Blasetti-1949-Fabiola

Réalisation : Alessandro Blasetti
Scénario et adaptation : Suso Cecchi d’Amico, Umberto Barbaro, Alessandro Blasetti, Vitaliano Brancati, Renato Castellani, Emilio Cecchi, Diego Fabbri, Lionello De Felice, Corrado Pavolini, Antonio Pietrangeli, Alberto Vecchietti, Cesare Zavattini d’après l’adaptation d’Alessandro Blasetti, Mario Chiari et Diego Fabbri du roman Fabiola, ou l'Église des catacombes, du cardinal Nicholas Wiseman
Adaptation française : Jean-Georges Auriol



Distribution:

Michèle Morgan    (Fabiola)

Michel Simon    (le sénateur Fabien Sévère)


Henri Vidal    (Rhual)


Elisa Cegani    (Sira)


Louis Salou    (Fulvien Petrone)
Gino Cervi    (Quadrato)
Massimo Girotti    (Sébastien)
Carlo Ninchi    (Tertulle Galba)
Franco Interlenghi    (Corvinius)
Lorena Berg    (Cecilia)
Paolo Stoppa    (le proconsul Manlius Valerien)



Virgilio Riento    (Pierre)
Sergio Tofano    (Lucien)
Guglielmo Barnabo    (Antonin Letus)
Luca Cortese    (Corbulone)
Silvana Jachino    (Domitilla)
Walter Lazzaro    (Armondion)
Gabriele Ferzetti    (Claudius)

Au début du IVe siècle, l'empire romain se trouve divisé entre les tendances de ses deux empereurs. En Gaule, Constantin favorise le christianisme ; à Rome, Maxence cherche un mobile pour reprendre les persécutions. Un jeune Gaulois, Ruhal, part pour Rome tenter la fortune. A Ostie, il rencontre, le soir de son débarquement, Fabîola, la fille d'un riche commerçant. Un grand amour naît entre eux. Or, bientôt le père de la jeune fille est assassiné avec, auprès de lui, une statuette de Jupiter brisée.

Les chrétiens sont accusés du meurtre, ainsi que Ruhal qui a été reçu par le défunt. Au cours du procès, Ruhal prend la défense des chrétiens et se convertit. Fabiola, qui a de puissantes relations, lui promet la liberté s'il abjure. Ruhal, libéré bientôt par le centurion Sébastien, réussit à convertir Fabiola. Tous deux sont condamnés au supplice de l'arène mais, au moment où ils vont être sacrifiés, surviennent les troupes de Constantin apportant la libération définitive.

Michèle Morgan