Ridicule
1995 - 1hre 42
Generic MPEG-4 | 608x256 pixels | Mp3 | 691 Mo
Ridicule
1995 - 1hre 42
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Réalisation : Patrice LeconteScénario : Rémi Waterhouse, Michel Fessler et Eric Vicaut
Distribution:
Fanny Ardant : la comtesse de Blayac
Judith Godrèche : Mathilde de Bellegarde
Charles Berling : le baron Grégoire Ponceludon de Malavoy
Jean Rochefort : le marquis de Bellegarde
Bernard Giraudeau : l'abbé de Vilecourt
Bruno Zanardi : Paul
Bernard Dhéran : le comte de Montalieri
Albert Delpy : le baron de Guéret
Carlo Brandt : le chevalier de Milletail
Urbain Cancelier : Louis XVI
Jacques Mathou : l'Abbé de l'Epée
Maurice Chevit : le notaire
Philippe du Janerand : Monsieur Chérin, le généalogiste
Philippe Magnan : le baron de Malenval
José Fumanal : le Colonel de Chevernoy
Lucien Pascal : le comte de Blayac
Marie Pillet : Charlotte, la gouvernante
Laurent Valo : Simon, l'élève sourd-muet
Prologue : Le chevalier de Milletail se rend chez un vieux noble mourant qui l'avait jadis traité de "marquis de Pa-ta-tras" suite à une chute au cours d'une danse. Profitant de leur tête à tête, Il urine copieusement sur lui et se retire dignement. Ponceludon de Malavoy, petit noble au bord de la ruine, quitte sa province pour se rendre à Versailles. Il compte obtenir de Louis XVI les travaux d'assainissement de la Dombes qui devraient sauver les habitants de la maladie et de la mort. Sa lettre de recommandation l'amène trop tard au noble précédent qui vient de mourir. Un brigand le déleste de son argent et de son cheval. Il est recueilli par le rousseauiste marquis de Bellegarde, père de la jolie Mathilde. Après avoir tenté de le dissuader de persévérer dans son projet, il l'introduit à la cour dont il lui enseigne les règles.
En tout premier lieu la prépondérance du "bel esprit", clef de brillantes situations, mais qui peut aussi mener à la déchéance ou à la mort quand il vous charge de l'impardonnable ridicule. Ponceludon s'adapte très vite, suscitant la jalousie du maître du genre, l'abbé de Vilecourt, amant et protégé de la Comtesse de Blayac. Elle ne manque pas de remarquer le nouveau venu qui n'y reste pas insensible.|#Jeune femme intelligente et libre qui ne fréquente pas une cour qu'elle méprise, Mathilde de Bellegarde accepte d'épouser le vieux Monsieur de Montalieri pour financer ses travaux : actuellement la mise au point d'un scaphandre. Ponceludon est partagé entre son amour pour Mathilde et son attirance à la fois sexuelle et intéressée pour la Comtesse dont il espère qu'elle lui obtienne le soutien du roi. La Blayac sent qu'il lui échappe au profit de Mathilde. Elle décide de l'humilier au cours d'un repas joute d'esprit.
Elle lui taquine discrètement mais efficacement les génitoires de son pied sous la table. Ponceludon en oublie d'être drôle. Humilié, il repart dans la Dombes. Elle l'y rappelle par une lettre passionnée. Il revient, partage sa couche et obtient une rencontre avec le roi qui se traduit par un accord tacite. Insulté par le promoteur d'un canon pour avoir proposé une amélioration appréciée par le roi, il se bat en duel et tue son rival. Il quitte le lieu du duel avec Mathilde. La comtesse invite Ponceludon et Mathilde à un bal. Pendant la danse, un complice fait un croche-pied à Ponceludon qui tombe. Son sang froid lui permet d'échapper au ridicule. Il quitte la salle à son avantage avec Mathilde, laissant Madame de Blayac incapable de dissimuler sa douleur. Épilogue : Les nobles ont émigrés en Angleterre. Bellegarde y regrette le bel esprit. En 1793, l'assèchement de la Dombes, où Ponceludon et Mathilde ont choisi de vivre heureux, a été réalisé par la Convention.
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Fanny Ardant
Judith Godrèche