qu'en provoquant une fissure dans un conduit d'aération, ce qui leur permet de se hisser dans une salle voisine. La, Ils découvrent le cadavre d'un des gardiens, assassiné.Ils réusissent à sortir, mais sont poursuivis par la police. Ils se Jurent de ne jamais avouer qu'ils étalent ensemble dans le sous-sol. Propp est arrêté. Barran, réfugié chez son assistante, Waterloo, ne tarde pas à découvrir que c'est elle qui a tout organisé avec Isabelle.

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Olga Georges-Picot

















Herman-1969-Jeff

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Jeff
1969 - 1hre 26 - DualAudio Fr(2) / Engl(1)
VhS | DivX 4,1,2 | 704x560 | Mp3 | 990,8 Mo




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Jeff
1969 - 1hre 26 - DualAudio Fr(2) / Engl(1) 
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Réalisateur: Jean Herman
Scénariste: André G. Brunelin
Dialoguiste: Jean Cau

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Distribution:

Alain Delon (Laurent)
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Mireille Darc (Eva)
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Frédéric de Pasquale (Diamant)
Nathalie Nerval (Mme Grunstein)
Georges Rouquier (Jeff)
Antoine Baud
Henri Czarniak (Lescure)
Jean-Daniel Ehrmann
Suzanne Flon (Mme de Groote)

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Gabriel Jabbour (Zucci)
Georges Jamin (Peter)
Robert Lombard (Grunstein)
Albert Médina (Merkès)
Christian Melsen (Van Hoof)
Guus Oster (de Groote)
Jean Saudray (Pépin)

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Après un hold-up fructueux et minutieusement réglé, les cinq complices qui ont réussi le coup conviennent d'un rendez-vous avec leur chef, Jeff, lequel doit négocier le butin constitué de pierres précieuses contre des billets de banque. A la date et à l'heure prévues, la bande de retrouve dans un vieux gymnase appartenant à l'un des hommes. Les heures passent. Jeff n'arive pas. Personne, étant donné sa très grande réputation, de loyauté, n'ose le soupçonner d'avoir nié à l'anglaise. Mais peu à peu les truands deviennent pessimistes. Seul Laurent, le dauphin et le protégé de Jeff, lui garde entière sa confiance. Bientôt tous, excepté lui, concluent à la trahison de Jeff. Ils quittent le gymnase, décidés à aller se renseigner auprès d'Eva, la maîtresse de Jeff. Laurent est obligé de rester prisonnier dans le gymnase, sous la garde de Pépin - dont il ne tardera pas à se débarrasser après une lutte féroce. Il va aussitôt chez Eva, qu'il découvre terrorisée chez elle, après avoir été torturée par les bandits.

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Elle leur a donné des renseignements que seul Laurent devait connaître. Laurent et Eva se rendent chez Zucci, ex-diamantaire devenu apiculteur, à la frontière belge. Zucci a juste le temps de révéler que Jeff est allé à Anvers, quand il est mitraillé par l'un des bandits qui, lui, trouvera bientôt une mort affreuse, résultant de multiples piqûres d'abeilles. A Anvers, le trafiquant de diamants est apparemment un paisible marchand de tableaux : il explique qu'il a bien reçu les diamants de Jeff et qu'il lui a remis un chèque sur un compte à Paris. Il ne sait où est Jeff. Peu après,on apprendra la mort du marchand de tableaux. Laurent, qui a échappé aux poursuites des bandits, et Eva qu'un tendre sentiment unit maintenant à son compagnon, ne savent plus où chercher. Mais Eva va bientôt comprendre que Jeff a doublé tout le monde, y compris elle et Laurent. Ce dernier, retrouvant Jeff dans une maison isolée, l'abat avant d'être à son tour abattu par le seul survivant de ses adversaires.

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Mireille Darc

Herman-1971-Popsy Pop [VIt]

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Popsy Pop
1971 - 1hre 41 - Version italienne



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Popsy Pop
1971 - 1hre 41 - Version italienne
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Film complet en italien
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 photo aff_popsy_pop-5.jpgPopsy Pop

Réalisateur: Jean Herman
Scénariste: Henri Charrière
Dialoguiste: Jean Herman

Distribution:

Claudia Cardinale (Popsy Pop)
Henri Charrière (Marcou)
Ginette Leclerc
Stanley Baker (Sylva)
Moune de Rivel
Georges Aminel
Leroy Haines
Joachim Hansen
Marc Mazza

Popsy Pop, une stripteaseuse, et Marcou, un vieux truand aux abords de la retraite, ont préparé un fabuleux hold-up qui les mettra en possession d'un stock de diamants entreposé dans les coffres de la banque de la mine de Vista Alegre. Ce village, né de la ruée vers le diamant, n'est relié au reste du Venezuela que par un bateau vétuste qui remonte l'Orénoque. Silva, l'inspecteur de la compagnie, est aussitôt séduit par Popsy Pop et, comme sa vigilance se relâche, cela permet à Marcou et à ses complices indigènes de réaliser leur coup. Le trésor capturé, un hélicoptère doit emmener le petit groupe. Mais au dernier moment, Popsy Pop, munie du sac de diamants, fausse compagnie à Marcou et prend place, toute seule, dans l'hélicoptère en laissant tomber l'échelle de corde. Les trois complices, restés au sol, sont empoignée et torturés par les mineurs. Seul Marcou échappera à leur vindicte. Avec Silva, il part à la recherche de Popsy Pop. Les liens qui unissent les deux hommes forment un mélange de complicité et d agressivité. Leur quête les mènera à Caracas, San Juan et Haïti. Silva récupérera finalement les diamants, après avoir été mis en contact avec une pseudo-mission religieuse qui opère dans les environs. Et Marcou, resté seul, face à face avec Popsy Pop, n'aura pas le courage de se venger.

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Mp4 | H.264 | 480x360 | AAC | 367 Mo

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Gréville-1940-Menaces

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Menaces
1940 - 1hre 17
DivX 5,0 | 544x400 | Mp3 | 695 Mo

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Menaces
1940 - 1hre 17
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Réalisateur: Edmond T. Gréville
Assistant réalisateur: Robert Rips
Scénaristes: Edmond T. Gréville et Kurt Alexander
Dialoguistes: Edmond T. Gréville et Pierre Lestringuez

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Distribution:

Mireille Balin : Denise
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Ginette Leclerc : Ginette
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Erich von Stroheim : Le professeur Hoffman
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Jean Galland : Louis
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Vanda Gréville : L'américaine
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John Loder : Dick Stone
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Maurice Maillot : Mouret
Paul Demange : Le domestique
Jacques Henley : Le Hollandais
René Charles : Un journaliste
Robert Moor : Le philatéliste
Nicolas Rimsky : Wladimir
Elisabeth Donnath : Marischka
Nina Sinclair : La première
Albert Malbert : Le chauffeur de taxi

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En septembre 1938, dans un petit hôtel parisien où vivent de nombreux étrangers, les répercussions de la situation internationale influencent la vie quotidienne de chacun, leurs aventures sentimentales, leurs convictions. On suit, leurs destins contrariés tandis que monte l'ombre de la guerre. Gréville tourna ce film en suivant les événements politiques au fur et à mesure qu'ils se déroulaient. Le film presque achevé, le négatif brûla dans l'incendie des laboratoires de Saint-Cloud. Gréville recommença, l'acheva au moment de l'invasion de la Pologne en septembre 1939, puis, en 1944, il y ajouta une fin optimiste qu'il supprima peu après pour lui conserver sa fin originale.

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DivX 5,0 | 544x400 | Mp3 | 695 Mo

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Mireille Balin

Edmond T. Gréville


Gréville-1948-Noose

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Noose
1948 - 1hre 31 - VoStFr incrustés
Generic MPEG-4 | 720x554 | Mp3 | 1,3 Go



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Noose
1948 - 1hre 31 - VoStFr incrustés
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Film complet en anglais
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 photo noose.jpgNoose

Réalisateur: Edmond T. Gréville
Assistant réalisateur: Terry Hunter
Scénariste, dialoguiste et auteur: Richard Llewellyn d'après la pièce de théâtre "the silk noose"

Distribution:

Carole Landis    (Linda Medbury) • Joseph Calleia (Sugiani) • Derek Farr (le capitaine Jumbo Hyde) • Stanley Holloway (l'inspecteur Kendall) • Nigel Patrick (Bar Gorman) • Ruth Nixon (Annie Foss) • Carol Van Derman (Mercia Lane) • John Slater (Pudd'n Bason) • Leslie Bradley (Basher) • Reginald Tate (l'éditeur) • Edward Rigby (Slush) • John Salew (Greasy Anderson) • Robert Adair (le sergent Brooks) • Hay Petrie (Barber) • Uriel Porter (Coaly) • Ella Retford (Nelly) • Brenda Hogan (Maffy) • ...

Dans le Londres de l’après-guerre, le gangster Sugiani règne sur le marché noir. Il règle son compte à tous les curieux – et les curieuses – qui voudraient enquêter sur son trafic. C’est alors que la belle journaliste américaine, Linda Medbury, vient fourrer son nez dans ses affaires, dont des noyades étranges dans la Tamise. Pour se protéger, elle demande à son amant transi d’amour de réunir les gros bras d’une salle de boxe.

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EDMOND T. GRÉVILLE
Bertrand Tavernier

Oeuvre fascinante que celle de Gréville, partagée entre la France et l'Angleterre et irrémédiablement étrangère aux principes régissant les cinémas de ces deux pays, aux révolutions esthétiques qui les bouleversèrent. Aussi éloignée du néo-réalisme et de la comédie style Ealing que de la Tradition de la Qualité, aussi peu influencée par Grierson ou le Free Cinéma que par Feyder ou la Nouvelle Vague.

Oeuvre à l'écart des modes, témoignant une fidélité obstinée envers certains principes formels hérités du cinéma muet qui la marqua d'une empreinte indélébile, une fascination pour Stroheim et Borzage, un attachement à un romanesque cosmopolite où des aventuriers plus ou moins anarchistes affrontent espionnes, femmes fatales ou marquées, ingénues, fleurs bleues ou perverses, une prédilection pour une symbolique lyrique où l'on découvre aussi bien des plans de nénuphars griffithiens que des fulgurances buñueliennes ; cette statue de la Vierge dans Quand sonnera midi qui, décapitée par une rafale de mitrailleuse tombe dans un parterre de fleurs ; le visage d'Erich Von Stroheim à demi caché par un masque, symbole de la paix et de la guerre.

Oeuvre en marge du Système si bien que Gréville dut recourir à des productions artisanales ou hétéroclites (coopératives, co-productions farfelues, producteurs d'occasion). L'un de ses derniers films L'Accident fut même produit par José Bénazéraf. L'un des plus ambitieux, Le Diable souffle, par la mystérieuse compagnie ?La France en marche?... Ceci explique la quasi disparition d'un grand nombre de titres notamment Marchand d'amour auquel il tenait beaucoup et qui semble très personnel. Sa dernière réalisation, Péril au Paradis, un pilote de T.V, écrit et produit par Pierre Nord avec Dario Moreno, Armand Mestral et Sophie Hardy ne fut même jamais exploitée...

Oeuvre tellement en marge qu'il mourut sans le sou dans l'indifférence de la profession. Avec certains amis du Nickel Odéon, Bernard Martinand, Yves Martin, nous dûmes même nous cotiser pour éviter que son corps ne soit jeté à la fosse commune, pour lui payer une tombe (qu'est-elle devenue après tant d'années?) dans le cimetière de Cagnes où il avait tourné tant de films. Un journaliste du Figaro Littéraire, Pierre Mazars, choqué par cette injustice, avait fait un article qui entraîna une seule réaction : une lettre (et un chèque) peinée, amicale et chaleureuse de René Clair.

Quelques vingt ans plus tard l'?uvre de Gréville reste toujours aussi méconnue. Certes, la Cinémathèque a retrouvé le bizarroïde et abracadabrant Train des suicidés, a restauré le passionnant et original Remous, l'un des premiers films à aborder le thème de l'impuissance sexuelle. Mais on ignore toujours en France sa période anglaise, qui comprend pourtant certaines de ses réussites les plus évidentes, malgré les restaurations récentes du British Film Institute et les efforts de William K. Everson qui s'est fait l'avocat passionné de Brief Ecstasy qui, à sa sortie, avait déclenché l'enthousiasme de Graham Greene : ?il s'agit du combat entre la tendresse et le désir sexuel. Une ligne dramatique aussi dépouillée permet à Mr Gréville de s'étendre sur ce que les autres metteurs en scène coupent : ?les natures mortes?. D'autres metteurs en scène essaient de faire avancer l'intrigue. Mr Gréville sait que l'intrigue ne compte pas. C'est l'atmosphère qui compte et l'atmosphère - de manque sexuel - est recréée avec une brillante impudeur. Mr Gréville a appris en France comment photographier un corps de femme, sans compromis. Chacun des gros plans de Miss Linda Travers fait passer un climat sexuel : une jambe dans la bibliothèque, des fesses sur une table de billard. J'ai cité longuement cette critique percutante, acérée, parce qu'elle peut s'appliquer à toute l'?uvre de Gréville à commencer par des films comme Remous, Pour une nuit d'amour, Le Diable souffle, L'Ile du bout du monde. Ses autres ?uvres anglaises ne sont pas moins excitantes qu'il s'agisse de Secret Lives, éblouissant exercice de mise en scène qui, par le biais d'un remake inavoué de X 27, rend hommage de manière affectueuse et spectaculaire au formalisme sternbergien et surtout de Noose, film noir, haletant, visuellement très maîtrisé qui, dans sa description d'un univers londonien interlope anticipe sur les Forbans de la nuit. Le puritanisme britannique, l'understatement anglo-saxon semblent électrifier, enfiévrer l'énergie de Gréville, la langue anglaise lui donner plus de rigueur et lui éviter son péché mignon, ce goût immodéré pour les calembours, de préférence exécrables, pour les effets de dialogue voyants qui handicapent souvent ses scénarios français.

Ce qui me touchait à l'époque et qui m'émeut encore plus aujourd'hui, c'était ce plaisir à filmer que l'on trouvait dans pratiquement tous ses films : fugitivement dans des ?uvres de commande (Le Port du désir, Dorothée cherche l'amour, Tant qu'il y aura des femmes); tout au long des meilleurs (Secret Lives, Noose, Pour une nuit d'amour, Remous, Brief Ecstasy, une partie de l'Envers du paradis, du Diable souffle, de L'Accident) : plaisir à filmer sans rapport avec le brio visuel d'un Duvivier, l'éblouissante rigueur d'un Grémillon ou d'un Ophuls, qui privilégie la surprise, le carambolage d'idées, le jeu d'images comme on dit des jeux de mots, sans jamais avoir peur de l'excès ni du ridicule. Il ne recule devant aucun effet, n'hésite pas à diviser un écran comme un damier dans lequel s'incrustent les têtes des personnages, à faire envoler des colombes au dessus du Panthéon (Menaces) et cette audace se révèle souvent payante même si elle peut faire sourire les tenants de la sobriété et du naturel. Son écriture se veut ludique, poétique. Elle récuse, contredit les exigences, les diktats du réalisme (néo ou pas), du naturalisme, procède par ruptures - rythmiques, formelles - ou par association : après un accident, un panoramique vers les nuages s'enchaîne sur un gros plan d'un paquet de coton hydrophile transporté par une infirmière (Remous), un paysage urbain qui succède à une affiche de propagande se reflète dans une flaque d'eau avant de se faire brouiller par les pas d'un passant qui nous entraîne vers une église d'où sort un prêtre, le vicaire de Soho (Noose). Des cadrages formels très élaborés, des mouvements d'appareils inattendus viennent sans cesse rompre l'agencement d'une scène, voire de l'intrigue, déstabilisant continuellement la logique narrative : dans Le Diable souffle, Charles Vanel attend le résultat d'une opération. Il voit tout à coup devant lui le chirurgien qui éclate de rire en lui annonçant qu'il n'est pas docteur... Ce n'est qu'un cauchemar que rien ne venait annoncer (comme dans The Chase d'Arthur Ripley) et qui se révélera sans fondement mais l'effet est spectaculaire. ?Cinéma du discontinu? comme le note très justement Gérard Legrand, ?plus que la coulée lyrique esquissée parfois, ou le contrepoint psychologique (Remous) y comptent des instants forts. Discontinu accepté comme tel, souvent pour des raisons économiques, mais qui est aussi la projection d'une mentalité kaléidoscopique assumée à plusieurs reprises?. Gréville morcelle d'ailleurs ses scénarios, les fait éclater à coups de changements, de tons et de rythmes, accumule les notations étrangères à une trame souvent lâche. Menaces est très révélateur et change littéralement de facture selon les personnages : lyrique à l'américaine avec Mireille Balin (qui lui inspire le plus beau plan du film : ce travelling avant sur son visage quand enfermée dans une cabine téléphonique on la voit parler sans l'entendre), expressionniste et retenu avec Stroheim, pléonastique avec Jean Galland (exécrable dans ce rôle pourtant en or), très ciné français d'avant guerre avec Paul Demange, étonnamment juste avec Madeleine Lambert.

Sa mise en scène procède souvent par ellipse rapide : peu de films ont abordé aussi rapidement, aussi brutalement la dramaturgie du coup de foudre dans le cinéma d'avant guerre que Brief Ecstasy : un homme et une femme se rencontrent. En quelques plans on les retrouve dans une chambre d'hôtel. Tout le début et certains rebondissements des Menteurs, le meurtre de Pour une nuit d'amour, sont traités avec cette même rapidité, cette même volonté de faire disparaître l'intrigue derrière des signes, des repères plus ou moins symboliques. En d'autres occasions ces ruptures narratives peuvent témoigner d'une désinvolture un peu trop évidente - camouflage face au manque de moyens, refus de se prendre au sérieux, attachement à des contrepoints - qui désamorcent la tension dramatique.

Ce plaisir à filmer n'est jamais aussi évident que quand Gréville doit mettre en scène des personnages féminins qu'il filme toujours amoureusement, même la fragile et perverse meurtrière de Pour une nuit d'amour. Cet ?érotomane distingué? comme il aimait à se présenter parsème son ?uvre de plans fétichistes (ce pied qu'on embrasse dans L'Envers du paradis ou, dans le même film, Etchika Choureau qui donne un baiser à son image) de symboles sexuels (L'Ile du bout du monde), ce condensé des obsessions grévilliennes de cris d'amour. Ses héroines balancent ?entre l'émoi et le jeu? pour citer Gainsbourg et il s'amuse à mettre leur c?ur ?à sang et à feu?. Face à elles, les hommes paraissent souvent falots, ballots, incertains. Son héros le plus réussi (je mets à part les personnages interprétés par Stroheim comme ce marin en chambre ?qui voudrait tant être un arbre de Noël? dans L'Envers du paradis) restera Roger Blin - idée de distribution audacieuse et excitante tout comme Helena Bossis dans Le Diable souffle - dans Pour une nuit d'amour dont le sacrifice devient une véritable provocation sociale (c'est ici et dans Secret Lives qu'il concrétise le mieux ses options libertaires et anarchistes).

Le désir sexuel est le moteur de la plupart de ses réalisations. Comme le dit un faux proverbe cité dans Le Diable souffle :? la femme est de feu, l'homme est d'étoupe et le diable souffle?. C'est sur ce désir et sur son refoulement que s'articulent les sujets de Remous, Brief Ecstasy, Pour une nuit d'amour, de tous ces films où abondent les personnages qui s'épient, les moments de voyeurisme (Jean Servais surveillant Dawn Adams dans Les Menteurs, Mireille Balin découvrant que la chambre de Jean Galland est tapissée de ses photos et de ses portraits). Mais cette sexualité n'est jamais exempte de tendresse surtout dans les derniers films et il saura tirer d'actrices mal utilisées comme Dawn Adams ou peu sensuelles comme Dany Robin des élans chaleureux et inattendus qui évoquent tout à coup un vers de Pierre Jean Jouve ("l'exquise charité de sa chevelure") et à qui on a envie de dire comme Patrice de la Tour du Pin "J'agrandirai ton coeur pour contenir tout mon amour".


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Generic MPEG-4 | 720x554 | Mp3 | 1,3 Go

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Carole Landis

Delvaux-1984-Benvenuta [Fanny Ardant]

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Benvenuta
1984 - 1hre 45
MKV | H.264 | 720x400 pixels | AC3 | 1,61 Go




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Benvenuta
1984 - 1hre 45
---
---
Réalisateur: André Delvaux   
Assistants réalisateur: Marc Cardijn et Antonio Gabrielli   
Scénariste: André Delvaux   
Auteur de l'oeuvre originale: Suzanne Lilar

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Distribution:

Fanny Ardant : Benvenuta
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Vittorio Gassman : Livio Carpi
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Françoise Fabian : Jeanne
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Mathieu Carrière : François
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Claire Wauthion : Inge
Philippe Geluck : Le père
Anne Chappuis : La mère
Armando Marra : Le chanteur
Renato Scarpa : Le journaliste
Franco Trevisi : Le policier
Turi Giuffrida : Le douanier
Goddart : L'hôtesse
Franco Angrisano : Le gardien de la villa des Mystères
Tamara Triffez : Jeune dame
Beatrice Palme : La biche

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Gand. Dans une ville jadis dominée par une bourgeoisie flamande mais pourtant française, un homme, jeune encore, ne trouve son chemin qu'en se déclarant Alsacien. Il cherche la maison de Jeanne V., descendante de cette vieille caste dominante, qui vit en recluse après avoir écrit, il y a de cela bon nombre d'années, un roman jugé à l'époque scandaleux, l'histoire d'une passion entre un magistrat sicilien en poste à Milan et une jeune pianiste belge. Le jeune homme est scénariste et s'appelle François. Il doit et/ou veut tirer un scénario de ce roman, mais en élargissant son sujet, en entremêlant le roman et la vie de Jeanne, qu'il assimile au personnage de Benvenuta (surnom donné par Livio à sa maîtresse, parce qu'elle sera toujours la "bienvenue").

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Jeanne commence par réagir très fraîchement aux demandes du jeune scénariste. Elle semble ne pas supporter les rapprochements qu'il voudrait faire entre le personnage de Benvenuta et elle-même. Mais, petit à petit, elle en vient à commenter et expliquer à François les péripéties de son roman, en des termes qui laissent de moins en moins planer l'équivoque quant à l'identité existant entre elle-même et Benvenuta. Entre François et elle se nouent des liens complexes: grâce à lui, elle échappe à sa vie de recluse et retrouve le monde extérieur. Et tous deux perdent de plus en plus l'objectif immédiat de leurs rencontres - pour à la fois retracer l'itinéraire de Benvenuta et de Livio et, en même temps, parcourir eux-mêmes un nouvel itinéraire, aussi pudique que le précédent était audacieux. Comme jadis, Livio, l'initiateur, Jeanne mourra, laissant à François son roman et sa mémoire.

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Fanny Ardant
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Françoise Fabian
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Resnais-1984-L'amour à mort [Fanny Ardant]

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L'amour à mort
1984 - 1hre 32
DivX 5,0 | 640x272 pixels | AC3 | 992 Mo

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L'amour à mort
1984 - 1hre 32
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---
Réalisation :  Alain Resnais
Scénario, Adaptation et Dialogue : Jean Gruault

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Distribution:

Sabine Azéma : Élisabeth Sutter  
Fanny Ardant : Judith Martignac
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Pierre Arditi : Simon Roche  photo amour_a_mort_003.jpg

André Dussollier : Jérôme Martignac  photo amour_a_mort_004.jpg 
Jean Dasté : Dr Rozier  
Geneviève Mnich : Anne Jourdet  
Jean-Claude Weibel : Le spécialiste  
Louis Castel : Michel Garenne  
Françoise Rigal : Juliette Dotax 
Françoise Morhange : Mme Vigne 
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Le docteur Rozier est formel: Simon est mort. Pourtant, quelques minutes plus tard, alors qu'elle est au téléphone, Elisabeth le voit arriver. "Je n'ai plus mal à la tête", dit-il, "ce n'est plus la peine de faire venir le médecin." A l'évidence, la mort médicale de Simon n'a duré que quelques instants; il est ressuscité. Elisabeth qui le connaît depuis peu de temps mais qui vit avec lui une passion intense voit alors une nouvelle vie se dessiner. Simon aussi. Ils font des choix; ils font des projets. Et ils parlent de tout cela à Judith et Jérôme. Celui-ci est un ami de toujours pour Simon, et Judith et Jérôme sont pasteurs dans la ville d'Uzès où ils habitent.

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Simon ne cesse de penser à cet état de mort dans lequel il s'est senti et dont il a conservé des souvenirs heureux. Sa santé demeure fragile; il est même parfois pris d'évanouissement sur le chantier où il travaille, un site gallo-romain où il effectue des fouilles. Simon n'est pas croyant mais il demande à Jérôme des livres - dont la Bible - qui pourront peut-être lui faire comprendre ce qui s'est passé. Simon meurt bientôt, définitivement. Au moment de sa mort, Elisabeth lui jure qu'elle partira avec lui. Mais ce suicide qu'elle envisage est difficile. Elle s'en ouvre à Judith et Jérôme, et apprend à cette occasion que Judith et Simon, qui se sont aimés jadis, ont tenté de se suicider ensemble. Puis une fois qu'elle a tout mis en ordre... " Nous ressusciterons", lui disent Jérôme et Judith.

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DivX 5,0 | 640x272 pixels | AC3 | 992 Mo 
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Illustrations
 
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Ulmer-1934-Le chat noir

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Le chat noir
The Black Cat
1934 - 1hre 05 - VoStFr (.srt)
Generic MPEG-4 | 704x528 pixels | Mp3 | 700 Mo

Le chat noir
The Black Cat
1934 - 1hre 05 - VoStFr (.srt)
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---
Réalisation : Edgar G. Ulmer
Scénario : Edgar G. Ulmer et Peter Ruric d'après Edgar Allan Poe

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Distribution:

Boris Karloff : Hjalmar Poelzig
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Bela Lugosi : Dr. Vitus Werdegast
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David Manners : Peter Alison
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Jacqueline Wells (Julie Bishop) : Joan Alison



Egon Brecher : Le Majordome
Harry Cording : Thamal, domestique de Werdegast
Lucille Lund : Karen Werdegast Poelzig
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Henry Armetta : Sergent de Police
Albert Conti : Lieutenant de Police


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Les Alison, jeune couple de mariés, choisissent l’Europe comme destination de leur voyage de noces. Dans le train, ils se voient contraints de partager leur compartiment avec le docteur Vitus Werdegast, rescapé d’un camp de prisonniers où il a été incarcéré durant plus de quinze ans. Le docteur va voir son vieil ami architecte Hjalmar Poelzig qui a bâti une somptueuse demeure sur un ancien champ de bataille. En cours de route, le bus que partagent Vitus et le couple est victime d’un terrible accident de la route. Ils se voient obligés de passer la nuit dans le château de l’étrange architecte…

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Pinoteau-1972-Le silencieux

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Le silencieux
1972 - 1hre 51
DivX 5,0 | 672x412 | Mp3 | 688 Mo



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Le silencieux
1972 - 1hre 51
---
---
Réalisateur: Claude Pinoteau
Scénaristes: Jean-Loup Dabadie et Claude Pinoteau
Auteur de l'oeuvre originale: Francis Ryck

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Distribution:

Lino Ventura : Clément Tibère
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Léa Massari : Maria Menela
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Suzanne Flon : Jeanne
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Leo Genn : le gentleman du MI5
Bernard Dhéran : M. Chat
Robert Party : Le tueur
Pierre-Michel Le Conte : Boris Korodine
Lucienne Legrand : la libraire

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L'accident minutieusement conçu s'était déroulé à merveille. Officiellement décédé à la suite d'une hémorragie cérébrale, le physicien soviétique Haliakov, enlevé, se retrouva au siège de la Military Intelligence en butte à un interrogatoire poussé. Car Haliakov s'appelait en réalité Clément Tibère, savant français "emprunté", en 1954, par les Russes à la suite d'une macabre mise en scène. Les Anglais posèrent à Tibère un ultimatum : sa vie en échange de l'identité de deux espions russes qui sévissaient dans leurs services. Après une nuit d'hésitations, Tibère finit par accepter le marché, tout en sachant que les Russes n'accepteraient pas si facilement sa prétendue mort.

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Ce qui arriva ! D'Angleterre en France, le K.G.B. poursuivit Tibère, lequel fuyait de maisons amies en cachettes, perdu dans ce pays depuis trop longtemps quitté. Il apprit la mort de son père, celle de son fils. Il parvint même à revoir sa femme, Marie, qui, le croyant mort, s'était remariée et vivait une existence où il n'avait plus de place... Pour sauver sa vie, Tibère parvint à envoyer à la D.S.T., alertée, les partitions du célèbre chef d'orchestre - en même temps espion - Boris Korodine, en tournée à Zurich, puis à Paris. Dans les notes, la D.S.T. découvrit des microfilms et arrêta le musicien. Dans le même temps, les Russes s'assurèrent de la personne de Tibère... Un échange fut organisé à l'aube d'un petit matin d'automne. Et nul, depuis ce jour, n'entendit plus jamais parler de Tibère...

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DivX 5,0 | 672x412 | Mp3 | 688 Mo

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Lea Massari

Pinoteau-1974-La Gifle

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La gifle
1974 - 1hre 44min
DivX 5,0 | 656x384 pixels | Mp3 |  691 Mo

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La gifle
1974 - 1hre 44min
---

---
Réalisation : Claude Pinoteau
Scénario : Jean-Loup Dabadie et Claude Pinoteau

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Distribution:

Lino Ventura : Jean Doulean
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Isabelle Adjani : Isabelle Doulean
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Annie Girardot : Helene Doulean
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Nicole Courcel : Madeleine
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Nathalie Baye : Christine Abeillé
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Robert Dalban: concierge lycée
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Francis Perrin : Marc Morillon
Jacques Spiesser : Rémy Abeillé
Georges Wilson : Pierre
Xavier Gélin : Xavier
Robert Hardy : Robert Dickinson
Michel Aumont : Charvin
Jacques Maury: Rabal
Richard Berry: étudiant (non crédité)
Janine Souchon : monitrice auto-école
Sylvain Lévignac : flic en civil (non crédité)
Francis Lemaire : inspecteur
Annick Alane: femme de ménage
Charles Gérard : voisin de Christine
Paul Bisciglia : serveur


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Jean, professeur de géographie, a bien du mal à vivre tranquillement: professionnellement, sa situation se complique. En effet, il est sommé de demander sa mutation pour avoir sérieusement endommagé deux policiers qui frappaient un étudiant. Séparé de sa femme depuis dix ans, il laisse sa maîtresse le quitter. Sa fille Isabelle lui donne à elle seule beaucoup de fil à retordre; perpétuellement insatisfaite, elle néglige ses examens de médecine, semble attirée par Marc qui est littéralement fou d'elle, et se résout, par bravade, à annoncer à son père qu'elle compte désormais vivre avec lui. Une gifle clôt l'entretien.

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Isabelle s'enfuit chez sa mère, à Londres. Elle est accompagnée fortuitement par Rémi, le frère de son amie Christine, qui ne tarde pas à lui révéler ses sentiments. Une poursuite s'engage entre le père et la fille, puis la mère. Mais Isabelle décide de couper définitivement le cordon ombilical et part rejoindre Rémi, appelé au service militaire. Marc ne perd pas espoir, de même que Jean. Hélène décidera-t-elle de reprendre la vie commune avec lui?...

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Isabelle Adjani
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Nicole Courcel
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Nathalie Baye
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Gréville-1953-L'envers du paradis

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L'envers du paradis
1953 - 1hre 44
AVI | H.264 | 768x576 | Mp3 | 1,6 Go



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L'envers du paradis
1953 - 1hre 44
---
---
Réalisation : Edmond T. Gréville
Assistant réalisateur : Louis Pascal et Jean-Paul Sassy
Scénario et dialogue : Edmond T. Gréville

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Distribution:

Etchika Choureau (Violaine)
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Dora Doll (Michèle)
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Jacques Sernas (Blaise d'Orliac)
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Erich von Stroheim (William O'Hara)
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Jacques Castelot (Gabriel Dautrand)
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Dina Sassoli (Pepita)
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Denise Vernac (Claudine de Vervins)
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Héléna Manson (Madame Roumégoux)
Edmond Ardisson (Célestin)
Dany Caron (Louisette)
Edouard Hemme (le curé)
Pierre Lorsay (Monsieur Roumégoux)

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Gabriel Dautrand, se disant peintre, vient passer ses vacances à Segnac. Il y fait la connaissance de Violaine, fille des hôteliers, condamnée par la Faculté, qui tombe amoureuse de Blaise d'Orliac. Ce dernier est sur le point de rompre avec sa maîtresse, Michèle, qui est décidée à tout faire pour garder son amant. Un vieil original, O'Hara, entoure également Violaine d'une adoration respectueuse. Il va jusqu'à offrir sa villa pour permettre à Blaise et Violaine de s'aimer.

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Mais dès le premier rendez-vous, Michèle est présente. Blaise, au cours d'une discussion, la tue. O'Hara, supposant que l'assassin est Violaine, s'arrange pour se taire accuser ; mais la jeune fille, se sachant perdue, décide de sauver l'avenir de son amant et arrive à accumuler les preuves contre elle. Dautrand, qui se révèle être un commissaire de police, découvre la vérité, mais accepte le pieux mensonge de Violaine, qui meurt.

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AVI | H.264 | 768x576 | Mp3 | 1,6 Go

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Etchika Choureau
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Gréville-1954-Le port du désir

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Le port du désir
1954 - 1hre 25
DivX 5,0 | 696x512 pixels | Mp3 | 693 Mo



 photo aff_port_desir-14.jpgPort du désir
1954 - 1hre 25
---

---
Réalisation: Edmond Thunder Gréville
Scénario et
Dialogue: Jacques Viot
Adaptation: Jacques Viot, Edmond T. Gréville
Assistants réalisateur: Jean-Paul Sassy, Jean-Claude Desvernet
Prises de vues sous-marines: Louis Malle
Musique: Joseph Kosma

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Distribution:

Jean Gabin (Le capitaine Le Quévic du bateau "Le Goéland")
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Andrée Debar (Martine, la jeune sœur de Suzanne)
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Henri Vidal (Michel, le scaphandrier)
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Edith Georges (Lola, la strip-teaseuse)
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Jean-Roger Caussimon (Mr Black, l'armateur du bateau)
Robert Berri (Frédo, l'hercule, homme de main de Mr Black)
Antonin Berval (Mr Léon, associé de Mr Black)
Léopoldo Francès (Baba, un inspecteur de police)
René Sarvil (L'aveugle)
Gaby Basset (Mme Aimée, la gérante du bar)
Jacques Dynam (Le Meur, le second du capitaine)
Gaston Orbal (Rossignol, un scaphandrier)
Edmond Ardisson (Le patron de la boite)
Mireille Ozy (Gaby, une amie de Syzanne)
Yoko Tani (Une danseuse)

...

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Le capitaine Le Quévic est chargé par les autorités maritimes de Marseille de renflouer l'épave de "La Vénus" qui risque d'obstruer l'entrée du chenal. Rempli d'appréhension, le propriétaire du navire, Mr Black, contrebandier et assassin, essaie d'empêcher à tout prix le renflouement, le cadavre d'une jeune fille se trouvant à bord. Il soudoie le scaphandrier Michel, coéquipier de Le Quévic, mais le jeune homme refuse d'être le complice d'un meurtre. La police alertée par Le Quévic qui a découvert la sinistre cargaison, traque Mr Black et sa bande qui avaient séquestré Michel et son amie Martine, sœur de la jeune fille assassinée. Les bandits arrêtés, Le Quévic lui aussi amoureux de Martine s'efface devant la jeunesse des amoureux et reprend la mer.

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Logereau-1968-La louve solitaire

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La louve solitaire
1967 - 1 hre 30 - Dual Fr-Angl
Generic MPEG-4 | 600x362 pixels | AC3 | 797 Mo





La louve solitaire
1967 - 1 hre 30 - Dual Fr-Angl
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Réalisateur: Edouard Logereau
Auteur de l'oeuvre originale: Albert Sainte-Aube
Dialoguiste: Marcel Jullian
Compositeur de la musique originale: Francis Lai


Distribution:

Michel Duchaussoy (Bruno)

Danièle Gaubert (Françoise)

Julien Guiomar (Durieux)
Maurice Teynac (Stanmore)
Sacha Pitoëff (Saratoga)
Jacques Brunet (Hans)
B.W. Husson (Mme Stanmore)
Carole Lebel (Olga)
Rémy Longa (Robert)
François Maistre (Davenport)
Serge Merlin
Maurice Sarfati (Sylvio)
Albert Simono (Evrard)
Jacqueline Staup (Mélissa)



Le policier Durieux tend un piège à Françoise Dilmont, alias la Louve cambrioleuse et ex-trapéziste, pour l'amener à l'aider dans le démantèlement d'une bande de trafiquants de drogue. A la tête de ce gang, Saratoga et Davenport, un conseiller d'ambassade. Durieux demande à Bruno, un ex-officier de marine qui lit sur les lèvres, de faire équipe avec la Louve. La Louve et Bruno observent le bureau de Davenport lors d'une livraison de drogue. Alors que la Louve s'est faufilée dans le bureau, Davenport surgit et est abattu par Bruno. La Louve s'enfuit alors avec la drogue et une importante somme d'argent pour se réfugier en Suisse





Costa-Gavras-1986-Conseil de famille [Fanny Ardant]

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Conseil de famille
1986 - 2hres 07
H.264 | AVI | 711x400  | Mp3 | 692 Mo

Conseil de famille
1986 - 2hres 07
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Réalisateur: Costa-Gavras
Assistants réalisateur: Frédéric Blum, Philippe Chapus, Marianne Chouchan, Daniel Delume
Scénariste: Costa-Gavras



Distribution:

Fanny Ardant: La mère

Johnny Hallyday : Le père

Guy Marchand : Maximilien Faucon

Rémi Martin : François
Caroline Pochon : Martine
Fabrice Luchini : L'avocat véreux
Laurent Romor : François adolescent
Ann-Gisel Glass : Sophie
Juliette Rennes : Martine enfant
Julien Bertheau : le propriétaire de la maison fléchettes


A treize ans, François fait une découverte: son père n'est pas à l'hôpital, comme sa mère le lui répète; il est en prison. Son père, en effet, est un champion de perçage de coffres-forts. A son retour de "l'hôpital", c'est la fête à la maison, avec Faucon, l'ami fidèle. Celui-ci s'installe dans la famille, dont la mère, femme de tête et de coeur, cultivée, musicienne, philosophe, est, en quelque sorte, l'âme. La vie reprend. La nuit, Faucon et le père vont sur des "chantiers". François a tout compris. Martine, qui n'a que sept ans, aussi. Mais la famille mène une vie digne et stricte. Le père tient à ce que ses enfants soient élevés avec rigueur, dans le droit chemin. Comme les "chantiers" rapportent beaucoup, la famille part en vacances à la mer.


François découvre qu'il peut voler, lui aussi, de ses propres ailes. Le père n'apprécie pas. François menace: s'il ne va pas sur les "chantiers", il dira tout à la police. Au retour de vacances, François commence son apprentissage. Après beaucoup de maladresses, il se montre doué. Les affaires marchent bien et les années passent. Passionné d'électronique, François utilise ses dons sur les "chantiers". Le père est bientôt dépassé. Le père et Faucon partent aux Etats-Unis pour négocier les talents de François avec la mafia américaine qui l'a remarqué. Mais François rêve d'un travail fixe chez un ébéniste et d'une vie heureuse avec celle qu'il aime. Pour éviter de partir aux U.S.A., selon le voeu du conseil de famille, il téléphone à la police...



H.264 | AVI | 711x400  | Mp3 | 692 Mo
 http://jheberg.net/captcha/gavras86-conseil-famille/
Imagerie



Deville-1986-Le paltoquet [Fanny Ardant]

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Le Paltoquet
1986 - 1hre 32min
 DivX 5,0 | 704x304 pixels | Mp3 | 929 Mo

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 Le Paltoquet
1986 - 1hre 32min
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Réalisateur : Michel Deville
Scénariste : Michel Deville

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Distribution:  

Fanny Ardant : Lotte
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Michel Piccoli: Le paltoquet
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Daniel Auteuil: Le journaliste
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Philippe Léotard: L'honorable commerçant
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Jeanne Moreau: La tenanciere
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Jean Yanne: Le commissaire
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Claude Piéplu: Le professeur
Richard Bohringer: Le Docteur •  

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Le paltoquet est à la fois l'homme à tout faire dans ce bar, sur les quais d'un port, coincé entre les entrepôts, et l'amant de la tenancière. Quatre hommes, un journaliste, un docteur, un commerçant et un professeur s'y retrouvent pour jouer au bridge tous les soirs. Un commissaire arrive un soir, pour enquêter sur le meurtre d'un VRP.

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Pinoteau-1976-Le grand escogriffe

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Le grand escogriffe
1976 - 1hre 40
DivX 5,0 | 640x384 pixels | Mp3 | 786 Mo





Le grand escogriffe
1976 - 1hre 40
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Réalisateur: Claude Pinoteau
Scénaristes: Michel Audiard et Claude Pinoteau
Auteur de l'oeuvre originale: Rennie Airth
Dialoguiste: Michel Audiard

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Distribution:

Yves Montand: Morland
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Agostina Belli : Amandine




Claude Brasseur : Ari
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Aldo Maccione : Tony
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Adolfo Celi : Rifai
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Valentina Cortese : la veuve
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Guy Marchand : Marcel
Ely Galleani : Dorothé
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Impossible de contrarier un ouragan: c'est bien ce que se dit Aristide qui, après une héroïque résistance due à de trop mauvais souvenirs communs, se trouve embarqué dans la dernière "combine" de ce cabotin, ce bonimenteur, ce grand escogriffe d'Emile Morland, pompeusement rebaptisé Marc-Antoine. D'organisateur de tournées théâtrales (minables), celui-ci est devenu auteur. Mais les rocambolesques scénarii qu'il invente, c'est dans la vie qu'il les met en scène. Ainsi, avec l'aide d'Aristide et d'Amandine, une comédienne qu'il a "découverte" personnellement, Emile se prépare-t-il à enlever le fils du richissime Rifai. Arrivé à Rome, le trio "loue" un bébé professionnel (propre, obéissant et silencieux) du nom d'Alberto puis, au grand chagrin d'Amandine qui s'était habituée à pouponner, l'échange dans un parc contre Selim, insupportable bambin criard.



Tandis qu'Aristide et Amandine continuent à jouer au couple parfait, Emile pose ses conditions au milliardaire: 600 000 dollars contre la restitution de Selim. Hélas, séduit par le calme Alberto, Rifai refuse le marché. Les choses deviennent alors vite confuses: Tony, qui avait "prêté" Alberto, le réclame, et Amandine aussi. Tandis qu'Emile tente une dérisoire manoeuvre d'intimidation, la jeune femme parvient à "récupérer" Alberto. Selim, lui, retrouve le foyer familial au moment où, désorienté, son père allait verser à Emile la rançon exigée. Tout est bien qui finit bien pour Amandine et Aristide qui, après avoir "acheté" Alberto à Tony, s'en vont, pauvres et "honnêtes"... Et ce grand escogriffe d'Emile, après un bref moment de découragement, dénichera vite sur place des touristes crédules qu'il pourra arnaquer tout à son aise...

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Agostina Belli
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