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Verneuil-1954-Le mouton à cinq pattes

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Le mouton à cinq pattes
1954 - 1hre 40
DivX 5,0 | 640x480 | Mp3 | 692,8 Mo



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Le mouton à cinq pattes
1954 - 1hre 40
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Réalisateur: Henri Verneuil   
Scénaristes: Albert Valentin et Jean Marsan   
Adaptateurs: René Barjavel et Henri Verneuil   
Dialoguistes: René Barjavel, Jean Manse, Henri Troyat, Jacques Perret, Henri Verneuil et Raoul Ploquin

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Distribution:

Fernandel    (Alain, Bernard, Charles, Désiré, Etienne St-Forget)
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Françoise Arnoul    (Marianne)
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Noël Roquevert    (Brassard)
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Édouard Delmont    (Dr. Bollène)
Paulette Dubost    (Solange)
Andrex    (le matelot)
Georges Chamarat    (le père)
Denise Grey    (la mère)
René Génin    (le maire)
Tony Jacquot    (l'instituteur)
Ky-Duyen    (le Chinois)
Dario Moréno    (l'Américain)
Léopoldo Frances    (le métis)
Lina Lopez    (Azitad)
Louis de Funès    (Pilade)

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Afin de relancer le tourisme local, la petite commune de Trézignan décide d'organiser une grande fête pour célébrer les 40 ans des quintuplés nés jadis dans le village, même si leur père n'a pas vraiment envie de les revoir. Leur parrain, le docteur Bolène, est chargé de les retrouver même au bout du monde et de convaincre les cinq fils qui ont chacun un caractère et une vie bien particulière afin que ceux-ci participent à la fête.

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  • Léopard d'or au Festival de Locarno en 1954.
  • Désigné comme candidat pour l'Oscar du meilleur scénario en 1956.
  • Nomination de l'Oscar pour le meilleur film étranger.

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DivX 5,0 | 640x480 | Mp3 | 692,8 Mo


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Françoise Arnoul
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Verneuil-1955-Des gens sans importance

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Des gens sans importance
1955 - 1hre 38
Generic MPEG-4 | 720x544 | Mp3 | 670,2 Mo



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Des gens sans importance
1955 - 1hre 38
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Réalisateur: Henri Verneuil   
Assistant réalisateur: Jacques Rouffio   
Auteur de l'oeuvre originale: Serge Groussard   
Dialoguiste: François Boyer

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Distribution:

Jean Gabin : Jean Viard, routier, amant de Clotilde
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Françoise Arnoul : Clotilde Brachet « Clo », serveuse
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Paul Frankeur : Émile Barchandeau, restaurateur
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Pierre Mondy : Pierrot Berty, coéquipier de Jean
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Dany Carrel : Jacqueline Viard, la fille ainée
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Lila Kedrova : Mme Vacopoulos, la tenancière
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Robert Dalban : Gilier, le contremaître de la société
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Yvette Etiévant : Solange Viard, l'épouse de Jean
Nane Germon : Mme Cussac, la mère de Clotilde
Pierre Fromont : Brégier, un routier
Max Mégy : Philippe, l'ami de Jacqueline
Héléna Manson : Germaine Constantin, l'avorteuse
Marcelle Arnold : la concierge des Viard
...

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Jean Viard et son second, Berly, routiers sur Paris-Bordeaux, s'arrêtent une nuit de Noël à bout de fatigue au relais Barchan-deau. Clotilde (Clo), ia serveuse du moment, recherche Jean ; elle est jolie et désemparée ; s'apercevant qu'il est marié, elle le laisse en paix. A Paris, Jean trouve en rentrant la stupidité rogue du contrôleur de route, l'incompréhension et les reproches de sa femme, la méchanceté inconsciente de sa fille Jacqueline. Au voyage suivant, Jean accepte Clo dans son camion : elle quitte sa place et rentre pour quelques jours chez sa mère, à Bordeaux, le temps de retrouver du travail. Mais la mère refuse : Armand, le beau-père « actuel » est si jeune. Clo demande à Jean de la ramener chez Barchandeau ; et c'est à la faveur de la nuit leur premier baiser. Cinq mois passent. Jean arrête à chaque voyage.

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Trop peu au gré de Clo qui se plaint le jour vient où Jean, excédé des brimades du contrôleur, cogne et se retrouve à pied. Clo sait alors qu'elle attend un enfant ; elle l'écrit à Jean, mais la lettre reste en souffrance au dépôt. Clo rejoint Jean à Paris, et trouve un emploi de bonne dans une maison de passe tenue par Mme Vaco (Vacopoulos). Jean décide, dès qu'il aura du travail, de liquider la famille et de partir avec Clo. Mais les choses sont brusquées : Jacqueline intercepte la lettre de Clo et la lit à sa mère : Jean quitte le foyer. Clo, de son côté, doit révéler à sa patronne qu'elle est enceinte ; pour conserver sa place et éviter d'autres ennuis a Jean, elle accepte sur le conseil de Mme Vaco l'avortement. Jean, qui ne sait rien, la prend le lendemain dans son camion (il a un job provisoire). Voyage très pénible : 300 kilometres dans un brouillard croissant. Le camion stoppe devant un barrage. Jean appelle une ambulance, mais Clo mourra avant d'arriver. Nous apprenons que Jean rentrera au foyer.

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Generic MPEG-4 | 720x544 | Mp3 | 670,2 Mo

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Françoise Arnoul
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Dany Carrel
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Pottier-1939-Le monde tremblera

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Le Monde tremblera
ou
La Révolte des vivants
1939 - 1hre 50
Generic MPEG-4 | 704x528 pixels | Mp3 | ± 1,20 Go







Le Monde tremblera ou La Révolte des vivants
1939 - 1hre 50
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Réalisation : Richard Pottier
Scénario : Henri-Georges Clouzot et J. Villard d'après le roman de Roger Francis Didelot et Charles Robert-Dumas


Distribution:

Claude Dauphin : Jean Durand

Madeleine Sologne : Marie-France Lassere


Erich von Stroheim : Emil Lasser / Monsieur Frank

Roger Duchesne : Gérard Gallois
Julien Carette : Julien Bartaz

Armand Bernard : Martelet
Raymond Aimos : L'escarpe
Antoine Balpêtré
Jacques Berlioz
Mady Berry : Mme Bécu
Roger Blin : Le condamné
Pauline Carton
Christiane Delyne : La fille de Mme Bécu
Louis Ducreux
Henri Guisol : Le docteur
Robert Le Vigan : Le greffier



Un savant, le docteur Durand, crée une machine capable de prédire le moment de la mort des êtres humains. Un homme d'affaires, Emil Lasser, pousse Durand à exploiter son invention à des fins commerciales pour les hommes désireux de connaître leur sort à l'avance. Après un succès public dans un premier temps, l'existence de la machine amène peu à peu au déclenchement d'une panique mondiale.



Boisset-1968-Coplan sauve sa peau

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Coplan sauve sa peau
1968 - 1hre 48
Generic MPEG-4 | 640x360 pixels | Mp3 | 709 Mo


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Coplan sauve sa peau
1968 - 1hre 48
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Réalisation : Yves Boisset
Scénario : D'après le roman de Paul KennyCoplan paie le cercueil
Adaptation et Dialogue : Claude Veillot, Yves Boisset
Assistant réalisateur : Claude Othnin-Girard

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Distribution:

Claudio Brook Francis Coplan, l'agent secret
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Margaret Lee : Mara Saroghu et Eva
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Bernard Blier : Abdul Mascar, le taxidermiste
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Nana Michaël : Carole, la chasseresse, amie de Hugo
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Jean Servais : Akrahim Saroghu
Manuella Saint-Amont : Yasmine
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Agathe Alma : Fatih
Klaus Kinski : Theler, le sculpteur
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Roger Lumont : Glouton
Hans Meyer : Hugo Gensbach
Roberto : Tim
Jean Topart : Le lieutenant Sakki

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Coplan est appelé à Istambul par Mara, une jeune femme qu'il a connue autrefois. Le soir où Mara et Coplan se retrouvent, une rose rouge à la main, la jeune femme est assassinée et jetée dans le Bosphore. Coplan veut élucider ce mystère. C'est la soeur de Mara, Eve, danseuse dans un music-hall d'Istambul qui mettra Coplan sur la piste de l'assassin. Il se cache avec une femme, très belle, dans un château inaccessible situé dans une étrange contrée montagneuse et aride, la vallée du diable. Lorsque Coplan parvient a pénétrer dans ce château-fort médiéval, il se trouve en présence d'un savant atomiste qui entend faire sauter la planète pour la purifier de toutes ses souillures. Sa complice perverse veut anéantir Coplan. Celui-ci aura, en principe, la vie sauve s'il réussit à sortir de ces « Jardins du diable ». La chasse a l'homme ne commencera que lorsque le soleil sera haut dans le ciel. Cette avance donnée à Coplan sur ses cruels poursuivants, hommes-armés, chiens féroces, il l'utilise à fuir le plus loin possible et dérouter ses ennemis. Lorsque les assaillants réussissent à le rejoindre, les uns après les autres, il arrive à les anéantir. De retour au château, il veut délivrer la belle Eva de son frère le savant atomiste, qui lui porte un amour incestueux. L'un et l'autre périront devant une décharge nucléaire. Coplan, mission accomplie, a, enfin réussi à survivre. Il a « sauvé sa peau » et ramène avec lui à Istambul une autre jeune femme qui était également prisonnière du savant fou.

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Generic MPEG-4 | 640x360 pixels | Mp3 | 709 Mo
http://jheberg.net/captcha/boisset-68-cop-lan/
Imagerie



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Boisset-1970-Cran d'arrêt

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Cran d'arrêt
1970 - 1hre 30
Generic MPEG-4 | 720x576 | Mp3 | 1 Go
* Léger décalage de la bande son




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Cran d'arrêt
1970 - 1hre 30
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Réalisation : Yves Boisset
Scénario : Antoine Blondin, Yves Boisset, Francis Cosne
D’après le roman Venere privata (Vénus privée), de Giorgio Scerbanenco

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Distribution:

Bruno Cremer : le docteur David Lamberti
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Renaud Verley : David Auseri
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Marianne Comtell : Livia Ussaro
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Raffaella Carrà : Alberta Radelli
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Marina Berti : la sœur d’Alberta
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Mario Adorf : l’homme aux cheveux longs
Jean Martin : le majordome
Rufus : l’assistant du photographe
Claudio Gora : le docteur Carrua

Le docteur Lucas Lamberti, condamné à trois ans de prison pour euthanasie, est libéré. Il tente de refaire sa vie dans une ville qu'il ne connaît pas. Son vieil ami, le docteur Carrua, lui demande de s'occuper de David, un garçon de 22 ans, qui a sombré dans l'alcoolisme. Pour l'apprivoiser, Lucas entraîne le jeune homme dans une boîte de nuit. Au terme d'une folle soirée, ils ramènent deux filles à la villa. Mais le lendemain, David, comme s'il regrettait sa faiblesse, tente de s'ouvrir les veines. Lucas le sauve de justesse. Peu à peu, il arrive à faire avouer à David le drame qui le ronge. Il est obsédé par le souvenir d'une jeune fille qui s'est suicidée au lendemain de leur rencontre. Lucas entreprend une enquête sur la morte, pour guérir David de son obsession...

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Di Sano-En toute innocence

Tarantini-1979-La flic à la police des moeurs

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La flic à la police des moeurs
La polizotta della squadra della buon costume
1979 - 1hre 30 - VFr
Generic MPEG-4 | 592x320 | Mp3 | 696,8 Mo



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La flic à la police des moeurs
La polizotta della squadra della buon costume
1979 - 1hre 30 - VFr
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Réalisateur : Michele Massimo Tarantini
Scénaristes: Francesco Milizia, Marino Onorati et Michele Massimo Tarantini

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Distribution:

Edwige Fenech : Gianna D'Amico
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Alvaro Vitali : Tarallo
Marzio Honorato : Arturo
Gianfranco Barrale : commissaire Nardecchia
Franco Diogene : Joe Maccaroni 
Sal Borgese : Pierre La TuraineGiacomo Rizzo : Cocozza
Lino Banfi : le commissaire Louis Scappavia

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Jeune inspectrice de police, la belle Gianna D'Amico se prend d'amitié pour le petit Armandino, dont la maman a disparu. Pour la retrouver, elle se glisse parmi les prostituées de Rome, à la recherche de quelque indice, mais ne parvient qu'à arrêter Scappavia, son nouveau supérieur hiérarchique, un quinquagénaire douteux. Elle décide donc de changer de méthode et se fait engager dans un cabaret en tant que chanteuse. Le patron n'est autre que Joe Maccaroni, le roi de la pègre et de la traite des blanches. Gianna semble dès lors sur la bonne piste...

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Generic MPEG-4 | 592x320 | Mp3 | 696,8 Mo

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Edwige Fenech



Meyer-1966-Mondo Topless

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Mondo Topless
1966 - 1hre
Generic MPEG-4 | 688x512 | Mp3 | 692,8 Mo





Mondo Topless
1966 - 1hre

Réalisation : Russ Meyer
Narration: John Furlong
Musique: The Aladdins

Distribution:

Babette Bardot


Darlene Gray



Diane Young


Pat Barrington
Sin Lenee as Lucious
Darla Paris
Donna X
Veronique Gabriel
Greta Thorwald
Denice Duval
Abundavita
Heide Richter
Gigi La Touche
Yvette Le Grand
Lorna Maitland



Pseudo documentaire;
The film presents a snapshot of '60s San Francisco before shifting its focus to strippers. The strippers' lives are earnestly portrayed as they reveal the day-to-day realities of sex work, talk bra sizes, relate their preferences in men, all voiced over while dancing topless to a 60s instrumental rock soundtrack. Throughout a large portion of the film, the narrator talks about the women as if they are a sub-genre of the counter culture movement, somewhat similar to the beatnik or hippie movements that were highly prevalent during the same era. The "Topless" movement as it is called by the narrator could also be perceived as an allegorical subset of the Sexual Revolution of the 1960s. (Wikipedia)

Generic MPEG-4 | 688x512 | Mp3 | 692,8 Mo 





Babette Bardot







Keaton-1928-The Cameraman

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L'Opérateur
The Cameraman
1928 - 1hre 16 - VoStFr (VobSub)
MKV | H.264 | 640x480 | AC3 | 1,1 Go





The Cameraman
L'Opérateur
1928 - 1hre 16 - VoStFr (VobSub)
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Réalisation : Buster Keaton et Edward Sedgwick
Scénario : Clyde Bruckman, Lew Lipton et Byron Morgan

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Distribution:

Buster Keaton : Luke Shannon
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Marceline Day : Sally
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Harold Goodwin : Harold Stagg
Sidney Bracy : Edward J. Blake, le rédacteur en chef
Harry Gribbon : Hennessey, le policier
Edward Brophy : L'homme de la cabine de bain

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À New York, Luke est photographe et réalise des tintypes. Dans un mouvement de foule, il tombe amoureux d'une femme qui s'appelle Sally : il la suit et constate qu'elle travaille auprès de la MGM dans le service des nouvelles. À l'instar du cameraman Stagg, qui par ailleurs flirte avec la jeune femme, Sally, il se sent capable d'en faire autant et achète à cet effet une vieille caméra d'occasion.
Sally lui indique en cachette qu'il va y avoir des évènements à filmer dans Chinatown. Luke s'y rend et filme la fête puis les bagarres de clans qui s'ensuivent. Non seulement il recueille un petit singe savant mais en plus il échappe aux chinois qui veulent le trucider. À la projection à la MGM, le film n'a rien enregistré et Luke est ridiculisé.

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Il ne se décourage pas pour autant: le lendemain il va filmer une course de bateaux à laquelle Sally et Stagg assistent également. Le bateau de ceux-ci chavire et Sally risque sa vie au milieu des eaux, menacée par le bateau qui tourne sur lui-même sans pilote. Stagg sauve sa peau pendant que Luke, alors sur la rive en train de filmer, va porter secours à Sally. Un malentendu laisse croire à celle-ci que c'est Stagg qui l'a sauvée, et celui-ci en profite. Par inadvertance, Luke se rend compte que le singe avait caché une bobine de film.
Les responsables des nouvelles de la MGM, en présence des très amoureux Sally et Stagg, prennent connaissance d'un film envoyé par Luke: on peut d'abord y voir d'excellentes images des combats de rue entre chinois et ensuite l'accident de Sally et Stagg ainsi que le sauvetage de celle-ci par Luke, car le singe avait continué à filmer la scène. Sally jette Stagg et se jette dans les bras de Luke qui est engagé à la MGM.

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MKV | H.264 | 640x480 | AC3 | 1,1 Go

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Marceline Day
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Eisenstein-1928-La Ligne générale

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La Ligne générale
STAROYE I NOVOYE
1928 - 2hres 50 - VoStFr
Generic MPEG-4 | 608x448 pixels | AC3 | 1,4 Go


La Ligne générale
STAROYE I NOVOYE
1928 - 2hres 50 - VoStFr



Réalisation: Sergueï Eisenstein


Distribution:

Marfa Lapkina : Marfa

M. Ivanine : le fils de Marfa
Konstantin Vasilïev : Le conducteur du tracteur
Vasili Buzenkov : le secrétaire de la coopérative laitière
Mikhaïl Gomorov


Comme tant d'autres paysans, Marfa vit sans ressources une existence misérable. Elle réalise vite que c'est en réunissant les lopins de terre que les paysans peuvent survivre. Aussi se montre-t-elle enthousiasmée lorsque le représentant communiste fonde un « kolkhoze ». Les cultivateurs sont d'abord hostiles à une idée qu'ils ne comprennent pas. Mais peu à peu ils s'organisent et acceptent ce mode de vie nouveau. Le kolkhoze achète une écrémeuse, puis, premier signe de réussite, un superbe taureau. Marfa parvient même à arracher à la bureaucratie paperassière des dirigeants citadins un tracteur. Une panne humiliera un instant le tractoriste si fier de sa machine. Défaillance passagère !. L'ancien et le passé ont rendu l'âme, le nouveau et l'avenir s'imposent : des dizaines de tracteurs entament alors une marche triomphale.



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Verneuil-1954-Les amants du Tage

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Les amants du Tage
1954 - 2hres 03
DivX 5,0 | 696x528 | Mp3 | 1,5 Go




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Les amants du Tage
1954 - 2hres 03
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Réalisateur: Henri Verneuil
Assistant réalisateur: Claude Pinoteau
Scénario: Marcel Rivet
D’après une nouvelle de: Joseph Kessel
Musique: Michel Legrand

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Distribution:

Françoise Arnoul : Kathleen Dinver
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Daniel Gélin : Pierre Roubier
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Trevor Howard : l’inspecteur Lewis
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Amália Rodrigues : Amália
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Marcel Dalio : Porfirio
Georges Chamarat : l'avocat
Ginette Leclerc : Maria
Jacques Moulières : Manuel
Betty Stockfeld : Maisie



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27 août 1944, les troupes alliées libèrent Paris. Un soldat, Pierre Roubier, se précipite chez lui : il y surprend sa femme en galante compagnie et, de rage, l’abat d’une rafale de mitraillette. Il sera acquitté grâce à son avocat, qui a plaidé la légitime colère d’un héros de guerre. Exilé à Lisbonne, Pierre est taxi. Il habite chez Maria, seule avec son fils Manuel, un gamin déluré qui sert de guide aux touristes. Un jour, Pierre a conduit une jeune femme, Kathleen Dinver, à son hôtel. Son mari est mort dans un accident de voiture ; elle a hérité de sa fortune. Kathleen retrouve Pierre dans une boîte où chante Amalia, une amie de celui-ci. Les deux jeunes gens sympathisent et deviennent bientôt amants.

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Un mystérieux individu, Richard Lewis, suit la jeune femme dans tous ses déplacements. Un soir, Pierre, qui a tout dit de son passé à Kathleen, voit Lewis rôder autour de l’immeuble où habite celle-ci et croit que c’est son amant. Elle le rassure, lui expliquant que la famille Dinver, persuadée qu’elle a tué son mari, a lancé sur sa trace un inspecteur de Scotland Yard, Lewis. Bien sûr, Catherine Clérand – c’est son nom de jeune fille – affirme son innocence. Convaincu, Pierre provoque Lewis à son hôtel : « Foutez-lui la paix ! Je sais. » Mais le policier insinue : « Il y a aussi ce qu’elle n’a pas dit. »

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Peu après, Catherine confie à son amant qu’elle était vendeuse de parfums avant son mariage, mais ajoute : « Tout ce qui s’est passé avant toi ne te regarde pas ». Ce qui plonge Pierre dans le doute. Il relance Lewis, qui lui révèle que Dinver n’est pas mort il y a un an comme Catherine le lui a affirmé, mais il y a seulement deux mois. « Tu m’as menti » reproche-t-il à celle qu’il aime et qui rompt. « Je pars demain » annonce Pierre, à qui Porfirio, un ami d’Amalia, a retenu un passage sur un cargo en partance pour le Brésil. Catherine rejoint Pierre à la boîte d’Amalia et lui avoue enfin : « Je l’ai tué pour ne pas redevenir pauvre » « Tu vas partir avec moi » consent Pierre.

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Le bateau va appareiller. Sur le quai avec Pierre, Lewis abat sa dernière carte : « Pourquoi vous a-t-elle tout avoué le jour où je lui ai retiré son passeport ? ». Pierre ne se fait plus guère d’illusions sur la sincérité des sentiments de Catherine. Celle-ci comprend qu’elle n’a qu’un moyen de lui prouver son amour : se livrer à la police. Alors que le bateau est déjà au large, Pierre voit s’éloigner sur le quai les silhouettes de Lewis et de Catherine, sa bien-aimée, dont il crie en vain le nom.

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DivX 5,0 | 696x528 | Mp3 | 1,5 Go

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Françoise Arnoul
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Verneuil-1957-Une manche et la belle

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Une manche et la belle
1957 - 1hre 40
 Generic MPEG-4 | 704x384 pixels | Mp3 | 1,17 Go




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Une manche et la belle
1957 - 1hre 40
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Réalisateur : Henri Verneuil
Scénario : Henri Verneuil, Annette Wademant, François Boyer d’après le roman de James Hadley Chase, The Sucker Punch (1954)
Dialogues : Annette Wademant, François Boyer

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Distribution:

Mylène Demongeot : Éva Dollan
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Isa Miranda : Betty Farnwell
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Henri Vidal : Philippe Delaroche
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Alfred Adam : l'inspecteur de police Malard
Jean-Loup Philippe : Bob Farnwell
Simone Bach : Sylvette Guibert
Antonin Berval : le maire
Jean Galland : le directeur de la banque
André Roanne : le commissaire

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Mrs Farnwell, une veuve richissime de Nice, demande à sa banque que ses affaires soient gérées spécialement par un petit employé Philippe Delaroche. C'est qu'elle est éprise de lui et profitant de la situation, Philippe réussit à l'épouser. Mais il rencontre la jeune secrétaire de Mrs Farnwell, Eve, qui elle-même intrigue pour devenir la maîtresse de Philippe. Au cours d'une grande réception, Philippe découvre qu'Eve quitte la maison en cachette ; il la suit et la retrouve entre les bras d'un autre amant.

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Elle avoue et explique qu'il faudra bien qu'elle épouse ce second amant puisqu'il est riche et lui promet de l'enrichir. Cependant, elle déclare qu'elle n'aime que Philippe. Ils décident alors à eux deux de tuer Mrs Farnwell pour pouvoir ensuite s'épouser. Un crime parfait est monté. Grâce à un magnétophone, les amis de Philippe, convoqués pour une partie de cartes, croiront que Philippe dicte du courrier dans une pièce voisine alors qu'il est en train d'étrangler sa femme sur une route et de la précipiter avec sa voiture dans le vide.

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Le plan se réalise à merveille. Cependant quelques doutes s'élèvent et un des joueurs de cartes, inspecteur de police, comprend la supercherie. Philippe sera donc inculpé. Par ailleurs, le testament révèle que Mrs. Farnwell avait un fils qui va hériter et Eve vient expliquer que c'est de cet héritier qu'elle va devenir la femme et qu'elle s'est servie de Philippe pour permettre à son fiancé d'hériter. Les deux complices se tueront à la dernière image du film.

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Isa Miranda
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Mylène Demongeot
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Voix de femmes 211 de ... Jenny Evans

Kees van Dongen

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Kees van Dongen
192 jpg | 224 Mo





Kees Van Dongen, de son vrai nom Cornelis Théodorus Marie van Dongen est un peintre néerlandais de sensibilité libertaire, né le 26 janvier 1877 à Delfshaven, dans la banlieue de Rotterdam (Pays-Bas) et mort, à l'âge de 91 ans, le 28 mai 1968 à Monaco.

En 1892, à l’âge de 16 ans, Kees van Dongen débute des études en peinture à l’Académie royale des beaux-arts de Rotterdam. De 1892 à 1897, il fréquente le Quartier Rouge portuaire. Durant cette période, van Dongen peint des scènes de matelots et de prostituées.
D'inspiration anarchiste, il illustre en 1895 avec Jan Krulder l’édition hollandaise de l'ouvrage de Pierre Kropotkine intitulé L’Anarchie.
En 1897, il habite à Paris pour plusieurs mois. Il y retourne en décembre 1899 pour rejoindre Augusta Preitinger (Guus), qu’il avait rencontrée à l’Académie. Ils se marient le 11 juillet 1901.
À Paris, il rencontre Félix Fénéon qui lui confie en 1901 un numéro de L'Assiette au Beurre, Petite histoire pour petits et grands nenfants.
En 1904, il expose au salon des indépendants et rencontre Maurice de Vlaminck et Henri Matisse. Bientôt, il commence à exposer ses œuvres à Paris, notamment l’exposition controversée de 1905 du Salon d'Automne, où exposait également, entre autres, Henri Matisse. Les couleurs vives de leurs œuvres seront à l’origine du nom de ce groupe de peintres : les Fauves.
Après la première guerre mondiale, il s'installe près du bois de Boulogne et fréquente les milieux privilégiés.
Il est décoré de la Légion d'honneur en 1922. Mais ce n'est qu'en 1928 qu'il obtient la nationalité française.
Il a aussi été brièvement membre du mouvement expressionniste allemand Die Brücke.
En octobre 1941, en compagnie d'autres peintres et de sculpteurs tels que Charles Despiau, Paul Belmondo, Derain, Dunoyer de Ségonzac, ou encore Vlaminck, Van Dongen participa à un voyage d’études en Allemagne organisé par Arno Breker. Bien que la contre partie de ce déplacement un peu "forcé" par le gouvernement allemand devait être la libération d'artistes français alors prisonniers de guerre, ce voyage dans l'Allemagne nazie leur fut à tous sévèrement reproché.
Kees van Dongen est le frère du sculpteur Jean van Dongen.



192 jpg | 224 Mo


Boisrond-1972-Le Petit Poucet

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Le petit Poucet
1972 - 1hre 30
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Le petit Poucet
1972 - 1hre 30
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Réalisation : Michel Boisrond
Scénario : Marcel Jullian, d'après le conte de Charles Perrault
Musique : Francis Lai

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Distribution:

 Marie Laforêt : La Reine
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Jean-Christophe Maillot surnommé "Titoyo" : Le Petit Poucet
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Jean-Luc Bideau : Le Roi
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Jean-Pierre Marielle : L'ogre
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Marianne Ridoret : la Princesse
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Michelle Marquais : La femme de l'ogre
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Michel Robin : Le bûcheron
Marie Henriau : La bûcheronne
Jean-Marie Proslier : L'intendant


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Il était une fois un bûcheron, sa femme et leurs sept garçons. Ils vivaient pauvrement et étaient obligés de travailler dur pour le château pour survivre. Dans ce château Rosemonde, la petite princesse est chérie par ses parents qui ne savent plus quoi lui offrir. Elle souffre de solitude. Leur dernière idée, un papillon bleu est emportée par le vent. Malgré toutes les recherches du roi, il reste introuvable. Il atterrit chez Poucet, le dernier né du bûcheron. Il va alors le rapporter en personne à la petite princesse.

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Contente de trouver enfin un compagnon elle lui fait promettre de le revoir, mais la famine arrive ... Le bûcheron ne peut plus subvenir aux besoins de sa famille, aussi il va perdre ses enfants dans les bois. Poucet, qui a entendu ses parents préparer leur perte, ramasse des cailloux blancs et les sème sur le chemin. Les enfants peuvent donc rentrer à la maison. Le bûcheron réessaie le lendemain, et Poucet n'a eu le temps que de prendre des miettes de pain vite mangées par les oiseaux ...

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Generic MPEG-4 | 640x384 | Mp3 | 692,4 Mo


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Elvey-1921-L'homme à la lèvre tordue

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L'homme à la lèvre tordue
The Man with the Twisted Lip
1921 - 26 min - VoStFr (.srt)
Generic MPEG-4 | 720x480 | Mp3 | 503,2 Mo



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The Man with the Twisted Lip
L'homme à la lèvre tordue
1921 - 26 min - VoStFr (.srt)
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Réalisation : Maurice Elvey
Scénario : William J. Elliott, d'après la nouvelle L'Homme à la lèvre tordue d'Arthur Conan Doyle

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Distribution:

Eille Norwood : Sherlock Holmes
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Hubert Willis : Docteur Watson
Madame d’Esterre : Mme Hudson
Robert Vallis : Neville St. Clair
Paulette del Baze : Nellie St. Clair 

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Generic MPEG-4 | 720x480 | Mp3 | 503,2 Mo


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Tréville-1912-Les hêtres rouges

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Les hêtres rouges
The Copper Beeches
1912 - 23 min - VoStFr (.srt)
Generic MPEG- 4 | 720x480 | Mp3 | 462,7 Mo




The Copper Beeches
Les hêtres rouges
1912 - 23 min - VoStFr (.srt)
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Réalisation : Georges Tréville
Scénario d'après la nouvelle "Les Hêtres rouges" d'Arthur Conan Doyle



Rucastle refuse que sa fille épouse William et cherche à la faire renoncer à son héritage si elle se marie. Comme elle refuse, son père l'enferme dans une remise. Ensuite, il prépare un plan pour qu'une gouvernante, qui ressemble à sa fille, amène William à un endroit où il pourrait l'abattre. Miss Hunter, la gouvernante, découvre que quelqu'un est enfermé dans la remise mais Rucastle l'empêche d'aller plus loin. Hunter fait alors part de ses soupçons à Sherlock Holmes qui accepte de l'accompagner...




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Boisset-1970-Un condé

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 photo aff_1.jpg
Un condé
1970 - 1hre 35
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 Un condé
1970 - 1hre 35
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Réalisation : Yves Boisset
Scénario : Yves Boisset, Claude Veillot, d'après l'ouvrage de Pierre Vial Lesou, La mort d'un condé
Dialogue : Claude Veillot

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Distribution:

Michel Bouquet : l'inspecteur Favenin
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Françoise Fabian : Hélène Dassa
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Michel Constantin : Viletti
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Gianni Garko : Dan Rover
Anne Carrère : Christine
Rufus : Raymond Aulnay
Théo Sarapo : Lupo
Henri Garcin : Georges Duval, dit "Georgy Beausourire"
Bernard Fresson : L'inspecteur Barnero
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Adolfo Celi : Le commissaire principal
Jean-Claude Bercq : Germain
Marcel Gassouk

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La guerre des gangs fait rage entre les amis de roger dassa et ceux du mandarin.Barnero, un jeune officier de police idéaliste est abattu par les amis de dassa. Son collègue Favenin, policier désabusé, sans illusion et fatigué d'en avoir trop vu décide de punir les assassins. Agissant seul au mépris des lois et de sa hiérarchie, il n'hésite pas à abattre ceux qui s'opposent à lui...

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Imagerie



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Boisset-1971-Le saut de l'ange

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Le saut de l'ange
1971 - 1hre 35
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Le saut de l'ange
1971 - 1hre 35
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Réalisation : Yves Boisset
Scénario et adaptation : Yves Boisset et Richard Winckler
D'après le roman de Bernard-Paul Lallier
Dialogues : Claude Veillot

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Distribution:

Jean Yanne: Louis Orsini
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Raymond Pellegrin: Diego Alvarez
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Senta Berger: Sylvaine Orsini, épouse de Marc Orsini
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Daniel Ivernel: le commissaire Pedrinelli
Sterling Hayden: Mason, flic américain
Giancarlo Sbradgia: Forestier
Claude Cerval: Marc Orsini
Marcel Lupovici: Lucien Orsini
Étienne Bierry
Gordon Mitchell
Albert Augier


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À Marseille, la bataille électorale fait rage. Au clan des Corses, patronné par la puissante famille Orsini, s'oppose à la génétation montante dirigée par le promoteur immobilier Forestier. Pour se faire élire, ce dernier fait exécuter les frères Orsini, Lucien et Marc. Bientôt, il ne reste plus que Louis, aventurier retiré en Thaïlande où il vit paisiblement dans sa plantation, entouré de sa femme et de sa fille Geneviève. Di Fusco, envoyé pour supprimer Louis, tue sa femme par erreur, puis c'est au tour de la fille de Louis d'être victime d'une balle perdue.

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Fou de douleur, Louis décide de se venger en décrochant le colt qu'il avait abandonné, rassemblé un commando de Vietnamiens à ses ordres et débarque à Marseille. Peu confiant dans les méthodes de la police, Louis lâche ses hommes contre les assassins de sa fille. En quelques heures, la ville est mise à feu et à sang. Que ce soit pour la police ou pour les hommes de Forestier, Orsini est devenu l'homme à abattre...

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Verneuil-1958-Maxime

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Maxime
1958 - 2hre 04
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Maxime
1958 - 2hre 04
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Réalisateur : Henri Verneuil
Scénario : D'après le roman de Henri Duvernois
Adaptation : Henri Duvernois, Henri Jeanson, Albert Valentin, Henri Verneuil
Dialogue : Henri Jeanson
Assistant réalisateur : Jean Becker, Michel Wyn

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Distribution:

Michèle Morgan : Jacqueline Monneron
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Charles Boyer : Maxime Cherpray
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Arletty : Gazelle
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Félix Marten : Hubert de Treffujean
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Jane Marken : Coco Naval • André Brunot : Le Général Le Questin, dit 'Chi-Chi'• Micheline Luccioni : Liliane • Meg Lemonnier : Eva Allison • Jean-Marie Proslier : Le représentant du ministre • Fernand Fabre : Le Comte • Jacques Dufilho : Flick, le détective privé • Odette Barancey : L'habilleuse • Liliane Patrick : La secrétaire • Georges Adet : Victor • Richard Larke : Frank Allison • Geneviève Morel : Mme Mignolet • Yvonne Constant : Rolande • Florence Blot : Antoinette • Dominique Zardi : Un bagagiste sur le quai de la gare • Charles Bayard : Le militaire chez "Maxim's"• Van Doude : Marcel • Georges Adet : Victor • Jean-Roger Caussimon : Le docteur • Lud Germain : Le serviteur noir • Bernard Musson : Un maître d'hôtel • Léon Pauléon : Le bourgeois de Nice • René Worms : L'ami d'Olga • Marcel Rouzé : Le régisseur


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1914. Hubert Treffujean, jeune célibataire riche, cynique, mal élevé et un peu ivrogne, mène la vie à grandes guides. Pour lui éviter les bévues, les rebuffades des femmes délicates, il a auprès de lui une sorte de factotum supérieur, Maxime, vieux Parisien spirituel, ironique et philosophe que les femmes et les chevaux ont ruiné et qui vit au jour le jour des « cadeaux » d'Hubert et des commissions des fournisseurs. Hubert est tombé amoureux d'une femme belle, élégante et hautaine, Jacqueline Monneron. Il charge Maxime de lui « arranger » un rendez-vous. Maxime rencontre Jacqueline. La jeune femme ne veut pas entendre parler d'Hubert, dont le seul nom la hérisse mais, par contre, elle n'est pas insensible au charme de Maxime et tous deux ne tardent pas à s'avouer leur amour et à devenir amants.

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Maxime a caché à Jacqueline qu'il vit d'expédients et, devant faire face à des obligations sans nombre pour garder la jeune femme, il voit fondre rapidement ses maigres ressources. Un jour, voulant surprendre Maxime chez lui, Jacqueline a la révélation de sa pauvreté. Elle prend pour un surcroît de passion son premier mouvement de pitié mais le jour vient où elle ne voit plus en Maxime qu'un monsieur d'âge mûr, charmant mais incapable de lui assurer la vie brillante à laquelle elle ne peut renoncer. Et Hubert, qui, depuis des mois, s'efforçait de profiter des leçons de Maxime, est devenu un garçon sobre, sérieux, aimable. Il a trente ans. Il est beau. Il est riche. C'est lui que maintenant Jacqueline aime. Maxime, stoïque, ne laissera pas paraître que ce grand amour - le dernier qu'il aura connu - a ravagé son coeur. Il laissera partir Jacqueline - en grand seigneur.

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DivX 5,0 | 720x576 pixels | Mp3 | 701,8 Mo



Michèle Morgan
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Arletty
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