La Dolce Vita
1960 - 2hres 30 - VoStFr (.srt)
Réalisateur : Federico Fellini
Sujet: Federico Fellini, Tullio Pinelli et Ennio Flaiano
Scénario : Federico Fellini, Tullio Pinelli, Ennio Flaiano, Brunello Rondi, Pier Paolo Pasolini )
Musique : Nino Rota(Ici pour la musique du film)
Distribution:
Marcello Mastroianni: Marcello Rubini, le journaliste
Anouk Aimée : Maddalena
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Anita Ekberg : Sylvia, la star ---
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Yvonne Furneaux: Emma, la concubine de Marcello --- ---
Walter Santesso : Adriano Paparazzo, le photographe
Lex Barker : Robert
Alan Dijon : Frankie
Alain Cuny : Steiner, un ami de Marcello
Nadia Gray : Nadia
Magali Noël : Fanny, la danseuse niçoise
Jacques Sernas : l'idole
Annibale Nichi : le père de Marcello
Valeria Ciangottini : Paola
Renée Longarini : Mme Steiner
Polidor : le clown
Giulio Questi : Don Giulio
Mino Doro : l'amant de Nadia
Laura Betti : Laura Daniela Calvino : Daniela Riccardo Garrone (VF : Jean Claudio) : Riccardo Enrico Glori : l'admirateur de Nadia Franca Pasut : la fille couverte de plumes Nico : elle-même (Nico Otzak) Adriano Celentano : le chanteur de rock'n roll Giulio Paradisi : un journaliste photographe
La Dolce Vita est composé d'une série d'épisodes en apparence déconnectés. La structure du scénario n'est pas sans rappeler celle des films à sketches chers au cinéma italien et auxquels Fellini a lui-même eu recours plusieurs fois. Situé à Rome dans les années 1950, le film suit, sur ce mode apparemment décousu, les pérégrinations de Marcello Rubini (Marcello Mastroianni), un jeune provincial aux aspirations littéraires devenu chroniqueur dans un journal à sensations.
La longueur du film (2 h 46) empêche souvent d'en percevoir, à la première vision, le caractère extrêmement structuré. À travers des tableaux connectés par la présence de Marcello et de quelques autres personnages-clés (Pierotto, Paparazzo), Fellini explore systématiquement, en faisant appel à sa propre biographie, les choix existentiels qui s'offrent à un jeune homme doué : le mariage et la famille, la foi, les exigences de l'intellect, la facilité de l'hédonisme. Sans porter de jugement, le film évoque la face obscure et la face claire de chacun des parcours possibles, laissant au final Marcello devant le choix de l'innocence ou de la déchéance.
- Festival de Cannes 1960 : Palme d'or
- Prix David di Donatello 1960 : Federico Fellini, Meilleur réalisateur
- Ruban d’argent 1961 :
Meilleur acteur principal : Marcello Mastroianni Meilleur sujet : Federico Fellini, Tullio Pinelli, Ennio Flaiano Meilleurs décors et meilleure scénographie : Piero Gherardi
- Oscars 1961 : Piero Gherardi, Oscar de la meilleure création de costumes
- NYFCC Award 1961 : Meilleur film étranger
DivX 5,0 | 696x320 pixels | Mp3 | ~2,35 Go