La Chatte sort ses griffes
1960 - 1hre 38
DivX 5,0 | 720x432 pixels | Mp3 | 685,2 Mo
La Chatte sort ses griffes
1960 - 1hre 38
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Réalisateur: Henri Decoin Assistant réalisateur: Edmond Agabra
Scénariste et dialoguiste: Jacques Rémy
Adaptateur: Henri Decoin
Distribution:
Françoise Arnoul : Cora, "La Chatte"
Horst Frank : Von Hollwitz
Jacques Fabbri : Gustave
François Guérin : Louis
Harold Kay : Charles
Françoise Spira : Marie-José
Anne Tonietti : Maud
Marie Glory : la concierge
Chris Van Loosen : Clara
Bernard Lajarrige : Dalmier
Michel Jourdan : Tonio
Gérard Darrieu : Jean-Lou
Exécutée par le « Capitaine », convaincu de sa trahison envers la Résistance, Cora - la Chatte - n'est pas morte. Grièvement blessée, elle est emmenée dans un hôpital allemand, soignée et guérie. Elle est alors prise en main par un médecin de la section psychologique de l'armée, le docteur von Hollwitz, qui lui fait subir un traitement bien mis au point, afin de briser sa personnalité et d'arriver à la dislocation de sa pensée. La Chatte, soumise à des piqûres et narcotiques, doit perdre sa propre volonté et subir celle de son protecteur, le docteur von Hollwitz. Nous sommes au printemps 1944. Bien que von Hollwitz ne soit pas suffisamment sûr de la transformation psychique de Cora, le temps presse et une mission va lui être confiée. Son évasion est favorisée et simulée par les Allemands. Elle doit prendre contact avec la Résistance et avec Londres.
Sous le contrôle du médecin qui la retrouve clandestinement et surveille ses réactions, Cora entre en relations avec l'envoyé de Londres, Charles, un ancien ingénieur de la S.N.C.F. La mission de Charles est d'une importance capitale. Il doit faire sauter un train chargé de « V1 » dirigé sur la côte française, où sont établies les rampes de lancement. Les V1 pilonnent quotidiennement Londres. La Résistance, aidée de Cora qui joue double jeu, arrivera à identifier le train et essayera de suivre son parcours pour le faire sauter. Mais Cora, poursuivie par von Hollwitz, continue à subir son traitement psychonarcotique. Soumise à une dernière absorption de somnifère, la « Chatte », épuisée, broyée, concentre ses forces et sa lucidité, réussit à ne pas avaler les pilules et court, dans la nuit, rejoindre ses camarades français. Elle aura le courage, au risque de sa vie, d'avancer sur la voie de chemin de fer, face au convoi chargé de munitions, pour le faire stopper et donner le temps à l'équipe de la Résistance de miner le train qui sautera un kilomètre plus loin.
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Françoise Arnoul