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Tourneur, Jacques-1955-Wichita

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Un jeu risqué
Wichita
1955 - 1hre 18 - VFr
Xvid | 624x272 | Mp3 | 695,6 Mo



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Wichita
Un jeu risqué
1955 - 1hre 18 - VFr
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Réalisation : Jacques Tourneur
Scénario : Daniel B. Ullman

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Distribution:

Joel McCrea : Wyatt Earp
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Vera Miles : Laurie McCoy
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Lloyd Bridges : Gyp Clements
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Wallace Ford : Arthur Whiteside
Edgar Buchanan : Doc Block
Peter Graves : Morgan Earp
Keith Larsen : Bat Masterson
Carl Benton Reid : le maire Andrew Hocke
John Smith : Jim Earp
Walter Coy : Sam McCoy
Robert J. Wilke : Ben Thompson
Walter Sande : Clint Wallace
Jack Elam : Al Mann
Mae Clarke : Mary Elizabeth McCoy

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Wyatt Earp arrive à Wichita (Kansas), une petite bourgade de l'Ouest américain. Économiquement, la cité vit essentiellement du commerce du bétail. Mais les convoyeurs et leurs hommes sèment le trouble à chaque arrivée. Un soir de beuverie, un enfant est tué d'une balle perdue.

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Andrew Hocke, le maire de la ville, demande à Wyatt Earp de prêter serment pour devenir shérif. Celui-ci accepte et ordonne à chaque homme de ne plus porter d'armes. Mais certains notables commencent à s'inquiéter de ses décisions...

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Xvid | 624x272 | Mp3 | 695,6 Mo

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Vera Miles
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Guitry-1955-Napoléon

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Napoléon
1955 - 2hres
AVI | H.264 | 720x400  | AC3 | 2,2 Go


Napoléon
1955 - 2hres
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Réalisation : Sacha Guitry
Scénario, Adaptation, Dialogue : Sacha Guitry
Assistants réalisateur : Patrice Dally, Gérard Renateau, Jean Vivet


Distribution:

Michèle Morgan (Joséphine de Beauharnais)



Danielle Darrieux (Eléonore Denuelle)
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Sacha Guitry (Talleyrand)

Raymond Pellegrin (Napoléon)

Daniel Gélin (Bonaparte)

Lana Marconi (Marie Walewska)

Micheline Presle (La reine Hortense de Beauharnais)

Gianna Maria Canale (Pauline Borghèse)

Pauline Carton (Une aubergiste)
Dora Doll (Une merveilleuse)
Dany Robin (Désirée Clary)
Pierre Brasseur (Barras)

Serge Reggiani (Lucien Bonaparte)

Noël Roquevert (Le général Cambronne)
Jean Marais (Le comte de Montholon)

Yves Montand (Le maréchal Lefebvre)
Orson Welles (Sir Hudson Lowe)

Erich von Stroheim (Ludwig van Beethoven)
•Michèle Cordoue (Julie Clary) •Patachou ("Madame Sans-Gêne") •Nicole Maurey (Mme Tallien) •Maria Favella (Mme Laetitia) •Marguerite Pierry (Mme de Chabrol-Trompiez) •Jeanne Boitel (Mme de Dino) •Anna Amendola (Caroline Murat) •Maria Schell (Marie-Louise, l'archiduchesse d'Autriche) •Cosetta Greco (Elisa Bacciochi) •Miss Darling (Legitimus) (Blanche, la nourrice) •Madeleine Lebeau (Émilie Pellapra) •Simone Paris (La comtesse de Blanc-Mesnil) •Marie Mansart (Mme Bertrand) •Anne Carrère (Mme Hamelin) •Betty Beckers (Une merveilleuse) •Michèle Ginesty (Une merveilleuse) •Janine André (Une merveilleuse) •Liliane Piquet (Une merveilleuse) •Catherine Brieux (Une merveilleuse) •Colette Brumaire (Une merveilleuse) •Jacqueline Chambord "Judith Magre" (Une merveilleuse) •Olga Nielsen (Une merveilleuse) •Yvonne Hebert (Une merveilleuse) •Paulette Andrieux (Une merveilleuse) •Michèle Bernard (Une merveilleuse) •Noëlle Bourdin (Une merveilleuse) •France Degan (Une merveilleuse) •Françoise Jacquier (Une merveilleuse) •Nadine Tallier (Une merveilleuse) •Martine Alexis (Mlle Delacroix) •Flore Florence (Mme Clary, mère) •Henri Vidal (Le maréchal Murat) •Luis Mariano (Garat, le chanteur) •Jean Chevrier (Le général Duroc) •Maurice Escande (Louis XV) •Jean Marchat (Le général Bertrand) •Jean Piat (Junot) •Daniel Ivernel (Cambacérès) •Gilbert Gil (Louis Bonaparte) •Lucien Baroux (Louis XVIII) •Robert Manuel (Joseph Bonaparte) •Clément Duhour (Le maréchal Ney) •Roger Pigaut (La marquis de Caulaincourt) •Maurice Teynac (Le comte Emmanuel de las Casas) •Jean-Jacques Delbo (Le général Becker) •Jacques Dumesnil (Jean-Baptiste Bernadotte) •Gino Antonini (Le pape Pie VII) •Louis Arbessier (Le maréchal Berthier) •Umberto Melnati (Le cardinal Fesch) •Jacques Varennes (Boissy d'Anglas) •Claude Arlay (Jérôme Bonaparte) •Gilbert Bokanowski (Louis XVI et Marchand) •Marcel Vallée (Le général Carteaux) •Aimé Clariond (Corvisart) •Jean Paqui "Le chevalier d'Orgeix" (Le général Flahaut) •Jean Debucourt (Fouché) •Roland Alexandre (Le comte de Blanc-Mesnil) •Jean Danet (Le général Gourgaud) •Georges Vitray (Gohier) •Charles Moulin (Le général Mortier) •Armand Mestral (Le général Oudinot) •O.W. Fischer (Le prince Von Metternich) •Jean-Pierre Aumont (Regnault de St-Jean d'Angely) •Howard Vernon (Lord Liverpool) •Denis d'Inès (Sieyes) •Marcel Journet (Choiseul) •Lucien "ou Jean-Marc" d'Anthony (Marmont) •Antonio (Le coiffeur) •André Chanu (Le général Petit) •Roland Bourdin (Méneval) •Bernard Lefort (Un chanteur) •Illial (Ali) ...


1821. Talleyrand apprend la mort de l'Empereur. Pressé par un petit auditoire de curieux et de diplomates, il consent, pourvu que ce soit à sa manière, à raconter Napoléon. Voici l'éducation à Brienne, le premier succès militaire à Toulon. Dès lors nous verrons Bonaparte, qui s'occupe des affaires intérieures, de la guerre ou des femmes, remporter toutes les batailles. Du Consulat à l'Empire, de Joséphine à Marie-Louise, du Pont d'Arcole à Wagram. Mais il y a aussi Moscou et l'île d'Elbe, Waterloo et Sainte-Hélène. Et enfin, toujours vu par Talleyrand, l'entrée de l'Empereur dans le Panthéon imaginaire que son destin lui réservait.






Gilles Carle-1970-Red

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Red
1970 - 1hre 30
DivX 5,0 | 640x480 pixels | AC3 | 699 Mo



Red
1970 - 1hre 30
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Réalisateur et Scénariste: Gilles Carle

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Distribution:

Daniel Pilon : Red

Geneviève Deloir : Georgette
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Gratien Gélinas : Frédéric
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Fernande Giroux : Élisabeth
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Katerine Mousseau : Domino
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Paul Gauthier : Amédée
Claude Michaud : Jérôme
Donald Pilon : Bill Sullivan
Yvon Dufour : Det. Sgt. Brunette
Sylvie Heppel : Catherine
Raymond Cloutier : Joachim


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La banlieue de Montréal, au Québec. Des voleurs de voitures sont poursuivis par la police. L'un d'eux lui échappe, Red, jeune métis né d'un père québécois, qu'il n'a pas connu, et d'une mère indienne, qui vit dans une réserve. Red vient lui présenter son amie, Georgette. Vivant d'expédients avec des goûts de luxe, le jeune homme cambriole le garage que tient Frédéric, le mari de sa demi-soeur Elizabeth. Mal-mariée, celle-ci se confie à Red, à qui elle est très liée, et lui demande de l'aider à se suicider, ce qu'il refuse. Peu après, Red apprend coup sur coup la mort de sa mère puis celle d'Elizabeth, retrouvée assassinée devant son domicile. L'arme du crime n'est autre que celle du jeune métis, qui est aussitôt soupçonné aussi bien par la police que par ses demi-frères, Joachim, Jérôme et Amédée, résolus à faire justice eux-mêmes et à tuer le prétendu coupable. En compagnie de Georgette, Red n'a que le temps de fuir, après avoir assisté avec elle au spectacle désolant de Frédéric brûlant dans une décharge tous les meubles et objets ayant appartenu à Elizabeth. Les deux fuyards atteignent un village algonquin, près des lacs, où ils trouvent refuge, en pleine nature. A la fin de l'hiver, maintenant convaincu que l'assassin n'est autre que Frédéric lui-même, et sourd aux supplications de Georgette, Red décide de rentrer à Montréal pour y crier son innocence et démasquer le coupable. Mais ses demi-frères le traquent à nouveau et l'abattent.

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Carle-1971-Les males

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Les mâles
1971 - 1hre 47
DivX 5,0 | 640x480 pixels | Mp3 | 874 Mo


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Les mâles1971 - 1hre 47

Réalisation, scénario, dialogues et montage : Gilles Carle

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Distribution:

Donald Pilon (Jean Saint-Pierre)
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Andrée Pelletier (Rita Sauvage)
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Katerine Mousseau (Dolorès)
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René Blouin (Émile Sainte-Marie)
J.-Léo Gagnon ; Paul Gauthier
Marc Gélinas
Guy L'Écuyer
Danièle Lafleur
Michèle Latraverse
Jacques Bilodeau
José Rettino
Robert Desroches


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Jean et Émile s'installent en solitaire au fin fond d'une forêt. Après deux ans d'isolement, ils se rendent en ville pour trouver une fille. Ils en enlèvent une, la fille d'un chef de police, mais sont vite arrêtés. Une fois dehors, ils s'en retournent chez eux, au campement. Là, ils constatent que Rita, une magnifique créature, pure et innocente, s'est installée dans leur repère. Bientôt les trois compagnons forment un ménage à trois idéal. Mais la jalousie, la méchanceté et la violence viennent séparer les amoureux. Nos deux bûcherons repartent chercher leur amie. Leur paradis n'aura duré que le temps d'une chanson.

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Katerine Mousseau

Carle-1973-La mort d'un bûcheron

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La mort d'un bûcheron
1973 - 1hre 50
DivX 5,0 | 640x368 pixels | AC3 | 699 Mo



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La mort d'un bûcheron
1973 - 1hre 50
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Réalisation: Gilles Carle
Scénario: Gilles Carle et Willie Lamothe
Musique: Willie Lamothe

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Distribution:

Carole Laure    (Maria Chapdelaine)




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Willie Lamothe    (Armand St-Amour)
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Daniel Piton    (François Paradis)
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Pauline Julien    (Charlotte Juillet)
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Marcel Sabourin    (Ti-Noir l'Espérance)
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Denise Filiatrault    (Blanche Bellefeuille)
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J.Léo Gagnon • Roger Lebel • Ernest Guimond • Jacques Gagné • Gil Laroche • Jacques Bouchard • Yvonne Diabo • Eugene La Hache • Marcel Fournier

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Qui était Tancrède Chapdelaine, bûcheron disparu alors qu'il exerçait son métier sur un chantier de la Canadian International Paper? Marie, sa fille, rêve de ce père qu'elle n'a jamais vu et décide de le retrouver. Elle quitte Chibougamau où elle a été élevée et part pour Montréal. Qui saura la renseigner? François Paradis, jeune et séduisant journaliste, qui n'hésite pas à marchander sa jeune beauté...? Armand Saint-Amour, ami de sa mère, qui fera de Marie la première chanteuse western "topless" d'Amérique du Nord...? Ou Blanche Bellefeuille, créature opulente qui fut longtemps la maîtresse de Chapdelaine...? Chacun de ces personnages évolue dans un monde violent mais ils tentent, à leur manière, d'aider Marie. Tous se retrouveront dans un camp de bûcherons désaffecté où vécut Tancrède Chapdelaine. Là, Marie apprendra enfin ce qu'elle voulait savoir...

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• 

Carole Laure
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Pauline Julien
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Carle-1973-La tête de Normande St-Onge

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La tête de Normande St-Onge
1973 - 1hre 56
Mp4 | H.264 | 640x480 pixels | AAC | 1,1 Go



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La tête de Normande St-Onge
1973 - 1hre 56
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Réalisateur: Gilles Carle   
Scénaristes: Gilles Carle et Ben Barzman

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Distribution:

Carole Laure    (Normande Saint-Onge)
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Raymond Cloutier    (Walter Bouliane)
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Renée Girard    (Berthe Saint-Onge)
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Denys Arcand    (Jean-Paul)
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Carmen Giroux    (Pierrette)
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Reynald Bouchard    (Carol Chalifoux)
J.Léo Gagnon    (le sculpteur)
Anne-Marie Ducharme    (Madame Vieilleux)
Gaëtan Guimond    (Jeremy Vieilleux)
Yves Massicotte    (le docteur Ostigny)

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A quoi songe Saint-Onge, Normande, élevée par les soeurs, jalouse de sa soeur, Pierrette, amoureuse sans espoir de sa mère, ancienne chanteuse, plus proche du strip-tease que de l'Opéra, qui gît, aujourd'hui, enfermée dans un hôpital psychiatrique pour dérèglement mental? A la folie de sa mère. Mais où commence la folie? La voisine de Normande, Madame Veilleux, élève, en guise de protection, des rats dans sa chambre. Carol Chalifoux, qu'elle rencontre par hasard, vit dans un monde magique où il peut rêver et prédire l'avenir. Le sculpteur, lui, ne vit que pour faire poser Normande. Bouliane, l'amant, se réfugie dans sa virilité comme pour mieux se la prouver. Et Jérémie ne jure que par sa batterie. Qui est fou et qui ne l'est pas?...



Alors, aidée de Carol qui connaît bien les lieux pour les avoir pratiqués, Normande, qui a prétexté une maladie pour échapper à son travail, fait évader sa mère et la cache lorsque les autorités s'en viennent la chercher. Berthe Saint-Onge ne sort de son hébétude que pour critiquer Normande et se rapprocher de Pierrette qui s'est joint au clan réuni. Un soir, après une fête qui a mal fini, la tête de Normande explose: la vérité sort, crue, nette, sur cette famille qui est la sienne et sur son entourage qu'elle a toujours entretenu. La vérité ou le début de la folie? Tandis que Berthe est ramenée à l'asile par son frère, seule dans l'appartement qu'elle doit quitter le lendemain sur l'ordre du propriétaire, Normande, l'oeil fixe, égaré, devient la proie de délirants phantasmes...

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Carole Laure

Carle-1977-L'ange et la femme

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L'ange et la femme
1977 - 1hre 27 - StAngl incrustés
DivX 5,0 | 640x480 pixels | Mp3 | 636 Mo



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L'ange et la femme
1977 - 1hre 27 - StAngl incrustés
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Réalisation et Scénario : Gilles Carle
Musique : Lewis Furey

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Distribution:

Carole Laure : La femme (Fabienne)
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Lewis Furey : L'ange (Gabriel)
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Jean Comptois : Bandit
Joe Elsnor : Bandit
Conrad Peterson : Bandit
Stephen J. Roth : Bandit
Stephen Lack : Le chef

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Une région désolée en hiver... Une jeune femme, atteinte de plusieurs balles de mitraillette, s'écroule dans la neige et glisse le long d'un talus, pantin désarticulé. Passe alors un étrange jeune homme qui emporte le cadavre dans sa maison isolée. Là, soufflant sur les blessures de la jeune femme, il la fait revenir à la vie. Fabienne, qui a tout oublié, réapprend à vivre avec cet homme qui s'appelle Gabriel.

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Ce mystérieux Gabriel, aux pouvoirs si puissants qu'il redonne vie à une colombe empaillée, lui communique un peu de son art (par exemple, embraser des objets à distance avec le "feu" du regard), et lui enseigne la musique. Tous deux connaissent bientôt des instants de communion, à la faveur de duos musicaux (elle au piano et lui au violon) et d'expériences érotiques et amoureuses. Cependant, la mémoire revient peu à peu à Fabienne, morceaux épars de souvenirs qui l'incitent à s'enfuir de l'accueillante maison. Partie à la recherche du passé, elle retrouve ses assassins qui l'abattent une seconde fois...

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DivX 5,0 | 640x480 pixels | Mp3 | 636 Mo

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Carole Laure
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Bellocchio-2003-Buongiorno, notte

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Buongiorno, notte
2003 - 1hre 42 - VoStFr
Xvid | 512x288 | Mp3 | 681,8 Mo




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Buongiorno, notte
2003 - 1hre 42 - VoStFr
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Réalisation : Marco Bellocchio
Scénario : Marco Bellocchio et Daniela Ceselli
D'après le livre d'Anna Laura Braghetti et Paola Tavella


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Distribution:

Maya Sansa : Chiara
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Luigi Lo Cascio : Mariano
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Roberto Herlitzka : Aldo Moro
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Giovanni Calcagno : Primo
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Pier Giorgio Bellocchio : Ernesto
Paolo Briguglia : Enzo

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Rome, 1978. Chiara et son ami s'installent dans un grand appartement. D'autres amis les rejoignent. Quelques jours plus tard, ils amènent un homme. Il s'agit d'Aldo Moro, le leader des Démocrates Chrétiens, qu'ils viennent d'enlever. Contre sa libération ils exigent celle de plusieurs "Brigades Rouges" emprisonnés. Chiara est perturbée par Moro. Inconsciemment, elle projette sur lui l'image de son père, tué par les fascistes. Chiara tente de préserver l'apparence d'une vie normale et se rend régulièrement à son travail de bibliothécaire. Là, elle rencontre un jeune artiste, Enzo, dont les idées font encore fléchir sa détermination.

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Il est l'auteur d'un scénario (retrouvé dans les affaires de Moro), intitulé Buongiorno, notte. Les négociations pour la libération de Moro s'avèrent difficiles. Ce dernier écrit quantité de lettres. En dernier recours, il sollicite l'appui du Pape, et l'obtient. Mais l'intervention de Paul VI ne fait pas céder le gouvernement. L'assassinat de Moro semble inéluctable. Enzo, qui a compris qui est Chiara, s'efforce de lui faire envisager les solutions qu'elle semble s'interdire. Elle songe à endormir ses amis, et libérer Moro. En réalité, la mécanique tragique ira jusqu'à son terme, et Moro sera tué. Mais quelque part, dans l'imagination de Chiara ou le scénario d'Enzo, il marche libre.

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Xvid | 512x288 | Mp3 | 681,8 Mo




Maya Sansa

Bellocchio-2009-Vincere

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Vincere
2009 - 2hres - VFr
Xvid | 608x320 | Mp3 | 690 Mo



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Vincere
2009 - 2hres - VFr
Xvid | 608x320 | Mp3 | 690 Mo
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Réalisation : Marco Bellocchio
Scénario : Marco Bellocchio et Daniela Ceselli

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Distribution:

Giovanna Mezzogiorno    (Ida Dasler)
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Filippo Timi    (Benito Mussolini)
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Fausto Russo Alesi    (Riccardo Paicher)
Michela Cescon    (Rachele Mussolini)
Pier Giorgio Bellocchio    (Pietro Fedele)
Corrado Invernizzi    (le docteur Cappelletti)
Paolo Pierobon    (Giulio Bernardi)
Bruno Cariello    (le juge)
Francesca Picozza    (Adelina)
Simona Nobili    (la Mère Supérieure)
Vanessa Scalera    (la gentille nonne)
Giovanna Mori    (l'Allemand)
Patrizia Bettini    (le chanteur)
Silvia Ferretti    (Chaussures Rouges)
Corinne Castelli    (Larmes)
Fabrizio Costella    (Benito Albino jeune)

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1913. Ida Dalser, esthéticienne à Milan, retrouve un jeune socialiste, Benito Mussolini, qu’elle avait rencontré par hasard quatre ans plus tôt à Trente. Elle tombe passionnément amoureuse de lui et de ses idées révolutionnaires. En 1914, lorsque Mussolini est exclu du parti socialiste et de la rédaction d’Avanti !, Ida vend tous ses biens pour l’aider à lancer son propre journal.

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Mussolini la demande en mariage et Ida tombe enceinte. La guerre éclate et Mussolini s’engage. Lorsqu’en 1918 il revient, blessé, à Milan, Ida découvre qu’il a déjà une famille. Il refuse de la voir, malgré l’obstination d’Ida. Elle déménage chez sa soeur, à Trente, pour y élever son fils, Benito Albino, et elle est mise sous surveillance. Craignant qu’elle nuise à son ascension politique, Mussolini fait interner Ida à Pergine.

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Elle continue à clamer sa bonne santé mentale ainsi que son statut d’épouse légitime de Mussolini, désormais devenu le Duce. Ida et son fils sont placés sous la tutelle de Giulio Bernardi, le préfet de Trente. Ida est transférée dans un asile de Venise et Benito Albino envoyé dans un internat. Le docteur d’Ida la considère saine d’esprit, mais Bernardi la renvoie à Pergine. Elle tente à nouveau de s’échapper afin de retrouver son fils. En rêve, elle parvient à retourner chez sa soeur, où elle prend une voiture pour retrouver son fils. Ida meurt en 1937 et Benito Albino est interné à son tour. Il y mourra cinq ans plus tard, à l’âge de 26 ans.

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  • 2009 : Présentation en compétition officielle lors du Festival de Cannes 2009.
  • 2009 : Prix du meilleur réalisateur, meilleur acteur, meilleure actrice (Silver Hugo) et meilleure photographie (Gold Plaque) lors du Festival international du film de Chicago.
  • 2009 : Rubans d'argent de la meilleure actrice, meilleure photographie, meilleur montage, et meilleure scénographie.
  • 2010 : David di Donatello du meilleur réalisateur, de la meilleure photographie, de la meilleure scénographie, du meilleur montage, des meilleurs costumes, des meilleurs maquillages, de la meilleure coiffure et des meilleurs effets visuels.
  • 2011 : Prix de la meilleure actrice 2010 aux National Society of Film Critics Awards 2010.

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Xvid | 608x320 | Mp3 | 690 Mo

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Giovanna Mezzogiorno
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Carle-1965-La Vie heureuse de Léopold Z

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La Vie heureuse de Léopold Z
1965 - 1 hre 08





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Réalisation : Gilles Carle
Scénario : Gilles Carle
Photographie : Jean-Claude Labrecque
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Distribution:

Guy L'Écuyer : Léopold Z Tremblay
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Paul Hébert : Théophile Lemay

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Suzanne Valéry
Monique Joly

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Jacques Poulin
Gilles Latulippe : le commis banquier
Bernard Assiniwi : Bernard Lapierre
André Gagnon
Albert Millaire : le narrateur
Raymond Lemay : l'animateur de radio

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On plonge dans le catalogue de l'ONF comme on explore un livre d'histoire. Il est fascinant de saisir l'ampleur des archives audiovisuelles de l'évolution du patrimoine québécois qui se sont constituées au fil des ans par l'entremise du travail acharné de documentaristes chevronnés. Ce sont aussi des réalisateurs de fiction, dont l'oeuvre s'est efforcée d'épouser la réalité, qui ont permis de dresser ce portrait en constante évolution de notre société. La première réalisation de Gilles Carle, La vie heureuse de Léopold Z, s'inscrit parfaitement dans cette philosophie propre à l'ONF où le cinéma devient témoin vivant du réel. Ironiquement, Carle obtint le financement nécessaire à la réalisation de son film de fiction, l'un des premiers qu'ait produit l'ONF, en affirmant qu'il tournerait un documentaire sur le déneigement avec cet argent.

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Au sens local du terme, on peut qualifier le film de Carle de véritable classique. Perdu au sein d'un patrimoine filmique mondial autrement plus raffiné, certes, ce n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan: une curiosité ethnique représentative d'une culture particulière vaguement insignifiante aux yeux de l'étranger normalement constitué. Mais pour nous, il s'agit d'un instant d'histoire cristallisé dans un emballage attachant et accessible. Racontant les péripéties d'un D.S.C. («déneigeur» sous contrat) bon vivant de la classe moyenne québécoise perdu dans une tempête de neige à la veille de Noël, La vie heureuse de Léopold Z est l'antithèse d'une production épique. L'enjeu principal, en fin de compte, sera de ne pas arriver en retard à la messe de minuit malgré la poudreuse qui ne cesse de tomber. C'est tout dire.
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Mais en cours de route, le bienheureux Léopold Z nous en apprend beaucoup sur le Québec en mutation des années soixante. Léo n'est pas un produit de la Révolution tranquille, loin de là. Mais lui et son patron Théo, déjà, ne s'entendent pas sur une foule de sujets. Car Théo est un vestige de l'ère Duplessis: haut fonctionnaire macho et un peu malhonnête qui habite un bungalow valant deux fois le prix de la maison de Léo, il cultive une apparence raffinée mais sa vision du monde est aussi limitée que celle de Léo. Si ce n'est pas un peu plus encore. Point central du film, la conversation entre les deux personnages dans le camion de Léo établit ces deux caractères distincts dont les divergences pourtant minimales révèlent tout un monde de changement.

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C'est dans les petits détails de son film que Gilles Carle révèle son propos. Les clins d'oeil visuels et les dialogues en apparence anodins recèlent tout le contenu de cette Vie heureuse fort sympathique. En ce sens, il s'agit d'une oeuvre beaucoup plus subtile que ne le laisse croire sa surface un peu populaire et simpliste. Léo est un homme modeste et naïf. Mais contrairement à son ami, il sait distinguer un bon patin d'un mauvais. C'est le Québécois moyen de l'époque par excellence. Ce n'est pas un intellectuel et ce n'est pas un être politique. C'est un gars de hockey et de neige, d'alcool, de femmes et, malgré tout, de religion.

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En toile de fond, le métro de Montréal se construit lentement. Le Québec entre dans la modernité. On déverse encore la neige sale dans le fleuve Saint-Laurent mais le mécanisme du progrès est en marche. Carle, lui, capture cette évolution de la perspective des gens qui n'y participent pas, sans vraiment en parler. Les évènements, les gens, le décor parlent d'eux-mêmes. La vie heureuse de Léopold Z transpire son milieu de tous les pores de sa pellicule. Et, contrairement à plusieurs de ses collègues de l'ONF, Gilles Carle avait compris les vertus du montage. Concis et efficace, son premier film livre avec une grande économie de moyens tout un pan de notre histoire collective.
Par Alexandre Fontaine Rousseau

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Carle-1972-La vraie nature de Bernadette

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La vraie nature de Bernadette
1971 - 1hre 35
DivX 5,0 | 640x288 pixels | AC3 | ± 690 Mo


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La vraie nature de Bernadette
1971 - 1hre 35

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Réalisation : Gilles Carle
Scénario : Gilles Carle
Musique : Pierre Brault

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Distribution:

Micheline Lanctôt : Bernadette
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Donald Pilon : Thomas
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Reynald Bouchard : Rock
Robert Rivard : Félicien, le maire  
Willie Lamothe : Antoine, le postier
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Maurice Beaupré : Octave 
Ernest Guimond : Moise 
Julien Lippé : Auguste 
Claudette Delorimier : Madeleine 
Pierre Valcour : Courchesne 
Yvon Barrette : St-Luc 
Yves Allaire : St-Marc 
Yannick Therrien : Yannick (enfant) 
Gilles Lajoie : Napoléon

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Bernadette, femme d'avocat, quitte la vie urbaine pour aller vivre à la campagne avec son fils de 5 ans. Elle y rencontre Thomas, un paysan qui conteste les monopoles dans l’agro-alimentaire. Dans sa représentation naïve, le retour à la terre, fort populaire chez les intellectuels des années 1970, fournit la principale cible à l’ironie de Gilles Carle.

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Quand elle met les pieds sur la vraie terre, elle découvre que les feuilles multicolores recouvrent souvent une bonne couche de boue, que des effluves de merde traversent souvent l'air pur de la campagne, que la tranquillité n'existe nulle part, que la simplicité des gens n'apparaît qu'occasionnellement et toujours comme une victoire sur la complexité de la vie. À son tour et un peu malgré elle, Bernadette reprend ce regard.La quête de la vraie nature se transforme alors en la reconnaissance de plusieurs natures vraies. À travers la découverte du pays réel multiforme, Bernadette découvre la multi-dimensionnalité de sa « vraie nature ».

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Micheline Lanctôt
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Carle-1973-Les corps célestes

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Les Corps Célestes
1973 - 1hre 45
DivX 5,0 | 640x288 pixels | AC3 | ± 690 Mo

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Les Corps Célestes
1973 - 1hre 45
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 Réalisation : Gilles Carle

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Distribution:

Donald Pilon (Desmond)
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Carole Laure (Rose-Marie)
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Micheline Lanctôt (Sweetie)
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Jacques Dufilho (Le curé)
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Yvon Barrette (Lorenzo) 
Reda Markovitz (Katie) 
Claude Maher (garçon d'hôtel) 
Sheila Charlesworth (Helen) 
Judi McDonald (Betty) 
Claudine Verdant (Brigitte) 
Dominique Charron (la polonaise)

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Desmond, un proxénète, et son ex-femme, Sweetie, viennent s’installer, en 1939, dans une ville minière du Nord-Ouest québécois avec six prostituées.

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Compte tenu de la mentalité du milieu, ils décident d’attendre après la fête de Noël pour ouvrir le bordel aux clients. Entre-temps, chacun fait de la publicité auprès des mineurs, de la police et même du curé de l’endroit.

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Carole Laure


Voix de femmes 251 de ... Annick Tangorra

Gibier de potence

Guitry-1957-Assassins et voleurs

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Assassins et voleurs
1957 - 1hre 21
DivX 5,0 | 480x384 | Mp3 | 671,4 Mo



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Assassins et voleurs
1957 - 1hre 21
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Réalisateur, scénariste et dialoguiste: Sacha Guitry   
Assistants réalisateur: Jean-Claude Duvernet et Raoul Sanglat   

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Distribution:

Jean Poiret    (Philippe Dartois)
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Michel Serrault    (Albert Le Cagneux)
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Magali Noël    (Madeleine Ferrand)
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Darry Cowl    (Jules-Henri Lardenois, le faux-témoin)
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Clément Duhour    (Walter Ferrand)
Pierre-Jean Vaillard    (l'imaginatif)
Pauline Carton    (la refoulée)
Lucien Baroux    (le médecin-chef)
Pierre Larquey    (le maître-nageur)
Marcel Vallée    (l'antiquaire)
Marguerite Pierry    (une folle)
Lucette Dorignac    (une folle)
Marguerite Garcya    (la femme de l'antiquaire)
Charles Bayard    (le joueur d'échecs)
Zita Perzel    (la princesse Dourachenko, la kleptomane)
Sophie Mallet    (la bonne)
Yvonne Hébert    (la nymphomane)
Maria Meriko    (Albertine)
...

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Philippe Dartois s'apprête à se suicider lorsqu'un cambrioleur, Albert Lecayeux, pénètre dans son bureau. Aussitôt, l'idée lui vient de se faire tuer par le malfaiteur. Ce dernier, cependant, artisan consciencieux et d'ailleurs uniquement spécialisé dans le fric-frac, se montre réticent. Malgré l'offre alléchante d'être « couché » sur le testament de sa future victime, sa délicatesse lui interdit d'accepter s'il n'est pas mieux informé. Philippe entreprend de lui raconter son histoire. Il y a dix ans, à Deauville, il a fait la connaissance de Madeleine avec qui il file bientôt le parfait amour malgré la présence d'un mari brutal, dont la jalousie ne fait qu'exciter l'ardeur des amants.

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Un soir, cependant, il surprend sa femme et l'étrangle. Philippe abat le mari, mais laisse condamner à sa place un cambrioleur qui se trouvait précisément sur les lieux et qui se voit condamner à vingt ans de travaux forcés. Mais Philippe a des remords. Il se sent responsable vis-à-vis de l'innocent voleur et décide de prendre sa place. non en prison, mais dans sa carrière de malhonnête homme. Il réussit d'ailleurs parfaitement dans cette nouvelle profession, sans pouvoir y trouver un apaisement pour sa conscience. C'est alors qu'il décide de se tuer. Albert Lecayeux lui apprend alors qu'il n'est autre que le pauvre cambrioleur, condamné jadis à sa place et Philippe, reprenant goût à la vie, abat ce témoin gênant.

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DivX 5,0 | 480x384 | Mp3 | 671,4 Mo

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Magali Noël
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Keigel-1970-Qui?

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Qui?
1970 - 1hre 20
Generic MPEG-4 | 768x480 pixels | Mp3 | ± 1,3 Go


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Qui?
1970 - 1hre 20
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Réalisation : Léonard Keigel
Scénario : Léonard Keigel, Paul Gégauff
Musique : Claude Bolling

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Distribution:  

Romy Schneider (Marina)
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 Maurice Ronet (Serge)
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Simone Bach (Dorothée)
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Gabriele Tinti (Claude)  
Jacques Duby (Un invité) 
Jean Berger (le médecin) 
Jean-Paul Blonday (passager avion) 
Jean-Jacques Bourgeois 
Anne-Marie Coffinet (une invitée) 
Suzie Hannier 
Dany Jacquet (Sabine) 
Antonio Ramirez (l'acheteur étranger)

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Marina vient d'échapper à la mort. La voiture dans laquelle elle se trouvait avec Claude, son amant, vient de tomber de la falaise. La police, qui est arrivée sur les lieux, reste pourtant perplexe sur le discours de la jeune femme, car le corps de Claude n'a pas été retrouvé. Serge, le frère de Claude, est lui aussi arrivé sur les lieux. Voyant Marina sous le choc, il lui propose de l'héberger quelque temps.

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Romy Schneider

Guitry-1957-Les trois font la paire

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Les trois font la paire
1957 - 1hre 15
DivX 5,0 | 720x540 pixels | Mp3 @ 224 | 1,2 Go


Les trois font la paire
1957 - 1hre 15
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Réalisation : Sacha Guitry et Clément Duhour
Scénario, adaptation et dialogues : Sacha Guitry
Assistants réalisateurs : Gérard Renateau et Jean-Claude Devernet

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Distribution:

Sacha Guitry : Lui-même en présentateur-narrateur (générique et fin)
Michel Simon : Le commissaire Bernard
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Pauline Carton : Eveline Bernard
Sophie Desmarets : Albertine Piédeloup, dite Titine
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Jean Rigaux : Marcel Bornier, le cabot
Darry Cowl : Henri Valpreux, le réalisateur
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Clément Duhour : M. Jean, le chef
Philippe Nicaud : Jojo, Teddy and Partner
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Jane Marken : Georgette Bornier
Robert Dalban : L'inspecteur Walter
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Gilbert Boka : Duval, le producteur
Julien Carette : Léon, le patron du bistrot
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Christian Méry : Ernest, un gangster
André Numès Fils : Le secrétaire du commissaire Bernard
Yvonne Hébert : Madame Walter
Jacques Ary : Un gangster
André Chanu : Agostini, le chef opérateur
Emile Genevois : Dumont, le régisseur
Henry Djanik : Bébert, un gangster
Jacques Famery : Le clown



Un metteur en scène tourne dans la rue. Un passant se mêle aux prises de vues, se jette sur un acteur et le tue. L'assassin n'est qu'un tueur d'occasion, Jojo, qui, pour entrer dans une bande, a voulu faire un acte d'éclat en commettant un crime en plein jour. Le commissaire Bernard tient là l'affaire de sa vie car les opérateurs du film ont tourné l'assassinat et viennent en confidence remettre à la police la photo du meurtrier. Trois policiers partent avec cette photo. Deux d'entre eux ramènent un coupable. On apprend vite qu'il s'agit de deux jumeaux, clowns dans un cirque, qui tous les deux s'accusent en croyant ainsi sauver l'autre.

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Le troisième policier revient en compagnie de la fille de moeurs légères qui a reçu l'assassin la nuit précédente. Elle est confrontée avec les deux frères et conclut que ni l'un ni l'autre n'est coupable. C'est un sosie des deux autres. La bande dans laquelle il voulait entrer est très inquiète de le voir se faire remarquer avant d'avoir rendu le moindre service à l'équipe. Les gangsters le font disparaître, puis décident de le tuer sur le lieu de son crime.

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Guitry-1958-La vie à deux

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La vie à deux
1958 - 1hre 48
Generic MPEG-4 | 720x528 pixels | Mp3 | ± 690 Mo

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La vie à deux
1958 - 1hre 48

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Réalisation : Clément Duhour
Scénario : Sacha Guitry
Adaptation : Jean Martin
Dialogue : Sacha Guitry

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Distribution:

Pierre Brasseur : Pierre Carreau, l'auteur célèbre (c'est le rôle que voulait prendre Sacha Guitry)
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Danielle Darrieux : Monique Lebeaut
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Sophie Desmarets : Marguerite Caboufigue, la femme de Marcel  photo SophieDesmarets.jpg  
Fernandel : Marcel Caboufigue, le mari de Marguerite
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Edwige Feuillère : Françoise Sellier, ex-Carreau  photo EdwigeFeuille3000re.jpg

Jean Marais : Teddy Brooks, l'illusionniste  photo la_vie_a_deux_003.jpg 
Lilli Palmer : Odette de Starenberg, l'amie du ministre
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Gérard Philipe : Désiré, le nouveau valet d'Odette  photo la_vie_a_deux_002.jpg

Robert Lamoureux : Thierry Raval, l'amant de Monique  
Jean Richard : André Le Lorrain  
Pauline Carton : Mme Vattier, la femme du directeur
Mathilde Casadesus : Adèle, la cuisinière d'Odette
Marie Daems : Madeleine, la camériste d'Odette
Yvan Desny : Michel Sellier, le mari de Françoise
Jacques Dumesnil : Le docteur Henri Girane
Christian Duvaleix : Jean Pommier, le généalogiste
Jacques Jouanneau : Michel Santis, l'autre généalogiste   
Madeleine Lebeau : Peggy, la femme de Georges

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Robert Manuel : Georges, le mari de Peggy, ami du couple "Caboufigue"  
Jane Marken : Mme Fourneau, la belle-mère d'André
Maria Mauban : La religieuse   
Pierre Mondy : Mr Lebeaut, le mari de Monique  
 ... 
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L'auteur Pierre Carreau a réuni ses amis, son secrétaire et deux généalogistes pour dicter ses dernières volontés : léguer sa fortune à ceux dont il se servit pour typer les personnages d'un roman devenu célèbre. Mais l'argent n'ira à ces couples qu'à la condition qu'ils soient toujours comme les a dépeints Carreau, qui les considérait comme des exemples de bonheur. Les généalogistes s'en iront à la recherche des héritiers présumés. Chez l'un des couples, la belle-mère a empoisonné leur bonheur. On va vers un autre : Claude Montignac, ministre en exercice est à Nice avec Odette Chambourcy. Ils s'aiment toujours mais, par suite de circonstances indépendantes de sa volonté, Odette est trouvée dans les bras de Désiré son valet de chambre, et les généalogistes font un constat de la faillite du ménage. M. Lebeaut est passionné de belote. C'est donc au bar que nous retrouvons nos héros. Sa femme Monique est dans la salle et Thierry Raval lui présente ses hommages assidus qu elle n'accepte pas, comme à l'habitude. Il la giffle et se met la main sur sa propre figure, le mari intervient et exige que sa femme fasse des excuses. Pendant qu'il tourne le dos, c'est elle qui le gifle. Puis, pour se réconcilier vraiment, ils prennent rendez-vous à voix basse. Et à ce moment, ils sont surpris par un des amis vigilants. Ils sont donc éliminés aussi. Il reste encore un couple. Marguerite et Marcel vivaient un bonheur sans histoire, mais parce que Marcel s'absentait trop souvent, Marguerite, un jour, un seul, décide d'accepter un rendez-vous avec un musicien norvégien. Quelle ne fut pas sa surprise de s'apercevoir, lorsqu'il ralluma la lumière, que c'était un ténor noir. Neuf mois après, se penchant sur le berceau du nouveau-né, Marcel apprend son infortune, mais, ayant compris que sa femme n'a commis qu'une faute passagère et que son plus cher désir est que l'enfant soit le sien, il va à l'assistance publique échanger le bébé noir contre un bébé blanc. Ils seront heureux, mais n'auront pas droit à l'héritage. Sur ce, un télégramme de Paris annonce que Pierre Carreau est au plus mal. Comme les dispositions testamentaires sont changées, il faut regagner la capitale. Pierre veut revoir Françoise qui fut sa femme. Elle le veille toute la nuit, puis. il meurt.
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Tourneur, Jacques-1956-Nightfall

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Nightfall
Poursuites dans la nuit
1956 - 1hre 16 - VoStFr incrustés
DivX 5,0 | 640x360 | Mp3 | 1007, 4 Mo



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Nightfall
Poursuites dans la nuit
1956 - 1hre 16 - VoStFr incrustés
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Réalisateur: Jacques Tourneur   
Assistant réalisateur: Irving Moore   
Scénariste: Stirling Silliphant   
Auteur de l'oeuvre originale: David Goodis

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Distribution:

Anne Bancroft : Marie Gardner
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Aldo Ray : James Vanning, alias Art Rayburn
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Jocelyn Brando : Laura Fraser
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Brian Keith : John
James Gregory : Ben Fraser
Frank Albertson : Dr. Edward Gurston
Rudy Bond : Red

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James Vanning et son ami, le docteur Gurston, se livrent à une partie de chasse dans le Wyoming. C'est alors qu'ils sont sollicités par deux hommes en panne de voiture. Les deux individus, John et Red, sont en réalité deux braqueurs en fuite après leur dernier coup.

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Les bandits, qui n'ont pas l'intention de laisser de témoin, tuent Gurston avec le fusil de chasse de James, mais ce dernier parvient à s'en sortir. Il doit alors échapper aussi bien à la police, qui le soupçonne du meurtre de son ami, qu'aux criminels...

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DivX 5,0 | 640x360 | Mp3 | 1007, 4 Mo

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Anne Bancroft
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Arcand-1976-Gina

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G i n a
1976 - 1hre 35
DivX 5,0 | 640x480 pixels | Mp3 | 690 Mo


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G i n a
1976 - 1hre 35

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Réalisateur: Denys Arcand
Scénaristes: Jacques Poulin et Denis Dostie
Producteur: Gilles Carle

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Distribution:  

Céline Lomez : Gina
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Claude Blanchard : Bob Sauvageau
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Frédérique Collin : Dolorès
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Serge Thériault : L'assistant caméraman
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Gabriel Arcand : Le réalisateur photo gina003.jpg

Louise Cuerrier : Carole Bédard
Jocelyn Bérubé
Paule Baillargeon : Rita John
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Roger Lebel : Léonard Chabot
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Jean-Pierre Saulnier : Marcel Jobin  
Julien Lippé : Léger Carpentier
André Gagnon : Le caméraman
Carol Faucher
Gilles Marsolais
Stan Gibbons  
Katerine Mousseau
Michèle Lehardy
Dorothée Berryman 
Donald Lautrec : Pierre Saint-Louis
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Denise Filiatrault 
Donald Pilon 
Marcel Sabourin
Philippe Bélec
Normand Lanthier
Georges Leduc
Jacques Méthé
Gilles Michaud
Alphonse Piché

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Gina prend chambre dans un hôtel de Louiseville, en Mauricie, où elle vient faire la stripteaseuse. Elle s'y lie d'amitié avec un groupe de jeunes cinéastes de « l'Office national du cinéma » qui effectue un tournage sur l'industrie locale du textile. Une joyeuse routine s'installe pour l'équipe, qui filme les travailleurs le jour et qui assiste aux stripteases le soir. Mais, une nuit, Gina se fait violer par des motoneigistes désoeuvrés qui squattent l'épave d'un cargo, tandis que le réalisateur du film tient enfin la pièce principale de sa quête : il recueille le témoignage d'une ouvrière qui a décidé de briser le silence entourant les conditions de travail sordides de ses collègues. Le lendemain du drame, les cinéastes sont expulsés de l'usine par la direction et doivent renoncer à leur tournage, censurés par leur propre employeur. L'équipe doit rentrer à Montréal. Gina finira par obtenir vengeance du crime qu'elle a subi, avec l'aide de la pègre qui l'emploie : ce sera le massacre des motoneigistes. On retrouve pour leur part les cinéastes à Montréal, employés à une nouvelle affectation : le tournage d'un mélodrame mièvre, joué par les vedettes de l'heure.

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Gina est un film de fiction fort et engagé de Denys Arcand. Il est très lié toutefois avec son documentaire réalisé trois ans plus tôt, On est au coton, traitant des conditions d'emploi difficiles dans l'industrie textile québécoise de l'époque. Par ses propos considérés comme gauchistes, On est au coton avait été interdit par la censure interne de l'ONF. Pour se venger, Arcand utilise dans Gina des textes extraits des entrevues qui avaient été réalisées lors de la réalisation de On est au coton.

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