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Ferreri-1960-La petite voiture

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La Petite Voiture
El Cochecito
1960 - 1hre 30 - VoStFr (.sub)
Generic MPEG-4 | 608x432 pixels | Mp3 | 797,6 Mo


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La Petite Voiture
El Cochecito
1960 - 1hre 30 - VoStFr (.sub)

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Réalisation : Marco Ferreri
Scénario : Marco Ferreri et Rafael Azcona

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Distribution:

José Isbert : Don Anselmo Proharán
Pedro Porcel : Carlos Proharán
José Luis López Vázquez : Alvarito
María Luisa Ponte : Matilde
Antonio Gavilán : Don Hilario
Lepe : Lucca
Chus Lampreave : Yolanda
Ángel Álvarez : Álvarez
Carmen Santonja : Julita
Antonio Riquelme : Le Docteur

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Don Anselme vient rendre visite à son cousin Don Lucas. Paralysé des deux jambes Don Lucas étrenne aujourd'hui une petite voiture motorisée. Les deux vieillards iront donc au cimetière en pieux pèlerinage. Don Anselme fait la connaissance des infirmes que Don Lucas voit chaque jour, avec lesquels il joue aux cartes, va en pique nique dans la campagne. Acceptant courageusement leurs misères physiques, ces infirmes vivent dans un climat d'affection et de sympathie qui frappe Anselme. Pour mieux se joindre à ce groupe humain si particulier, il n'a plus qu'un désir : avoir une petite voiture. Venu se renseigner chez un orthopédiste il revient avec un catalogue qu'il cache sous son traversin.

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Generic MPEG-4 | 608x432 pixels | Mp3 | 797,6 Mo
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Imagerie



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Ferreri-1963-Una storia moderna: L'ape Regina

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Una storia moderna: L'ape Regina
Le lit conjugal
1963 - 1hre 30 - VoStAngl (.srt)
Generic MPEG-4 | 656x368 pixels | Mp3 | 1,37 Go




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Una storia moderna: L'ape Regina
Le lit conjugal
1963 - 1hre 30 - VoStAngl (.srt)
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Réalisation : Marco Ferreri
Scénario : Rafael Azcona, Marco Ferreri, Diego Fabbri, Pasquale Festa Campanile et Massimo Franciosa
D’après une histoire de Rafael Azcona et Marco Ferreri à partir d’une idée de Goffredo Parise

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Distribution:

Marina Vlady : Regina
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Ugo Tognazzi : Alfonso
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Walter Giller : le père Mariano
Linda Sini : la mère supérieure
Riccardo Fellini : Riccardo
Igi Polidoro : Igi

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Alfonso, la quarantaine, n'est toujours pas marié... Sur le conseil de ses amis, il se décide enfin à trouver femme... Il rencontre Régina, une très belle fille qui lui plaît et demande sa main.

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Mais dès que les noces sont célébrées, un véritable calvaire commence pour Alfonso : son épouse, impatiente d'avoir un enfant, a des exigences sexuelles surhumaines... Lorsque Régina est enfin enceinte, son mari, épuisé, n'est plus que l'ombre de lui-même...

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  • Festival de Cannes 1963 : film sélectionné pour la Palme d'or.
  • Golden Globes 1964 : Marina Vlady nommée pour le Golden Globe de la meilleure actrice dans un film dramatique.
  • Festival de Cannes 1963 : Prix d'interprétation féminine à Marina Vlady
  • 1964 : Ruban d'argent à Ugo Tognazzi

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Generic MPEG-4 | 656x368 pixels | Mp3 | 1,37 Go

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Marina Vlady
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Franco-1962-L'horrible Docteur Orlof

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L'horrible Docteur Orlof
Gritos en la noche  
1962 - 1hre 23 - DualAudio Fr/Angl
MKV | H.264 | 640x400 pixels | AC3 | 1,15 Go




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L'horrible Docteur Orlof
Gritos en la noche  
1962 - 1hre 23 - DualAudio Fr/Angl
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Réalisateur : Jesús Franco

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Distribution:

Diana Lorys : Wanda Bronsky
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Howard Vernon  : Dr. Orlof
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Conrado San Martin : Inspecteur Tanner
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Maria Silva (comme Mary Silvers) : Dany
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Perla Cristal : Arne
Ricardo Vallee : Morpho
Mara Laso : Irma Gold
Venancia Muro : Jean Rousseau

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A la fin du siècle dernier, dans une petite ville d'Italie, des jeunes femmes disparaissent mystérieusement. L'Inspecteur Tauner, aidée de sa fiancée Wanda, découvre bientôt un certain Docteur Orlof. Ce dernier, dans un château des environs, assisté de deux forçats évadés, prélève sur les malheureuses victimes, des tissus qu'il essaie ensuite de greffer sans jamais y réussir sur sa fille Mélissa, defigurée par un accident.

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MKV | H.264 | 640x400 pixels | AC3 | 1,15 Go

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Diana Lorys



Maria Silva
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Decoin-1955-L'affaire des poisons

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L'Affaire des poisons
1955 - 1hre 43
Generic MPEG-4 | 640x480 pixels | AC3 | 695,8 Mo


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L'Affaire des poisons
1955 - 1hre 43
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Réalisateur : Henri Decoin
Scénario : Henri Decoin et Georges Neveux
D'après une histoire d'Albert Valentin, inspiré par la pièce de Victorien Sardou
Dialogues : Georges Neveux
Assistant réalisateur : Michel Deville, Pierre Pelegri

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Distribution:

Danielle Darrieux : Madame de Montespan
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Viviane Romance : Catherine Deshayes, dite La Voisin
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Paul Meurisse : l'abbé Guibourg
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Anne Vernon : Hermine des Œillets
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Maurice Teynac : Nicolas de La Reynie
Pierre Mondy : le capitaine François Desgrez
Roldano Lupi : Lesage
Christine Carrère : Angélique de Fontanges
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Albert Rémy : le bourreau Guillaume
Renaud Mary : Henri de Montespan
François Patrice : de Linières
Simone Paris : Mme de Ludre
Albert Michel : Gobet
Luisa Rossi : Mme Gobet
Roland Armontel : l'aveugle
Jacky Moulière : son fils
Michel Etcheverry : le prédicateur
Jean-Marie Robain : un juge de la Chambre Ardente
Dominique Page : la fille enceinte
André Numès Fils : le greffier

...

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Un prologue avertit le public que les faits sont rigoureusement historiques. Donc, Mme de Montespan voit le Roi-Soleil la délaisser au profit d'une jeune beauté, Mlle de Fontanges. Les poisons sont à la mode, et l'on vient de brûler la marquise de Brinvilliers en place de Grève. Désespérant de reprendre sa place de favorite par les moyens ordinaires, Mme de Montespan se résout à aller voir la Voisin, cartomancienne réputée. Nous apprenons dans le même temps que la Voisin est d'une part l'amante du bourreau, celui-là même qui vient de supprimer la Brinvilliers, et qu'elle "travaille" avec Lesage, un alchimiste très fort en poisons, et avec un prêtre perverti, l'abbé Guibourg qui s'est adonné au culte démoniaque et aux messes noires.

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Generic MPEG-4 | 640x480 pixels | AC3 | 695,8 Mo
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Imagerie


Danielle Darrieux
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Viviane Romance
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Christine Carrère
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Anne Vernon

Article 1

Decoin-1956-Folies Bergère

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Folies Bergère
Un soir au music hall
1956 - 1hre 34
VHSRiP | Generic MPEG-4 | 720x536 pixels | AC3 | 1,44 Go*



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Folies Bergère
Un soir au music hall
1956 - 1hre 34
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Réalisateur: Henri Decoin  
Assistant réalisateur: Michel Deville  
Scénaristes et Adaptateurs: Jacques Companeez et André Tabet     
Dialoguiste: André Tabet

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Distribution:

Zizi Jeanmaire : Claudie
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Eddie Constantine : Bob Wellington
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Nadia Gray : Suzy Morgan
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Nadine Tallier : Sonia
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Yves Robert : Jeff
Pierre Mondy : Roger
Edith Georges : Rita
Serge Perrault : Max
Jeff Davis : Harry
Jacques Castelot : Philippe Loiselet
Jacques Morel : Roland

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« Folies Bergère ». Mot magique que les agences à l'étranger ne manquent pas de mettre dans leur programme de tournée et qui fascine tellement les touristes que beaucoup croiraient ne pas connaître Paris s'ils n'avaient pas, lors de leur passage, participé à ce spectacle. Pour eux, c'est le Paris un peu. osé, pour ne pas dire canaille, et s'ils s'y rendent pour satisfaire leur curiosité, ils s'y rendent aussi pour se procurer le plaisir d'une distraction qu'ils n'oseraient se permettre chez eux. Les amateurs de music-hall audacieux seront ici déçus, les auteurs du film ont fait effort pour éviter les déshabillages et les nudités. Sur une intrigue sentimentale très classique entre un démobilisé Américain et une petite danseuse, ils brodent un spectacle de music-hall, lui aussi très classique.




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VHSRiP | Generic MPEG-4 | 720x536 pixels | AC3 | 1,44 Go

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Zizi Jeanmaire
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Franco-1964-Les maîtresses du Dr Jekyll

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Les maîtresses du Dr Jekyll
El secreto del Dr. Orloff
1964 - 1hre 25
MKV | H.264 | 656x400 pixels | AC3 | 1,87 Go



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Les maîtresses du Dr Jekyll
El secreto del Dr. Orloff
1964 - 1hre 25
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Réalisateur: Jesús Franco
Scénaristes: Jesús Franco, Nicole Guettard

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Distribution:

Agnès Spaak: Melissa
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Hugo Blanco: Andros
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Perla Cristal: Rosa
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Marcelo Arroita-Jáuregui: Dr. Conrad Jekyll
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Pepe Rubio: Juan Manuel
Pastor Serrador: Inspector Klein
Marta Reves      
Daniel Blumer      
Luisa Sala: Ingrid Fisherman
Manuel Guitián: Ciceron
Mer Casas       

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Le docteur Conrad Jekyll se rend au chevet du docteur Orloff pour obtenir une information capitale sur ses recherches. En effet, Jekyll tente de donner la vie à un être inanimé. Grâce aux informations d'Orloff, son expérience réussit. La créature n'est autre que le jeune frère de Jekyll, mort il y a quelques temps. Jekyll va se servir de sa créature pour assassiner des danseuses de cabaret avec lesquelles il a eu des liaisons. L'arrivée de sa nièce Melissa au château va perturber ses projets et mettre à jour un terrible secret...

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MKV | H.264 | 656x400 pixels | AC3 | 1,87 Go

Agnès Spaak
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La crypte du souffle bleu


Voix de femmes 176 de ... Laura Branigan

Berry-1951-Menaces dans la nuit

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He Ran All the Way
Menaces dans la nuit
1951 - 1hre 20 - VoStFr incrustés
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Réalisateur: John Berry
Assistant réalisateur: Emmett Emerson
Scénaristes: Dalton Trumbo, Hugo Butler et Guy Endore
Auteur de l'oeuvre originale: Sam Ross

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Distribution:

John Garfield : Nick Robey
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Shelley Winters : Peg Dobbs




Wallace Ford : Mr Dobbs
Selena Royle : Mme Dobbs
Norman Lloyd : Al Molin
Bobby Hyatt : Tommy Dobbs
Gladys George : Mme Robey
Clancy Cooper : Stan
Vicki Raaf : Marge
Robert Karnes : Le lieutenant de police


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Un gangster, Nick Robey, tue un policier. Contraint de fuir, il se réfugie dans une piscine où il fait la connaissance de Peggy Dobbs. La jeune fille l'invite chez ses parents. Très vite, Nick se révèle menaçant et terrorise les parents, qui n'osent le livrer. Mais Peggy l'aime et veut le sauver. Elle lui achète une voiture avec l'argent qu'il a volé. Mais on tarde à livrer la voiture et Nick veut se servir de la jeune fille comme d'un écran pour s'enfuir. Ecoeurée de sa lâcheté, Peggy l'abat.

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Ce film est placé sous le sceau du maccarthysme : le réalisateur John Berry, les scénaristes Dalton Trumbo et Hugo Butler, les acteurs John Garfield et Selena Royle, sont alors inscrits sur la "liste noire" des artistes supposés avoir des sympathies communistes. Les conséquences en seront diverses : John Berry (dont l'assistant-réalisateur, Emmett Emerson, est crédité à sa place lors de la première sortie de Menace dans la nuit) tourne là son dernier film américain, avant de tenter une nouvelle carrière en France (y réalisant notamment Don Juan, avec Fernandel, sorti en 1956) ; Dalton Trumbo - un des Dix d'Hollywood - et Hugo Butler (crédités pour cette raison "Guy Endore") s'exileront un temps au Mexique ; Selena Royle ne participera plus qu'à trois autres films, son dernier en 1955.

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Generic MPEG-4 | 544x400 pixels | Mp3 | 700 Mo
http://jheberg.net/download/berry51-menace-nuit/
Imagerie









Berry-1955-Ça va barder

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Ça va barder
1955 - 1hre 33
Generic MPEG-4 | 512x368 pixels | Mp3 | 694,4 Mo



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Ça va barder
1955 - 1hre 33
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Réalisateur: John Berry   
Assistant réalisateur: Jacques Nahum   
Scénaristes: John Berry et Henri-François Rey   
Adaptateurs: John Berry, Jacques Nahum et Jacques-Laurent Bost   
Dialoguiste: Jacques-Laurent Bost

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Distribution:

Eddie Constantine : Johnny Jordan
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May Britt : Gina Diego
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Irène Galter : Boubica
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Lila Rocco : Flora
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Monique van Vooren : Irène
Roger Saget : Moreno
Jean Danet : Diego
Jean Carmet : Alvarez
Gérard Hoffman : Donald Lopez
Clément Harari : Sammy Kern
Evelyne Rey : Eveline

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Un aventurier, Johny Jordan, entre au service de Moreno, dont les navires sont régulièrement pillés avant d'arriver à Puerto Negro. Jordan s'aperçoit que ces bateaux servent au trafic d'armes et que Sammy Kern, l'un des agents de Moreno, joue le double jeu. Kern est assassiné et les soupçons de la police se portent sur Johnny. Celui-ci découvre que c'est Moreno qui organise lui-même le pillage de ses propres navires et, après une poursuite dramatique et un règlement de compte général, fait arrêter le gangster.

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Generic MPEG-4 | 512x368 pixels | Mp3 | 694,4 Mo


May Britt
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Lila Rocco
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Ferreri-1963-Le mari de la femme à barbe

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Le mari de la femme à barbe
La Donna scimmia
1963 - 1hre 30 - VFr
Generic MPEG-4 | 624x496 | Mp3 | 999 Mo


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Le mari de la femme à barbe
La Donna scimmia
1963 - 1hre 30 - VFr
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Réalisation : Marco Ferreri
Scénario : Marco Ferreri et Rafael Azcona

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Distribution:

Ugo Tognazzi : Antonio Focaccia
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Annie Girardot : Maria
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Eva Belami
Ermelinda De Felice
Achille Majeroni
Filippo Pompa Marcelli
Elvira Paolini
Ugo Rossi


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Le roue Antonio Semola, organisateur de minables spectacles, rencontre dans un foyer de deshérités, Maria, une femme totalement velue de la tête aux pieds, qu'il espère exploiter dans une représentation codifiée et hautement ringarde, sous pretexte d'un exotisme de pacotille. Elle accepte un certain temps, mais se lasse de cette médiocrité. Antonio est obligé de l'épouser pour la revoir et monte avec elle un spectacle de cabaret à connotation deshabillée dans un local parisien. Enceinte, sa femme commence à perdre son incroyable toison et le couple finira dans une honnête et banale normalité .....
Inspiré par la figure de Julia Pastrana, femme à la barbe, mariée 3 fois, qui se montra dans le spectacle du Cirque Barnum; elle murut au début du XXème siècle.


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Ferreri-1969-Dillinger est mort

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Dillinger est mort
Dillinger è morto
1969 - 1 hre 30
VFr : H.264 (.MKV) | 718x576 pixels | AAC | 676,7 Mo
VoStFr (.srt) :  DivX 5,0 | 640x480 pixels | Mp3 | 866,8 Mo
Suppléments: 719,4 Mo


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Dillinger est mort
Dillinger è morto
1969 - 1 hre 30 - VFr
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Réalisation : Marco Ferreri
Scénario : Marco Ferreri et Sergio Bazzini
Assistant-réalisateur : Arturo Carnavati

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Distribution:

Michel Piccoli : Glauco, un dessinateur industriel
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Anita Pallenberg : Ginette, la femme de Glauco
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Annie Girardot : Sabine, la bonne de Glauco
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Gino Lavagetto : Le marin
Carla Petrillo
Mario Jannilli : le capitaine du bateau
Carole André : La propriétaire du bateau
Adriano Aprà : Le critique de cinéma


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Glauco (Michel Piccoli), concepteur de masques à gaz, rentre chez lui dîner, après avoir écouté, non sans un certain ennui, un discours subversif d'un de ses collègues. Il trouve sa femme (Anita Pallenberg) déjà couchée (elle est souffrante). Il décide de dîner seul en regardant la télévision, notamment un reportage à la gloire de Fausto Coppi. Ensuite il se projette différents films de vacances et fait l'idiot devant l'écran. Après quelques jeux érotiques avec sa bonne (Annie Girardot), il finit par tuer sa femme au moyen d'un revolver qu'il a trouvé par hasard enveloppé dans un vieux journal annonçant la mort du gangster américain John Dillinger. Auparavant, il avait remis le révolver en marche et s'était amusé à le peindre en couleurs clownesques. À la fin du film, il embarque sur un yacht dont la jeune propriétaire (Carole André) l'embauche comme cuisinier.

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Prise de conscience par un bourgeois de l'absurdité de la vie dans la société de consommation, ce film est une sorte de fable absurde et cynique, genre dans lequel excellait Marco Ferreri, dont c'est peut-être le chef-d'œuvre.

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Les suppléments:

  • Bande annonce
  • Interview. avec Michel Piccoli
  • Interview avec Adriano Apra
  • Le Cercle de Minuit
719,4 Mo
 
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Michel Piccoli à propos du film

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Anita Pallenberg

Trintignant-1969-Le voleur de crimes

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Le voleur de crimes
1969 - 1hre 26
VHSRiP | Generic MPEG-4 | 704x528 pixels | Mp3 | 999 Mo




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Le voleur de crimes
1969 - 1hre 26
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Réalisatrice: Nadine Trintignant   
Assistants réalisateur: Jean-José Richer et Jean Chayrou   
Scénariste et dialoguiste: Nadine Trintignant

Distribution:

Jean-Louis Trintignant : Jean Girod
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Robert Hossein : Christian, dit Tian
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Giorgia Moll : Olga Girod, la femme de Jean
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Bernadette Lafont : La logeuse
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Florinda Bolkan : Florinda
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Karen Blanguernon : La suicidée
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Lucienne Hamon : La femme traquée
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Tanya Lopert : Une consommatrice au bar
Serge Marquand : Guieff, l'ami de Christian
Antoine Ouvrier : Le petit Antoine
Francis Girod : Le barman

Journaliste, marié à une charmante épouse, père de deux enfants, Jean vît dans un état dangereusement dépressif. Il s'ennuie « mortellement ». Ayant assisté au suicide d'une automobiliste qui s'est précipitée du haut d'une carrière dans le vide, Jean est hanté par ces images atroces et bientôt, par un singulier transfert, il revendique cet événement et le transforme en accident criminel dont il se veut l'auteur. Se coupant de son foyer, i1 se réfugie chez un ami peintre et sculpteur. Là, Jean écrit au directeur de « France-Soir » pour dénoncer son crime ; il suit fiévreusement le retentissement de ses lettres reproduites par la presse à grand tirage et à scandale. Il dessine le portrait-robot du criminel, tel qu'il l'a dépeint. le sien. Il l'ornera même, dans une crise mystique, de gouttes de son sang, figurant une couronne d'épines. Puis, las de ne pas être cru, Jean commet sur la jeune compagne de son ami, Florinda, le crime démentiel dont il rêve, reproduction minutieuse du suicide de l'automobiliste qui hante ses nuits et ses jours. Il attache Florinda, innocente et intriguée, au siège de sa voiture, la bâillonne et précipite la voiture dans le vide. Enfin devenu criminel, Jean va se livrer à la Justice. Il sort, triomphant, menottes aux mains, du commissariat de police.

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VHSRiP | Generic MPEG-4 | 704x528 pixels | Mp3 | 999 Mo

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Trintignant-1971-Ça n'arrive qu'aux autres

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Ça n'arrive qu'aux autres
1971 - 1hre 30
Generic MPEG-4 | 640x400 pixels | AC3 | 1,37 Go



Ça n'arrive qu'aux autres
1971 - 1hre 30
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Réalisatrice: Nadine Trintignant
Assistant réalisateur: Alain Corneau
Scénariste: Nadine Trintignant
Producteurs: Claude Lelouch et Claude Pinoteau

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Distribution:

Catherine Deneuve : Catherine




Marcello Mastroianni : Marcello
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Catherine Allégret : jeune femme
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Serge Marquand : le frère de Catherine
Dominique Labourier : Marguerite
Danièle Lebrun : Sophie


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Catherine et Marcello forment un couple uni. Leur fille, Camille, âgée d'un an, représente pour eux l'axe autour duquel tourne le monde. Catherine et Marcello s'avouent heureux et ne voient pas plus loin que le bout de leur bonheur. Mais un jour ce qui n'arrive qu'aux autres, s'abat sur eux: la petite Camille meurt. Catherine et Marcello refusent d'accepter ce coup du sort: ils rompent avec leur vie passée, leurs amis, leurs proches et s'enferment dans leur appartement. Là, ils vivent repliés sur eux-mêmes, traversant des périodes d'incompréhension.

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Marcello abandonne son métier; Catherine, lorsqu'elle sort, passe ses journées à vanter les mérites de sa fille aux mères de famille qui promènent leurs enfants dans des parcs... Et puis un soir, las de ce décor qui ne change jamais, Catherine et Marcello décident de partir loin, à l'aventure. Dans un village où ils s'arrêtent, ils croisent une noce. Peu à peu, la vie reprend ses droits: Catherine et Marcello boivent, dansent, rient. Leur gaieté, d'abord factice, devient plus réelle. Mais au petit matin, le souvenir de Camille resurgit sous la forme d'une vieille photo oubliée...


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Chevalier-1960-Le mouton

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Le mouton
1960 - 1hre 26
DivX 5,0 | 720x576 pixels | Mp3 | 790,3 Mo



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Le mouton
1960 - 1hre 26
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Réalisateur: Pierre Chevalier   
Scénariste: Jean-Jacques Rouff   
Dialoguiste: Jean Girault

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Distribution:

Fernand Raynaud : Fernand Castel
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Danièle Lebrun : Gisèle Martin
Jean-Pierre Marielle : Le chef de la Préfecture de Police
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Gib Grossac : "Le Tigre"
Patricia Karim : Marylin
Jacques Mareuil : L'inspecteur Martial
Jacques Hilling : L'inspecteur Lenfant
Harold Kay : Marcel
Florence Blot : Mme Martin
Robert Vattier : Le directeur de la prison
Raymond Souplex : Le gardien-chef
Bernard Musson : Un agent de la circulation
Laure Paillette : La belle-mère de Gaston

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Employé à la préfecture de Police, Fernand Castel doit servir de "Mouton" pour extorquer les aveux du "Tigre", sombre bandit, enfin capturé. Le Tigre arrive pourtant à s'évader, mais entraîne Fernand dans sa fuite. Les péripéties se succèdent et culminent avec le cambriolage d'une banque. Fernand, contraint de l'exécuter, prend aux yeux de Gisèle, la fille de sa logeuse, l'apparence d'un héros. Ils se marient et Fernand demande pour lui servir de témoin la présence du "Tigre". Il enlève le jeune marié pour l'entraîner dans de nouvelles aventures.

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DivX 5,0 | 720x576 pixels | Mp3 | 790,3 Mo

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Chevalier-1961-Auguste

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Auguste
1961 - 1hre 30
DivX 5,0 | 704x432 pixels | Mp3 | 790 Mo


Auguste
1961 - 1hre 30
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Réalisateur : Pierre Chevalier
Scénario : Pierre Chevalier et Raymond Castans d’après sa pièce de théâtre Auguste
Dialogues : Raymond Castans


Distribution:

Fernand Raynaud : Auguste Roussel

Valérie Lagrange : Françoise Martin

Jean Poiret : Georges Flower

Roger Carel : Albert, le beau-frère
Palau (Pierre Palau) : Boyer de l’Ain
Simone Berthier : la servante d’Auguste
Paul Préboist : Dupont, le photographe

Hubert Deschamps : le récitant
Ingrid Bergman : elle-même (simple apparition)
Claudia Cardinale : elle-même (simple apparition)


Grand spécialiste de cette forme de publicité moderne qu'on appelle « les public relations », George Flower désire d'une part lancer les films de la grande vedette américaine Marylin Wood, et d'autre part faire connaître au grand public la jeune starlette Françoise Martin sur laquelle il fonde de grands espoirs. Pour attirer l'attention de ses concitoyens sur elle-même, Françoise devra se jeter dans la Seine, au pont de l'Alma, à la minute même où le Président de la République inaugurera le Salon Nautique et. Françoise devra être sauvée, bien sûr, par la grande vedette de Hollywood Gary Johnson dont elle sera la partenaire dans son prochain film.


Mais Georges Flower avait monté son scénario sans tenir compte de l'imprévu, personnifié par Auguste Roussel, employé de banque à la B.L.D.I., agence h, avenue Bosquet ! Il passe sur le pont de l'Alma, voit une jeune fille se noyer, se jette dans la Seine et la sauve, malgré les protestations véhémentes de Françoise déçue par le sauveteur inconnu. Or, c'est Auguste qui va devenir célèbre. Les journaux et la T.V. racontent son exploit. Atteint d'un refroidissement à la suite de son plongeon, il est sauvé par un remède envoyé des Etats-Unis. Bref, en une semaine, il devient la personnalité française la plus connue.


Flower renonce à lancer Françoise pour se tourner vers Auguste. Il réinvente sa vie pour « la presse du coeur » et le fiancera à Marylin Wood. Mais Flower base tout sur Auguste, comme s'il était un personnage-robot entièrement à sa disposition. Il oublie qu'Auguste a un coeur tendre follement amoureux de Françoise, la petite starlette sauvée des eaux. Auguste retrouve Françoise à Cannes. Il oublie son rendez-vous avec Marylin. Nouveau rebondissement, Flower marie - pour rire - Auguste et Françoise. Mais Auguste rompt les ponts avec ce Flower : il emmène sa femme dans un voyage de noces publicitaire qui leur permettra à tous les deux de mener la vie de milliardaires.







Decoin-1956-Le feu aux poudres

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Le feu aux poudres
1956 - 1hre 37
DivX 5,0 | 720x576 pixels | AC3 | 664,4 Mo



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Le feu aux poudres
1956 - 1hre 37
---
---
Réalisateur: Henri Decoin   
Assistants réalisateur: Edmond Agabra et Michel Deville   
Scénariste: Jacques Robert   
Adaptateurs: Henri Decoinet Albert Simonin   
Dialoguiste: Albert Simonin

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Distribution:

Peter Van Eyck    (Pedro)
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Françoise Fabian    (Lola)
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Raymond Pellegrin    (Ludo)
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Charles Vanel    (Albatrasse)
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Lino Ventura    (Legentil)
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Lila Rocco    (Brigitte)
Marthe Mercadier    (l'aubergiste)
Roland Armontel    (Antoine)
Mathilde Casadesus    (Mimi)
François Chaumette    (l'ingénieur du son)
Henri Cogan    (Matt)
Michel Flamme    (un inspecteur)
Michel Jourdan    (Frédé)
Lisa Jouvet    (la serveuse)
Pierre Louis    (Fougeron)
Jacqueline Maillan    (Catherine)
Pascal Mazzotti    (le pharmacien)
Dario Moréno    (Jeff)
Albert Simonin    (Albert)

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Un jeune peintre, Ludovic, a dressé son chevalet sur la place d'un village des Causses. Une jeune femme, Lola, s'arrête pour admirer, ce qui vaut à Ludo une raclée du mari jaloux, Pedro. Le lendemain, Ludo monte au repaire de ce gentilhomme-farmer, une maison fortifiée au sommet du plateau. Lola se montre heureuse de son intrusion et affolée à la pensée de son mari. Mais lorsque Pedro arrive, Ludo lui tend un briquet d'or, signe de reconnaissance des hommes d'Albatrasse, un trafiquant d'armes actuellement coffré. Après un temps de méfiance, Pedro débat un prix et les deux hommes partent pour Sète, chez Jeff, l'associé de Pedro. On décide que les armes seront livrées la nuit suivante, en mer, sur un cargo. Mais entre temps, un incident nous a révélé que Ludo est de la police. Le marché se conclut par une fiesta au cours de laquelle Ludo et Lola se confientl eur amour.

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Elle est fatiguée de la vie recluse que lui impose le soupçonneux Pedro. Elle veut vivre ; elle veut rejoindre Paris. Pendant ce temps la police cuisine Albatrasse et enregistre ses déclarations au magnétophone : un savant montage de la bande sonore permettra ensuite au téléphone de confirmer la demande de Ludo. Mais Albatrasse parvient à s'évader, à franchir les barrages de police et à prévenir Pedro. Celui-ci dissimule une colère froide, cherche Ludo et trouve Lola dans ses bras. A cet instant la police arrive sur le plateau. Lola est comme pétrifiée par la peur. Elle laisse enchaîner Ludo. Annihilée par le désespoir, elle ne fera rien pour le délivrer. La police assiège la maison, Pedro est atteint mais, avant de mourir, il lâche une rafale sur Ludo. Tandis que celui-ci agonise, la jeune femme, désemparée, descend du repaire et s'enfonce dans la nuit noire.

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DivX 5,0 | 720x576 pixels | AC3 | 664,4 Mo

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Françoise Fabian
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Decoin-1957-Tous peuvent me tuer

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Tous peuvent me tuer
1957 - 1hre 38
Generic MPEG-4 | 496x220 pixels | Mp3 | 1,08 Go*


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Tous peuvent me tuer
1957 - 1hre 38
---
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Réalisateur: Henri Decoin   
Assistants réalisateur: Edmond Agabra et Michel Deville   
Scénariste: André Versini   
Adaptateurs: André Versini, Henri Decoin et Albert Simonin   
Dialoguiste: Albert Simonin

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Distribution:

Anouk Aimée : Isabelle, la fiancée d'Antoine
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François Périer : Le directeur de la prison
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Eleonora Rossi Drago : La femme du directeur
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Francis Blanche : La Bonbonne, un gardien
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Pierre Mondy : Emile Chanu le détenu coiffeur
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Dario Moreno : Luigi Falconi, barman
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Peter van Eyck : Cyril Glad, guide touristique
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Charles Gérard : Un détenu
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André Versini : Antoine Lefébure dit : Tony, marchand ambulant
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Jean-Claude Brialy : Un inspecteur enquêteur
Pierre Dudan : Fernand, le détenu mouchard
Franco Fabrizi : Karl Herman, veilleur de nuit
Josselin : Le détenu "banquier"
Pierre-Louis : Gaston Berlioux, professeur
Jean-Pierre Marielle : Jérôme, un détenu
Albert Michel : Le brigadier Bricard, un gardien
Mario David : Le détenu au paquetage
Albert Daumergue : Un consommateur
Gérard Dorsen: Le second inspecteur enquêteur
Michèle Drey : La mère d'Isabelle

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Cinq hommes préparent un hold-up. Ce sont Cyril Glad, ancien légionnaire, fils d'une grande famille ; Antoine Lefebure, camelot, qui va faire ce grand coup pour épouser la petite fleuriste Isabelle ; Folco Luigi, barman peureux mais qui veut avoir un bar à lui ; Karl Herman, veilleur de nuit dans une distillerie, un rêveur ; Gaston Berlloux, ancien professeur de philosophie. Aussitôt après le vol, ils cachent leur magot et vont se constituer un alibi en pénétrant par effraction dans la distillerie où travaille Herman ; ils s'enivrent jusqu'à l'arrivée de la police qui les arrête. L'affaire a été soigneusement montée.

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Les cinq hommes sont condamnés à un an de prison et l'on ne peut soupçonner qu'ils sont les auteurs du hold-up pratiqué quelques instants plus tôt ! Quand ils sortiront, les choses se seront tassées et ils pourront en toute quiétude récupérer leur magot. Les voici tous les cinq dans la même prison. Mais trois mois plus tard, Herman tombe d'une galerie : suicide, concluent les enquêteurs. Un peu plus tard, Gaston est trouvé pendu dans les douches. Les trois qui restent commencent à se surveiller, ce qui n'empêche pas Luigi d'être écrasé par un monte-charge. Cyril et Tony se mettent à se haïr, jusqu'au jour où Cyril est grièvement blessé d'un coup de couteau.

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Tony reste seul. Il sait qu'il n'est pas le coupable, mais il sait aussi que son tour va venir avant la date de sa libération, c'est-à-dire avant sept jours. Un seul moyen d'échapper à la peur et à l'assassin : s'évader. S'il ne le fait pas, « tous peuvent le tuer » car il peut suspecter tous les autres détenus dont l'un est à coup sûr au courant du secret du hold-up et cherche à provoquer ses confidences. L'évasion de Tony est possible grâce à la complicité du coiffeur de la prison qui circule librement à l'intérieur du bâtiment. Mais c'est justement lui l'assassin. Une lutte sauvage oppose les deux hommes au moment où, en possession du secret, l'autre va abattre Tony. L'assassin est tué. Une fois libre, Tony rejoint Isabelle et ils restituent le magot volé.

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Generic MPEG-4 | 496x220 pixels | Mp3 | 1,08 Go

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Anouk Aimée
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Gustave Moreau

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Gustave Moreau
138 JPG | 158,4 Mo






Gustave Moreau, né et mort à Paris (6 avril 1826 - 18 avril 1898) est un peintre, graveur, dessinateur et sculpteur français.
Il est l'un des principaux représentants en peinture du courant symboliste, imprégné de mysticisme.
Né à Paris, rue des Saints-Pères, Gustave Moreau est le fils de Louis Moreau, architecte de la ville de Paris (1790-1862) et de Pauline Desmoutiers (1802-1884), fille d'un maire de Douai en 1795-1797 et 1815 - par sa mère il est apparenté à de puissantes familles terriennes implantées en Flandre, les Brasme, les Le François, les Des Rotours.
De santé fragile, le jeune Gustave dessine depuis l'âge de 6 ans, encouragé par son père. En 1843, il effectue un premier voyage en Italie, puis en 1844, il devient l'élève de François-Édouard Picot ; il intègre alors l'École nationale supérieure des beaux-arts en 1846. Il échoue par deux fois au prix de Rome. Copiste au Musée du Louvre en 1850, il se lie d'amitié avec Théodore Chassériau.
Il débute sa carrière en exposant au Salon en 1852 et, où il exposera jusqu'en 1880.
De 1857 à 1859, il effectue un deuxième voyage en Italie (Rome, Florence, Milan, Pise, Sienne, Naples, Venise), où il passe des mois à copier les œuvres du Titien, de Léonard de Vinci et les fresques de Michel-Ange de la chapelle Sixtine. Il emprunte beaucoup aux maîtres de la Renaissance et intègre également des motifs exotiques et orientaux dans ses compositions picturales. C'est à l'occasion de ce voyage qu'il se lie d'amitié avec Edgar Degas. De retour à Paris en septembre 1859, il rencontre Alexandrine Dureux.
En 1862, il reçoit la commande d'un chemin de croix par l'intermédiaire d'un de ses ami, Eugène Fromentin, il l'exécute de juin 1862 à février 1863 dans le plus parfait anonymat. Les toiles ont été très rapidement exécutée.On les a longtemps attribué à un des ses élèves. Elles sont à présent aux monuments historiques
En 1886, il expose ses œuvres dans la galerie Goupil.
Élu à l'Académie des beaux-arts en 1888, Gustave Moreau est nommé professeur en 1892 à l'École des Beaux-Arts de Paris. Il compte parmi ses élèves Adolphe Beaufrère, Henri Matisse, Raoul du Gardier, Albert Marquet, Georges Rouault, Léon Printemps, et Louis Valtat.
À la fin de sa vie, il fait brûler toute la correspondance échangée avec la seule femme qu'il ait jamais aimée, Alexandrine Dureux qui meurt en 1890. Ils n'ont toutefois jamais été mariés. À partir de 1895, il fait transformer en musée la maison familiale du 14 rue de La Rochefoucauld à Paris que ses parents avaient acheté à son nom en 1852. Il lègue cette maison et tout ce qu'elle contient à l'État à sa mort en 1898, et le musée national Gustave Moreau ouvre ses portes en 1903.
Il est inhumé au cimetière de Montmartre.





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