Le général du diable
Des Teufels General
1954 - 1hre 55 - VFr
Xvid | 720x512 | Mp3 | 687 Mo
Le général du diable
Des Teufels General
1954 - 1hre 55 - VFr
---
Curd Jürgens et Marianne Koch
---
Réalisation : Helmut KäutnerScénario : George Hurdalek et Helmut Käutner
D'après la pièce de Carl Zuckmayer
Distribution:
Curd Jürgens: Gen. Harry Harras
Marianne Koch: Dorothea 'Diddo' Geiss
Viktor de Kowa: SS-Gruppenführer Schmidt-Lausitz • Karl John: Ingenieur Karl Oderbruch • Eva Ingeborg Scholz: Waltraut 'Pützchen' Mohrungen • Harry Meyen: Leutnant Hartmann • Bum Krüger: Hauptmann Lüttjohann • Paul Westermeier: Otto Korrianke, Fahrer von Harras • Camilla Spira: Kammersängerin Olivia Geiss • Erica Balqué: Anne Eilers • Albert Lieven: Oberst Friedrich Eilers • Karl Ludwig Diehl: Generaldirektor Hugo Mohrungen • Beppo Brem: Hauptmann Pfundtmayer • Werner Fuetterer: Baron von Pflunck • Joseph Offenbach: Kriminalrat Zernick • Wolfried Lier: Kellner Detlev • Ingrid van Bergen: Lyra Schöppke • Wolfgang Neuss: Polizei-Fotograf • Robert Meyn: Generalleutnant von Stetten • Reinhold Nietschmann: Geschäftsführer Otto • Inge Meysel: Frau Korrianke • Thea Thiele: Jenny Rosenfeld • Gustl Busch: Putzfrau bei Harras • Emmy Percy-Wuestenhagen: Wirtschafterin Therese
En décembre 1941, alors que l'offensive en Russie marque le pas devant Moscou, le General der Flieger Harry Harras, héros de la guerre 1914-1918, est intendant dans l'armée de l'air allemande. Homme charmeur et bon vivant, au service de l'Allemagne, il ne cache pas son mépris pour les SS et les membres du parti nazi. Lors d'une fête en l'honneur de l'Oberst Eilers qui reçoit une décoration, Harras fait la connaissance de la jeune Dorothea. Ils se sentent immédiatement attirés l'un pour l'autre. Il converse en privé avec l'industriel Mohrungen, tous deux s'inquiètent des accidents inexplicables du dernier modèle de bombardier. Plus tard dans la soirée, le SS-Gruppenführer Schmidt-Lausitz tente en vain d'obtenir le ralliement de Harras.
Dans la nuit, l'Oberst Karl Oderbruch, l'ingénieur en chef de Harras, avertit ce dernier qu'il va être arrêté et lui conseille de fuir. Celui-ci rejette ses avertissements et rentre à son appartement, où il est effectivement arrêté par la Gestapo. Il est emprisonné sans raison officielle, et est soumis à une torture psychologique. Les SS font de son cas un exemple, pour dissuader toute opposition dans les rangs de l'armée. Au terme de quatorze jours de détention, Harras ressort changé, prenant conscience qu'il a conclu un pacte fatal avec le diable en acceptant des postes importants au nom d'un patriotisme qui a perdu tout son sens. Ce pacte est pour lui rompu, d'autant que Hitler a entre temps déclaré la guerre aux États-Unis, et que par conséquent il n'y a plus d'espoir pour l'Allemagne.
Apprenant la mort d'Eilers aux commandes d'un des bombardiers du nouveau modèle, Harras est décidé à tout tenter pour trouver la cause des accidents. Il se rend à l'aérodrome pour effectuer personnellement un essai de l'appareil, et découvre qu'Oderbruch a volontairement caché un défaut de conception. Car l'ingénieur, heurté par la folie hitlérienne, est résolu à nuire au développement d'armes qui ne peuvent que prolonger la guerre au bénéfice du régime. Pressé par Schmidt-Lausitz de démissionner, ce qui reviendrait à admettre sa culpabilité, ou de livrer le saboteur, Harras cache la vérité et, se sachant perdu, agit ultimement contre les nazis en s'emparant d'un des bombardiers, qu'il précipite contre le poste de commandement de l'aérodrome. Averti des événements, Himmler adopte la version de l'accident et ordonne la tenue de funérailles nationales.
Xvid | 720x512 | Mp3 | 687 Mo
Marianne Koch