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Fabien M.
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Joaquín Sorolla y Bastida
Joaquín Sorolla y Bastida
284 JPG | 315,2 Mo
Sorolla est connu pour ses scènes de genre alliant réalisme et lyrisme ainsi que pour ses scènes de plage et sa maîtrise de la couleur blanche dont il use avec brio dans de nombreux tableaux.
Sorolla est né à Valence, en Espagne ; il est le fils aîné d'un marchand, également nommé Joaquín Sorolla, et de son épouse, Concepción Bastida. Sa sœur Concha naît un an plus tard. En août 1865, leurs deux parents meurent (lors d'une épidemie de choléra) et les enfants sont pris en charge par leur tante maternelle et leur oncle. Sorolla fut d'abord formé dans sa ville natale par Francisco Pradilla y Ortiz, puis en Italie et à Paris. Là, il subit l'influence des impressionnistes. À 18 ans, il s'établit à Madrid, étudiant les chefs d'œuvre du Musée du Prado. À 22 ans, Sorolla obtint une bourse pour étudier la peinture à Rome. Il y développa son style et sa technique.
De retour en Espagne, sa palette s'éclaircit avec les plages méditerranéennes, les ébats d'enfants, les nus, les pêcheurs valenciens. Il obtint son premier succès important avec Une autre Marguerite, qui lui valut la médaille d'or à Madrid et fut vendu à la galerie Saint-Louis. Il devint vite très connu et le meneur incontesté de l'école moderne espagnole de peinture. Son tableau Le retour des pécheurs fut admiré au salon de Paris et acquis par l'État pour le musée du Luxembourg.
Il remporta une médaille d'honneur à l'exposition universelle de Paris en 1900 et fut nommé chevalier de la légion d'honneur. Une exposition de ses œuvres — paysages, portraits — à la galerie Georges Petit à Paris en 1906 lui apporta une gloire encore plus grande et lui valut de devenir officier de la légion d'honneur. En 1933, Paul Getty acheta dix de ses tableaux représentant des scènes de plages impressionnistes. À la fin de sa vie, il réalise de grandes compositions pour décorer l'Hispanic Society de New York, évoquant les jeux et les costumes des régions espagnoles.
En 1920, une attaque le laisse paralysé, et Sorolla meurt en 1923 à Madrid. Après sa mort, sa veuve fit don de beaucoup de ses tableaux à l'État espagnol. Ces peintures forment maintenant le fond du musée Sorolla situé dans la maison de l'artiste à Madrid.
284 JPG | 315,2 Mo
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Meyer-1976-MegaVixens
MegaVixens
Up!
1976 - 1hre 20 - VFr
Generic MPEG-4 | 576x432 | Mp3 | 696 Mo
MegaVixens
Up!
1976 - 1hre 20 - VFr
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Réalisation et scénario : Russ MeyerDistribution:
Raven De La Croix : Margo Winchester
Janet Wood : Douce Alice
Su Ling : La japonaise
Elaine Collins : L'éthiopienne
Edward Schaaf : Adolf Schwartz
Robert McLane : Paul
Candy Samples : La femme cagoulée
Linda Sue Ragsdale : Gwendolyn
Monty Bane : Homer Johnson
Larry Dean : Leonard Box
Bob Schott : Rafe
Foxy Lae : Pocahontas
Kitten Natividad : La narratrice
Dans un paysage montagnard et désert, la plantureuse Margo Winchester, au tour de poitrine impressionnant, est attaquée par un voyou, mais elle se défend et parvient à tuer son agresseur. Elle est recueillie par le policier Homer Johnson.Cela lui vaut d'être engagée comme danseuse dans un bar louche, tenu par Paul et Sweet Lil'Alice, et fréquenté par un bucheron à l'allure de brute. Quel rapport avec Adolf Schwartz, sosie de Hitler dévoré par un piranha alors qu'il prenait son bain ? Apparemment, aucun. Quoique…Le film est scandé par des relances narratives exécutée par l'actrice Kitten Natividad, complètement nue. Russ Meyer se livre également à de nombreux plans serrés de seins, de toisons pubiennes féminines et l'exhibition de sexes masculins énormes et veineux.
Generic MPEG-4 | 576x432 | Mp3 | 696 Mo
Raven De La Croix
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Meyer-1979-Ultravixens
Ultravixens
Beneath the Valley of the Ultra-Vixens
1979 - 1hre 33 - VFr
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Ultravixens
Beneath the Valley of the Ultra-Vixens
1979 - 1hre 33 - VFr
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Réalisation: Russ MeyerScénario: Roger Ebert et Russ Meyer
Distribution:
Uschi Digard : SuperSoul
Kitten Natividad : Lavonia / Lola Langusta
Ann Marie (Kathy Ayers) : Eufaula Roop
Michael Finn : Semper Fidelis
Sharon Hill Ceccatti : Flovilla Thatch
Ken Kerr : Lamar Shedd
June Mack : Junkyard Sal
DeForest Covan : Zebulon
Robert Pearson : Asa Lavender
Henry Rowland : Martin Bormann
Small Town, petite ville de l'ouest des États-Unis, un narrateur nous raconte la vie des habitants qui se livrent tous aux plaisirs charnels. Il y a sœur Effola Rupp, une bonne-sœur aux formes impressionnantes. Junky Yard Sal, qui couche avec ses employés, et enfin le couple Lamar et Lavonia.Lavonia ne supporte plus le fait que son mari ne veuille pratiquer que la sodomie et se console avec Peterbuilt l'éboueur. Après avoir plongé dans le bain de jouvence, Lamar revient dans le droit chemin et tout revient dans l'ordre.
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Kitten Natividad
Uschi Digard
Kathy Ayers
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Chenal-1939-Le dernier tournant
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Réalisation : Pierre Chenal---
Scénario : Charles Spaak, d'après le roman de James M. Cain
Distribution:
Fernand Gravey (Frank)
Michel Simon (Nick Marino)
Corinne Luchaire (Cora)
Florence Marly (Madge, la dompteuse)
Robert Le Vigan (Le cousin)
Marcel Vallée (Le juge d'instruction)
René Bergeron (Le commissaire)
Auguste Bovério (Le prêtre)
Pierre Sergeol (L'avocat)
Charles Blavette (Le camionneur)
Yvonne Yma (la femme)
Pierre Labry (le camionneur)
Serge Nadaud (le motard)
Etienne Decroux (le bistrot)
Jean-François Martial (l'architecte)
Georges Péclet (l'assureur)
Marcel Duhamel (le monsieur pressé)
Georges Douking (un joueur)
Alfred Pasquali (le joueur)
Georges Paulais (le greffier)
Franck Maurice
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Un vagabond, devenu l'amant de la femme de son patron, aide celle-ci à se débarrasser de son mari, en maquillant le crime en accident. Puis, parce qu'on le croit coupable d'avoir tué la jeune femme dans un accident de voiture, il est condamné à mort.
Corinne Luchaire
Florence Marly
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Chenal-1946-La foire aux chimères
La foire aux chimères
1946 - 1hre 34
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La foire aux chimères
1946 - 1hre 34
1946 - 1hre 34
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Réalisateur: Pierre Chenal Assistant réalisateur: Jean Sacha
Scénaristes: Jacques Companeez, Ernst Neubach et Pierre Chenal
Dialoguiste: Louis Ducreux
Distribution:
Erich von Stroheim (Frank Davis)
Madeleine Sologne (Jeanne)
Claudine Dupuis (Clara)
Margo Lion (Marie-Louise)
Annette Poivre (La remplaçante)
Line Renaud (La chanteuse du Styx)
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Yves Vincent (Robert)Jean-Jacques Delbo (Lenoir)
Louis Salou (Furet)
Eugène Frouhins (Le domestique)
Denise Benoît (la bonne du restaurant)
Paul Delauzac (le médecin)
Yves Deniaud (l'intermédiaire)
Dora Doll (La secrétaire de Lenoir)
Le Directeur d'un institut international d'impression de billets de banque, mutilé de la face de la grande guerre, Frank Davres, s'éprend d'une jeune femme, Jeanne, admirablement belle, mais aveugle. Il l'épouse. Pour elle, il se ruine et en vient à émettre des billets faux.
La jeune femme, heureuse, fait tout pour faire oublier son infirmité. Un jour, à la suite d'une opération, elle recouvre la vue et constate la laideur physique et morale de son mari. Elle dissimule sa guérison jusqu'au jour où Frank, pris par la police, tue un de ses complices et se suicide. Jeanne part rejoindre un ami avec qui elle faisait un numéro dans un cirque.
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Madeleine Sologne
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Quel grand rôle
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Verneuil-1979-I... comme Icare
I... comme Icare
1979 - 2hre 03
DivX 5,0 | 608x384 | Mp3 | 693 Mo
I... comme Icare
1979 - 2hre 03
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Ouverture---
Réalisateur: Henri Verneuil
Assistants réalisateur: Reynald Lampert et Philippe Lopes-Curval
Scénaristes et dialoguistes: Didier Decoin et Henri Verneuil
Compositeur de la musique originale: Ennio Morricone
Distribution:
Yves Montand (Le procureur Henri Volney)
Pierre Vernier (Charly Feruda)
Jean-François Garreaud (Vernon Calbert) • Jean Lescot (Frank Bellony) • Didier Sauvegrain (Karl Eric Daslow, le faux tueur) • Roger Planchon (professeur David Naggara) • Jacques Denis (Despaul) • Roland Blanche (Garcia Santos) • Gabriel Cattand (président Marc Jary) • Jacques Sereys (Richard Mallory, chef des services secrets) • Jean Négroni (Carlos De Palma) • Michel Albertini (Luigi Lacosta) • Henri Djanik (Nicky Farnese, le faux témoin) •
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Michel Etcheverry (Frédéric Heiniger, Président Haute Cour de Justice) • Jacqueline Staup (Mme Lapierre, secrétaire de Heiniger) • Jean Obé (Hugues Adler) • Jean Leuvrais (Robert Picart, ministre de la justice) • Jean-Claude Jay (Albert Philippe, sénateur) • Robert Party (général Anthony Baryn) • Erick Desmarestz (Bob Dagan) • Jean-Pierre Bagot (Michaël Mix) • Joséphine Fresson (Marianne Delila) • Daniel Léger (Guillaume Géménos) • Brigitte Lahaie (Ursula Hoffmann) • ...
Soudain, alors que la voiture décapotable du Président s'avance lentement, au milieu d'une foule enthousiaste, des coups de feu éclatent. C'est d'abord la panique alentour, puis quelques heures plus tard la consternation générale à l'annonce de la mort du Président. Au terme d'une longue et minutieuse enquête, la Commission Heiniger rend publiques ses conclusions. L'assassinat a été perpétré par un seul homme qui s'est suicidé immédiatement après son acte criminel. Cependant le procureur Volney, membre de la Commission, est lui, convaincu du contraire.
Avec ses assistants, il se lance aussitôt dans une série d'investigations au terme de laquelle il apparaît que neuf témoins capitaux n'ont jamais été entendus. Or, après enquête, il se trouve qu'un seul d'entre eux, qui se terre d'ailleurs et refuse de rencontrer qui que ce soit, est encore en vie. Volney le retrouve pourtant et le persuade de témoigner. Ainsi, l'existence d'un complot est-elle démontrée tandis que les vrais coupables sont démasqués et qu'on découvre la réelle personnalité du bouc émissaire. C'est alors que les services secrets, directement impliqués dans l'affaire, se décident à faire assassiner Volney...
- 1980 : Grand prix du cinéma français
DivX 5,0 | 608x384 | Mp3 | 693 Mo
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Verneuil-1981-Mille milliards de dollars
Mille milliards de dollars
1981 - 2hres 06
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Mille milliards de dollars
1981 - 2hres 06
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Réalisateur: Henri Verneuil Assistants réalisateur: Jean-Pierre Vergne, Michèle Aragon et Françoise Combadière
Scénariste et dialoguiste: Henri Verneuil
Distribution:
Patrick Dewaere : Paul Kerjean
Caroline Cellier : Hélène Kerjean
Charles Denner : Walter
Anny Duperey : Laura Weber
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Jeanne Moreau : Mme Benoît-Lambert
Jean Mercure : Holstein
Michel Auclair : Michel Saint-Claude
Mel Ferrer : Cornelius Abel Woeagen
Jean-Laurent Cochet : Serge Hartmann
Fernand Ledoux : M. Guérande
Edith Scob : Mme Bronsky
Jacques Maury : Jack Sleiter
Claude Vernier : Dr Gerhart Kramer
Jean-Pierre Kalfon : Stan Hankin
André Falcon : Pierre Bayen
...
Grand reporter à "La Tribune", un grand journal parisien, Paul Kerjean, après avoir été informé par un mystérieux interlocuteur, dénonce un scandale: un industriel a bradé, moyennant un pot de vin, une entreprise française à la colossale multinationale américaine GTI. L'article publié, l'industriel attaqué est retrouvé mort. Mais derrière la thèse du suicide, avancée par la police, Paul découvre, en fait, un meurtre.
Et une vérité qu'il a du mal à admettre: lui, le journaliste honnête a été manipulé afin qu'un tel meurtre puisse être plus aisément déguisé. Il reprend l'enquête aidé en cela par la maîtresse de l'industriel, Laura. Et, petit à petit, la vérité se fait jour: loin de tremper dans des combines louches , le businessman assassiné passait son temps à constituer un dossier contre la fameuse GTI, dont tout porte à croire qu'elle a, durant la guerre, vendu des armes à l'Allemagne.
Echappant de peu à la mort promise par l'ampleur de ses découvertes, Paul doit fuir en province pour rédiger son article, intitulé Mille milliards de dollars. Dans la tourmente son ex-femme, Hélène, accepte de l'aider et finit par revivre définitivement avec lui. Cependant, son article corrosif ne paraîtra pas dans "La tribune". C'est la "feuille de chou" où il a commencé sa carrière journalistique qui, sous la bienveillance de Guérande, son directeur, acceptera de publier son brulôt...
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Caroline Cellier
Anny Duperey
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Lawrence Alma-Tadema
Lawrence Alma-Tadema
144 JPG | 275,4 Mo
Sir Lawrence Alma-Tadema, (8 janvier 1836 à Dronrijp, Pays-Bas - 25 juin 1912 à Wiesbaden, Allemagne) est un peintre britannique d'origine néerlandaise.
En 1852, il intègre l'Académie d'Anvers et devient l'élève de Gustave Wappers puis de Nicaise de Keyser. Tous deux sont proches du mouvement romantique, et de Keyser, en particulier, encourage ses élèves à peindre des sujets historiques. En 1856, il quitte l'académie, devient l'assistant du peintre Hendryk Leys et s'installe chez l'archéologue Louis de Taye, au contact duquel il s'intéresse à l'histoire et à l'archéologie.
En 1862, il se rend à Londres pendant l'Exposition universelle. Lorsqu'il visite le British Museum, il est très impressionné par la collection d'objets égyptiens et particulièrement par la « frise du Parthénon », ce qui influencera considérablement son œuvre par la suite.
En 1863, il épouse une Française, Marie Pauline Gressin de Boisgirard, et découvre l'Italie lors de leur voyage de noces. Alors qu'il avait prévu d'y étudier l'architecture des églises primitives, il tombe sous le charme des ruines de Pompéi. Il en rapportera une impressionnante collection de photographies qui lui servira de documentation pour ses toiles à venir, représentant pour la plupart des scènes de la vie courante durant l'Antiquité. Plus tard, sa grande habileté à reproduire l'architecture antique lui vaudra le surnom de « peintre du marbre ».
De retour d'Italie, il s'installe à Paris où il rencontre le célèbre marchand d'art belge Ernest Gambart, qui l'encourage dans la voie qu'il a choisie et lui commande une vingtaine de toiles pour sa galerie londonienne. Le succès est immédiat. En 1865, son fils meurt de la variole, puis il perd son épouse en 1869, se retrouvant seul avec deux fillettes, Anna et Laurence.
Craignant une invasion prussienne, il quitte la France, tout comme Monet et Pissarro, et s'installe à Londres en 1870. Il se remarie avec une de ses élèves âgée de dix-sept ans, Laura Epps, et en 1873, devient sujet britannique.
Les expositions se succèdent, lui assurant un immense succès, aussi bien en Europe qu'aux États-Unis ou en Australie, pays où de nombreux prix lui sont décernés.
En 1876, il devient membre de l'Académie Royale et en 1899, il est anobli par la reine Victoria.
Le décès de sa seconde épouse en 1909 attriste profondément Alma-Tadema mais n'affecte en rien son talent. Il continue à peindre, produisant, d'après certains, quelques-unes de ses plus belles toiles.
Après une carrière de près de soixante ans, il meurt au spa de Wiesbaden, le 25 juin 1912. Son corps repose dans la cathédrale Saint-Paul de Londres.
144 JPG | 275,4 Mo
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Klein-1969-Mister Freedom
Mister Freedom
1969 - 1hre 32 - VoStFr incrustés
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Mister Freedom
1969 - 1hre 32 - VoStFr incrustés
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Réalisateur, scénariste et dialoguiste: William Klein Compositeur de la musique originale: Serge Gainsbourg
Distribution:
Delphine Seyrig : Marie-Madeleine
John Abbey : Mister Freedom
Philippe Noiret : Moujik Man
Catherine Rouvel : la Marie Rouge
Sami Frey: Christ Man
Yves Montand : Capitaine Formidable
Donald Pleasence : Dr Freedom
Jean-Claude Drouot : Dick Sensass
Serge Gainsbourg : Mr Drugstore
Rufus : Freddy Fric
Yves Lefebvre : Jacques Occident
Monique Chaumette : la Vierge Marie
Daniel Cohn-Bendit : lui-même
Pierre Baillot : Tornade Blanche
Henry Pillsbury : Joe Détergent
Jean-Luc Bideau : un combattant
Simone Signoret : caméo
Rita Maiden : la femme de chambre
Sabine Sun : la réceptionniste
Mister Freedom, membre d'une organisation fasciste américaine, arrive en France pour mettre de l'ordre dans cette nation de 50 millions de « pleurnichards » depuis Napoléon ! Ce justicier international a mission de libérer la France de la « menace rouge » et du « péril jaune », symbolisés par le gros moujik rouge et l'énorme dragon jaune - la Chine de Mao. Le super frenchman ne comprend pas le désir de M. Freedom de l'aider dans ses difficultés face aux Jaunes et aux Rouges. Aussi, M. Freedom vivra-t-il une série d'aventures extraordinaires en combattant les anti-Freedom. En effet, la trahison guette Freedom, de même qu'elle avait tué son prédécesseur, le « capitaine Formidable ».
M. Freedom rencontre à Paris l'étrange Marie-Madeleine, une séduisante créature, autrefois fiancée au capitaine Formidable. Mais cette femme ensorcelante n'est qu'une traîtresse. Après une série de coups de théâtre, Freedom est blessé et capturé. Il réussit à s'échapper en tuant la Marie-Rouge, sorte de Jeanne d'Arc des anti-Freedom. Pour écouter les appels pacifiques du Moujik Man, les F.A.F. (Français Anti-Freedom) contre-attaquent. Malgré les préceptes évangéliques du Christ, qui apparaît avec sa mère à ses côtés, le continent européen sera anéanti. Mr Freedom communique au Docteur Freedom, demeuré aux U.S.A., par bracelet-montre-télévision, le résultat désastreux de l'opération. Celui-ci refuse de perdre la face : « Nous avons gagné, non ? ». « Oui, mais il ne reste pas grand-chose. » « Vous avez fait tout ce qu'il fallait. Ils n'étaient pas prêts pour Freedom. »
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Delphine Seyrig
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J'aurais du me faire moine
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Double sosie
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Chenal-1947-Clochemerle
Clochemerle
1947 - 1hre 33
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Clochemerle
1947 - 1hre 33
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Réalisateur: Pierre Chenal Assistants réalisateur: Jean Mitry et André Pergament
Scénariste et dialoguiste: Gabriel Chevallier
Distribution:
Saturnin Fabre : Bourdillat (ancien ministre)
Simone Michels : Judith Toumignon (épicière)
Christiane Muller (sous le nom de Cri-Cri Muller) : Adèle Torbayon
Jacqueline Dior : Rose Bivaque
Simone Chambord : Hortense Girodot
Jean Brochard : Piéchut (maire)
Félix Oudart : Ponosse (curé)
Roland Armontel : Tafardel (instituteur)
Paul Demange : Toumignon
Maximilienne : Justine Putet
Jane Marken : la baronne de Courtebiche
Max Dalban : Arthur Torbayon (aubergiste)
Gaston Orbal : Poilphard (pharmacien)
R.J. Chauffard : Oscar de Saint-Choul (gendre de la baronne)
Jean-Roger Caussimon : Bernard Samotrace (poète)
Odette Talazac : Mme Girodot
Clochemerle-en-Beaujolais est à peine plus grand qu'un village. On y vit heureux, sans souci. Et pourtant, il semble y avoir un abîme infranchissable entre ceux qui, le dimanche, fréquentent l'église du brave curé Ponosse et ceux qui constituent tous les jours la clientèle d'Arthur Torbayon, le tenancier de l'auberge locale. Les premiers se rassemblent autour de Justine Putet, vieille fille qui attire toutes les cancanières du village, et de la baronne de Courtabiche qui, à force de bonnes œuvres, prétend être la garante de la morale publique.
De l'autre, le maire, Barthélemy Piéchut, l'instituteur Tafardel, au pince-nez mal équilibré et Toumignon, le propriétaire des Galeries Beaujolaises, un ivrogne que son épouse ridiculise avec nombre de Clochemerlins. Le conflit entre les deux communautés va éclater à la faveur d'un événement "grave" : Piéchut a fait construire, le long du mur de l'église, une splendide vespasienne que Bourdillat, un ancien ministre, est venu inaugurer. Et Justine Putet, de sa fenêtre, voit tout ce qui se passe dans l'édicule !
Le curé, en chaire, tonne contre les élus; un pugilat ravage l'église. Hippolyte Foncimagne, le don Juan local, est le premier blessé et Judith le soigne avec amour. Le maire s'affole; l'armée intervient à la suite de l'erreur d'un fonctionnaire; le couvre-feu est décrété. De beaux militaires séduisent les Adèle Torbayon, Judith Toumignon et autres Rose Bivaque, ravies de l'aubaine. Il faut renvoyer la troupe, car les maris se fâchent. Le calme est enfin revenu à Clochemerle qui, maintenant, dispose de trois vespasiennes...
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Cri-Cri Muller
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Chenal-1958-Rafles sur la ville
Rafles sur la ville
1958 - 1hre 18
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Rafles sur la ville
1958 - 1hre 18
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Réalisateur: Pierre Chenal Assistants réalisateur: Tony Aboyantz et Jean Léon
Scénaristes: Jean Ferry, Paul Andréota et Pierre Chenal
Auteur de l'oeuvre originale: Auguste Le Breton
Dialoguistes: Paul Andréota et Pierre Vial-Lesou
Distribution:
Charles Vanel (Léonce Pozzi, dit Le Fondu)
Bella Darvi (Cri-Cri)
Michel Piccoli (l'inspecteur Paul Vardier)
Danik Patisson (Lucie Barot)
Marcel Mouloudji (Lucien Donati, dit Le Niçois)
Monique Tanguy (Lucienne Véron, dite Loulou)
François Guérin (l'inspecteur Gilbert Barot)
Jean Brochard (le commissaire René Brévet)
Georges Vitray (l'inspecteur Albert Taillis)
Albert Dinan (Emile)
Pierre Sergeol (Fernand)
Marcel Lupovici (Dédé)
Albert Rémy (Gus)
Lucien Barjon (Pandraz)
Georges Douking (le fou)
Gina Manès (Marie, la prostituée)
...
L'inspecteur Lebouvier est tué d'une rafale de mitraillette en poursuivant « Le Fondu », redoutable gangster qui une fois de plus vient de réussir à s'échapper. L'inspecteur Vardier a juré de venger son collègue mais il tombe amoureux de Lucie, la femme du jeune Barot, qui remplace Lebouvier. Deux « descentes » sont effectuées dans l'espoir de retrouver le gangster, mais l'une et l'autre échouent.
« Le Fondu » réussit même abattre son neveu dont il a découvert le rôle de « mouchard ». Un nouveau piège échoue encore, l'échec, cette fois, est imputable à Vardier, responsable d'une fausse manoeuvre qu'il a provoquée, pensant se débarrasser de Barot pour conserver Lucie. Un vieil inspecteur meurt en sauvant Barot et permet l'arrestation du « Fondu ». Celui-ci, menottes aux mains, arrive à sortir d'une poche une grenade. Pour se racheter, Vardier saute sur l'engin et meurt en sauvant ses collègues.
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Belle Darvi
Danik Patisson
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Le journal de Tintin - 1946-1947
Le journal de Tintin
1946-14 Numéros
1947-52 Numéros
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http://www.multiup.org/fr/project/403941f6ab9c643211b6d7d8e4e6855e
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Wilder-1970-La Vie privée de Sherlock Holmes
La Vie privée de Sherlock Holmes
The Private life of Sherlock Holmes
1970 - 2hres - VFr
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La Vie privée de Sherlock Holmes
The Private life of Sherlock Holmes
1970 - 2hres - VFr
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Réalisateur: Billy Wilder Assistant réalisateur: Tom Pevsner
Scénaristes: Billy Wilder et I.A.L. Diamond
Auteur de l'oeuvre originale: Arthur Conan Doyle
Distribution:
Robert Stephens (Sherlock Holmes)
Colin Blakely (le docteur John H. Watson)
Christopher Lee (Mycroft Holmes)
Geneviève Page (Gabrielle Valadon/Ilse von Hofmannsthal)
Irene Handl (Madame Hudson)
Stanley Holloway (un fossoyeur)
Clive Revill (Rogozhin)
Tamara Toumanova (Petrova)
George Benson (l'inspecteur Lestrade)
Catherine Lacey (la vieille dame)
Mollie Maureen (la reine Victoria)
Peter Madden (Von Tirpitz)
Robert Cawdron (le directeur du Caledonian Hotel)
Michael Elwyn (Cassidy)
Michaël Balfour (Cabby)
Sherlock Holmes et son étemel ami, le docteur Watson, sont invités à une soirée de ballets russes ; après la représentation, on propose à Holmes de se marier avec la danseuse Petrova, chose qui ne convient pas du tout au détective, parfait célibataire quelque peu misogyne. Un soir, on amène chez Holmes une jeune belge, Gabrielle Valladur, qui a voulu se noyer dans la Tamise. Holmes apprend que la désespérée est à la recherche de son mari, ingénieur, dont elle est sans nouvelles depuis longtemps.
C'est le début d'une longue enquête qui emmènera le sympathique trio dans une maison abandonnée, puis dans un cimetière et, pour finir, dans un château écossais qui sert à la défense nationale pour expérimenter un prototype de sous-marin que les riverains prennent pour le monstre du Loch Ness. L'histoire révélera qu'en réalité Gabrielle est une espionne allemande qui s'est servie de Holmes pour avoir accès au sous-marin. Si, pour une fois, le fin détective n'a pas gagné la partie, il a peut-être éprouvé certains sentiments.
DivX 5,0 | 512x224 | Mp3 | 688,1 Mo
Geneviève Page
Tamara Toumanova
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Ross-1976-Sherlock Holmes attaque l'Orient Express
Sherlock Holmes attaque l'Orient Express
The Seven-Per-Cent Solution
1976 - 1hre 49 - VFr
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Sherlock Holmes attaque l'Orient Express
The Seven-Per-Cent Solution
1976 - 1hre 49 - VFr
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Réalisateur: Herbert Ross Assistant réalisateur: Scott Wodehouse
Scénariste: Nicholas Meyer d'après le roman "The Seven-per-cent solution"
D'après des personnages de Arthur Conan Doyle
Distribution:
Vanessa Redgrave : Lola Deveraux
Robert Duvall : Dr John H. Watson
Nicol Williamson : Sherlock Holmes
Alan Arkin : Dr Sigmund Freud
Samantha Eggar : Mary Morstan Watson
Laurence Olivier : Professeur James Moriarty
Régine : Madame
Joel Grey : Lowenstein
Charles Gray : Mycroft Holmes
De plus en plus intoxiqué par ses fréquentes injections de cocaïne, Sherlock Holmes en est venu à soupçonner un illustre professeur d'être un dangereux criminel. Saisissant le prétexte d'une enquête complémentaire, le docteur Watson entraîne son ami à Vienne dans le but inavoué de lui faire rencontrer Sigmund Freud qui a déjà soigné et guéri des toxicomanes. De fait, Holmes, après un traitement intensif, sent ses forces lui revenir peu à peu. C'est alors qu'il fait la connaissance de la cantatrice Lola Deveraux, victime d'un odieux chantage et sous l'emprise de la drogue. C'est le baron Von Leinsdorf, protecteur de Lola, qui est à l'origine de l'empoisonnement progressif de la jeune femme qu'il destine, contre une forte somme, au harem du turc Amin Pacha. L'enlèvement de Lola et son départ en train provoquent une course-poursuite sur rail au terme de laquelle Holmes tue le Baron tandis que Watson et Freud sauvent Lola. Plus tard, Freud peut, enfin, dans le calme, achever la guérison de Holmes, grâce à la psychanalyse.
Oscars 1977
- Meilleure création de costumes pour Alan Barrett3
- Meilleur scénario adapté pour Nicholas Meyer
- Meilleur film fantastique
- Meilleur scénario adapté pour Nicholas Meyer
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Vanessa Redgrave
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Verneuil-1984-Les morfalous
Les morfalous
1984 - 1hre 42
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Les morfalous
1984 - 1hre 42
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Réalisateur: Henri Verneuil Assistant réalisateur: Jean-Pierre Vergne
Scénaristes: Michel Audiard, Pierre Siniac et Henri Verneuil
Auteur de l'oeuvre originale: Pierre Siniac
Dialoguiste: Michel Audiard
Distribution:
Jean-Paul Belmondo : le sergent Pierre Augagneur
Michel Constantin : l'adjudant Édouard Mahuzard
Marie Laforêt : Hélène Laroche-Fréon
Jacques Villeret : le brigadier Béral
Caroline Sihol : Mme Chanterelle
Michel Creton : le légionnaire Boissier
François Perrot : François Laroche-Fréon
Pierre Semmler : le capitaine Ulrich Dieterle
Maurice Auzel : le soldat Borzik
Michel Beaune : le général français
1943. La banque d'El Ksour en Tunisie a dans ses coffres une fortune en lingots d'or. Un détachement de la légion doit escorter le précieux métal jusqu'à un endroit sûr. Lorsque cette troupe arrive à El Ksour, c'est le piège. Les Allemands sont là; une terrible fusillade éclate; la tuerie est épouvantable. Rescapés: Augagneur et Boissier, de la légion, Béral, un artilleur, et l'adjudant Mahuzard. Après avoir éliminé tous les Allemands du lieu, le petit groupe s'apprête à remplir sa mission. Mais si Mahuzard est décidé à faire son devoir de soldat, Augagneur a convaincu les deux autres qu'il est beaucoup plus intéressant de s'approprier les lingots pour constituer des fortunes personnelles. D'où des tensions au sein du groupe. L'arrivée de François Laroche-Fréon, le directeur de la banque, n'arrange rien. Mais Mahuzard a le dessous, il est fait prisonnier.
Pendant qu'Augagneur part avec Hélène Laroche-Fréon chercher de la nourriture et d'autres satisfactions, Mahuzard parvient à faire changer d'avis Béral. Augagneur et Boissier sont maintenant les prisonniers, avec Karl, un Allemand amant d'Hélène venu en char la rejoindre. Grâce à Hélène, Augagneur et ses amis s'échappent. Au moment où Mahuzard s'apprête à partir avec les lingots, un face à face a lieu. Seuls en réchappent Karl, Augagneur et Hélène. Celle-ci, qui a tenté de trahir avec l'autre chacun des deux hommes, est abandonnée sur place; le Français et l'Allemand partent en char avec les lingots. Chacun se méfie de l'autre. Et, finalement, Augagneur laisse sur une plage l'Allemand qui a voulu le duper. Augagneur est donc riche, il va échanger ses lingots contre des dollars. C'est alors qu'il se trouve face à une colonne française qui le fête comme un héros. Il est bientôt décoré pour avoir sauvé une fortune appartenant à la France.
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Marie Laforêt
Caroline Sihol
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Il faut toujours offrir les livres sans raison
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