La Scoumoune
1972 - 1hre 41
DivX 4,1,2 | 640x384 pixels | Mp3 | 975,1 Mo
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Réalisation : José Giovanni
Scénario : José Giovanni d'après son roman L’Excommunié*
* Le roman de José Giovanni, L'excommunié, a déjà été adapté au cinéma
par Jean Becker en 1961 sous le titre Un nommé La Rocca
par Jean Becker en 1961 sous le titre Un nommé La Rocca
Distribution:
Jean-Paul Belmondo : Roberto Borgo
Claudia Cardinale : Georgia Saratov
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Michel Constantin : Xavier Saratov
Philippe Brizard : Fanfan
Enrique Lucero : Migli
Michel Peyrelon : Charlot l'Elégant
Alain Mottet : Ficelle
Jacques Debary : Carl
Jean-Claude Michel : avocat
Marc Eyraud : Bonnaventure
Aldo Bufi Landi : Villanova
Gabriel Briand : bagnard
Jacques Brunet : bagnard
Jacques Marchand : bagnard
Dominique Zardi : bagnard
Andréa Ferréol : prostituée en colère
Gérard Depardieu : jeune truand
Pierre Collet : directeur prison
Henri Vilbert : Graville
Nicolas Vogel : Grégoire
Albert Augier : propriétaire du Scarabée
Marie-Claude Mestral : prostituée
Jacques Rispal : concessionnaire de cercueils
Hervé Sand : racketteur
Luciano Lorca/Catanacci
Giancarlo Pannasse
Roberto Borgo est surnommé dans le "milieu" La Scoumoune, c'est-à-dire celui qui porte malheur à ses ennemis. C'est en effet un tireur remarquable qui dégaine et appuie sur la gâchette avant que son adversaire n'ait le temps de dire "Ouf!" Présentement, Borgo veut faire libérer son meilleur ami, emprisonné par la faute d'un clan de gangsters qui ont déposé dans sa voiture un cadavre. Mais l'ami de Roberto n'arrive pas à faire triompher son innocence et il est condamné à 20 ans de réclusion. Roberto élimine plusieurs tueurs du clan mais, à la suite d'une bagarre où il a été blessé, il se fait prendre par la police.
Il est condamné à quinze ans et se retrouve dans la même prison que son ami. Arrive la guerre. Les prisonniers font des demandes pour être engagés dans l'armée, mais sans succès. Par contre, on leur propose un travail de déminage extrêmement dangereux sur la côte où les Allemands, dans leur fuite, ont lâché des bombes. L'ami de Roberto y perdra un bras. A la Libération, Roberto et son ami sont graciés. Ce dernier n'arrive pas à se réintégrer à la vie civile. Il mourra lors d'un affrontement durant lequel de jeunes truands voulaient enlever sa soeur. Roberto promet à celle-ci de la venger.